(JOUR 558 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
Sur la une de ce numéro en piteux état, les soldats russes sur le front de l’est essaient de résister au froid. Au second plan, un homme manifestement mort. La légende parle que les hommes résistent victorieusement au froid et peuvent dormir sur la neige. Alors mort ou endormi ?
En seconde de couverture, on reste en Russie avec la tsarine et 2 de ses filles déguisées en infirmières dans une salle d’opération:
soit, de plus près:
Une belle photo, une belle histoire mais difficile à y croire !
On retrouve ces soldats permissionnaires à Paris dont la presse a déjà parlé, qui ne peuvent se rendre chez eux car leur région est occupée par les Allemands et que l’Armée promène en autocar touristique.
Exactement la même vue que dans La Guerre Photographiée.
Pour rester dans le domaine de la santé et de l’aide aux blessés, des ambulances un peu particulières adaptées au terrain:
un wagonnet-ambulance sur rail pour évacuer 4 blessés en douceur, beaucoup plus confortablement q’en charrette sur des chemins caillouteux. Encore faut-il qu’il y ait des rails près du front et que l’artillerie adverse ne bouleverse pas le terrain. Trop aléatoire.
Dans les Vosges, un traîneau-ambulance tiré par un équidé. Là aussi un transport plus doux que d’ordinaire.
Deux vues panoramiques de tranchées dont on voit les zig-zags depuis une colline dominant les lieux.
Sur la seconde photo, on aperçoit au loin la fumée de l’explosion d’un obus. Les lieux comme la date de ces photos ne sont nullement mentionnés.
Dans les Balkans, des combats dans la Montagne Noire, en Macédoine.
Pour terminer, les dégâts occasionnés par le passage d’un Zeppelin au-dessus de Paris avec des destructions sur des bâtiments…
et sur les arbres (photo de droite)…
mais aussi une bombe qui a troué la voûte du Métro laissant un important cratère:
Cet évènement et ce trou original seront repris dans d’autres médias, on le verra bientôt. Cette attaque date du 29 janvier 1916.











