Archives de Tag: Alsace

Il y a 80 ans… le TOUR de FRANCE 1938…LE MIROIR DES SPORTS du samedi 30 juillet.

Le Tour se termine et il semble joué. Seul un incident technique pourrait empêcher Bartali de le remporter. Aussi, les coureurs italiens entourent leur leader comme ici dans le côte de Belrupt près de Verdun et les Belges en font autant avec le leur, Vervaecke. Le Tour continue…

Départ de Strasbourg pour la 18ème étape menant le peloton à Metz.

La place Kléber est noire de monde. Puis les coureurs s’élancent pour un rallye de 186 kilomètres.

Après les Pyrénées, les Alpes, le Jura, les bosses qui se présentent sous les roues de cyclistes semblent bien douces.

Les paysages sont bucoliques, les vaches paissent tranquillement.

Sur la fin, des échappés sont partis. On retrouve Le Guevel, Leducq, Clemens et Fontenay. Mais ils sont réglés au sprint par le Belge Kint déjà primé par ailleurs.

Les classements après cette 18ème étape du 32ème Tour de France.

Leducq n’est décidément plus le sprinter ailé d’il y a quelques années, mais le temps a fait son irrémédiable outrage. Bartali garde son épais matelas de 21’17 » d’avance sur Vervaecke.

19ème étape: Metz-Reims.

On commence par la côte de Gravelotte. Il fait bien meilleur s’y promener en 1938 qu’en 1870, quand il en tombait… comme à Gravelotte !

Le paysage est paisible et le peloton léthargique.

On pose entre vieux guerriers…

…comme ici Sylvère Maës et Antonin Magne qui se côtoient sur les route du Tour depuis 1930.

Les leaders posent côte à côte…

…de bas en haut, Vervaecke, Bartali et Cosson, bien content d’être en si belle compagnie.

Les classements à Reims.

Enfin une victoire française avec celle de Galateau, l’Avignonnais qui règle au sprint ses compagnons d’échappée, Le Guevel, Cavani et Egli.

 

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Il y a 80 ans… le TOUR de FRANCE 1938…LE MIROIR DES SPORTS du jeudi 28 juillet.

Au départ de Besançon, le Français Victor Cosson et l’Italien Gino Bartali sont ensemble. Le classement général semble joué surtout pour le second nommé. Mais Cosson, pour l’heure troisième veut à tout prix rester sur le podium.

Aix-les-Bains-Besançon par le col de la Faucille et un petit détour par la Suisse.

Sur le pont du Rhône à Genève, le seul rescapé helvétique du Tour, Egli, se fait un devoir de passer le premier.

Le col de la Faucille au tout début, tout est calme et Leducq emmène le peloton.

Au sommet, après la bagarre, Bartali passera en tête au milieu d’une foule considérable !

Georges Briquet, le speaker du Tour de France, passionne son public au micro, monté sur le toit d’un camion officiel. (à gauche, devant la maison).

 

Le classement de cette étape remporté par le Belge Kint et dont on avait parlé dans le Nouvelliste. Bartali en prenant une bonification à la Faucille a repris plus d’une minute à Vervaecke, pointé maintenant à 21’17 » de l’Italien. Ce petit tableau des bonifications obtenues en haut des grandes ascensions du Tour 1938…

…montre que 9’9″ des 21′ d’avance sont le fruit de ces bonifications. Enorme, mais le règlement était le même pour tous !

Le Tour retrouve des horizons moins tourmentés pour l’étape Besançon-Strasbourg coupée en deux demi-étapes avec une halte à Belfort.

Le peloton musarde le long du Doubs.

La chaleur est là, les coureurs ont soif ! Une rigole d’eau le long de la route…

…tout le monde s’y précipite.

Même chose quand il s’agit d’une fontaine !

Les classements…

Masson l’a emporté à Belfort et Fréchaut à Strasbourg. Le sprinter français est récompensé par la bise de la miss…

…en tenue traditionnelle d’Alsace.

Pendant la course…

…Vervaecke et Bartali ont momentanément ou définitivement enterré la hache de guerre.

 

 

 

 

 

 

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 3 mars 1918

(JOUR 1309 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Une fois n’est pas coutume, on nous présente une réalisation allemande dans un sens positif. Ici, une importante installation de TSF (radio) à Nauen, ville située à 30 km à l’ouest de Berlin. Cette immense antenne mesure 260 mètres de haut et peut recevoir des messages envoyés depuis 10 000 km.

En Grande-Bretagne, le roi George V reçoit des héroïnes de la guerre…

…qui sortent ici de Buckingham-Palace.

Mais qui sont ces héroïnes ? L’article reste très vague sur ce sujet.

Des vues d’Alsace.

Le Président du Conseil visite un village alsacien libéré (toujours le même ? Thann ?).
Sur les sommets des Vosges, c’est l’hiver et les Alpins se déplacent à ski.

Passons en Italie où les Français aident les troupes italiennes.

A Padoue, la chapelle des Carmes a eu à souffrir des bombardements de l’aviation autrichienne.

Le Piave est toujours considéré par l’Etat-Major comme la ligne de défense ultime.

Sur les vues, on voit toutes les défenses lacustres, les pieux plantées dans les eaux et les canonnières italiennes sur les flots.

Tandis que les chasseurs français défilent pour se rendre aux fronts…

…les femmes employées à creuser les tranchées italiennes s’interrompent dans leurs taches.

Les Américains sont là depuis plusieurs mois et déjà les premiers grands blessés américains sortent des hôpitaux où ils se sont liés d’amitié avec les homologues français.

Le front belge entre Dixmude et Ypres depuis le ciel.

Chaque trou correspond à l’explosion d’une bombe et chaque cratère est rempli d’eau dans ces zones marécageuses.

Le camouflage est important dans cette période d’atermoiements.

Ici routes et voies ferrées sont dissimulées des regards adverses par des filets de camouflage. Ce qui va permettre aux renforts de progresser en toute discrétion.

Pour terminer, un bien beau feu d’artifice…

Les explosions de grenades incendiaires.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 2 septembre 1917

(JOUR 1127 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Une modeste tombe allemande dans un cimetière allemand de Pargny dans la Somme pour la couverture de ce numéro du 2 septembre 1917 de la revue Le Miroir. Pourquoi cela ? Pour un trait d’humour du magazine puisque cette tombe abrite les restes d’un grenadier allemand appelé Wilhelm Kaiser soit l’Empereur Guillaume honni des Alliés. L’humour a décidément bien changé !

On préfère à cela ces images d’un aéroplane allemand abattu du côté de Verdun.

Devant les débris de l’appareil disloqué au sol, le pilote français qui a abattu l’avion vient se recueillir. Il a toujours existé ce respect des as de l’aviation envers leurs ennemis, respect réciproque bien entendu.

Le front de Boesinghe (Boezinge dans le secteur d’Ypres en Flandres belges).

Après une attaque allemande, une de plus, le village et les environs sont complètement détruits.

Paysage bouleversé, arbres squelettiques… ruines. Un grenadier allemand des troupes d’assaut (ou présenté comme tel) a été fait prisonnier.

On le voit protégé par une cuirasse assez imposante. Toute la tristesse et la résignation du prisonnier dans cette image !

Un bombardement par un gros obus de 210 allemand non localisé et une conséquence insolite…

…l’automobile s’est retrouvée sur le toit du bâtiment ! Carrero Blanco avant l’heure !

J’ai vu en avait parlé hier, Le Miroir aborde ce thème aujourd’hui…

…les festivités pour célébrer le 3ème anniversaire de la « Libération » de quelques arpents d’Alsace: drapeau des vétérans et Hirschauer à Dannemarie.

Aux USA, on prépare l’aviation de guerre.

On construit des abris pour les avions et les futurs pilotes reçoivent une instruction militaire avec l’apport d’un officier français.

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 1er septembre 1917

(JOUR 1126 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une de J’ai vu du 1er septembre 1017, les généraux commandant les divers fronts dont on parle au coeur de l’été: le général Guillaumat à Verdun, Berthelot en Roumanie, le duc d’Aoste en Italie, sur le Carso et le général britannique Currie dans le Nord de la France. Pas très intéressant ni important !

On fête ce qu’on peut pour le début de cette troisième année de guerre. Alors, comme on avait libéré quelques kilomètres-carré d’Alsace en 1914, on en profite pour le rappeler. En cette occasion, le vieux général Hirschaner, un enfant du pays s’entoure d’enfants en tenues traditionnelles du côté de Dannemarie.

Des manoeuvres en Angleterre pendant lesquelles des Tommies enfourchent des mannequins représentant des militaires allemands. Aussi utile que quand des toreros s’entraînent avec une vachette à roulettes !

Une vue originale et surprenante pour terminer…

Du côté du bassin d’Arcachon, les plages sont noires de monde de baigneuses oubliant la guerre. Le commentaire parle de convalescents, de soldats canadiens, russes ou américains (des Sammies) mais on n’en voit guère sur les photos sensées illustrer les propos !

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Le (petit) KIOSQUE de PRESSE DE 37: MATCH du 6 juillet 1937: Le TOUR 1937.

Autre revue sportive racontant le Tour de France 1937: Match successeur de Match l’Intran supplément sortir hebdomadaire du quotidien L’Intransigeant.

A la une le grand Gino Bartali dans la Ballon d’Alsace où il a fait un numéro exceptionnel, devant une foule considérable. « Je n’ai jamais rien vu d’aussi beau que Bartali dans le Ballon d’Alsace » suivant Henri Desgranges, le patron du Tour de France.

En double page centrale, la grande vue, quasiment un poster bistre…

les premiers lacets du Ballon d’Alsace.

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Le (petit) KIOSQUE de PRESSE DE 37: LE MIROIR DES SPORTS du 6 juillet 1937: Le TOUR 1937.

Le Miroir des Sports du mardi 6 juillet 1937. Le Tour continue sa descente vers le sud. La revue va nous raconter 3 étapes: Charleville-Metz (161 km) remportée par Generati.

Archambaud a perdu son maillot jaune au profit de Kint. Peu d’images de cette étape de transition. Par contre la quatrième étape Metz-Belfort va donner lieu à de nombreuses photos surtout avec le franchissement  du premier grand col de ce Tour de France: le Ballon d’Alsace dans les Vosges.

Première bagarre qui va permettre à l’Allemand Erich Bautz, le coureur au premier plan de la une refaire coup triple en passant en tête au Ballon, en remportant l’étape à Belfort et en s’emparant du Maillot Jaune.

Dans la traversée d’Epinal, c’est un peloton groupé qui passe sous la conduite des Français Marcaillou et Lapébie. Puis tout va exploser dans les Vosges.

Bautz dans le clair-obscur vient de partir.

Bautz à l’approche du sommet…

…suivi à distance de l’immense champion italien Gino Bartali qui fait ces premiers kilomètres dans le Tour de France où il écrira sa légende.

Un Ballon d’Alsace chaud bouillant avec une foule considérable…

…dans une chaleur estivale.

Les classements de la 4ème étape:

Et ceux de la 5ème étape Belfort-Genève coupée en 3 tiers d’étapes, rien que cela !

Belfort-Lons-le-Saunier (175 km) vainqueur Pippo

Lons-le-Saunier-Champagnole (34 km contre-la-montre par équipes): l’Equipe Nationale Belge vainqueur.

Champagne-Genève (93 km) Ambéry vainqueur.
Le Maillot Jaune reste sur les épaules d’Erich Bautz.

Une vue du peloton dans la vallée du Doubs, peloton emmené par Choque et Lapébie.

Un autre ancien vainqueur du Tour, le Français Georges Speicher semble en forme (au milieu de la route). Au premier plan Fabien Galateau, un indépendant venant d’Avignon qui connut une très honnête carrière pro et dont le fils Yves joua à l’O.A. dans les années 70.

Autres titres de l’actualité sportive:

Louis Chiron vainqueur du Grand Prix de l’A.C.F. à Monthléry.

L’Américain Budge vainqueur sur le gazon de Wimbledon.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LA GUERRE PHOTOGRAPHIÉE du 22 mars 1917

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(JOUR 962 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

La une de La Guerre Photographiée du 22 mars 1917 montre un conciliabule des chefs: Lyautey, général mais ici ministre de la guerre s’entretient avec un autre général Nivelle. La légende indique cela est précise en ce qui concerne Nivelle le héros de Verdun. Pourtant, en 2017, si on demande d’associer un nom de général à verdun, ce sera le nom de Pétain qui ressortira. Cela vient du fait que pour faire acceptera collaboration de 1940 à 1944, on rabâcha Pétain le héros de Verdun alors que la reconquête et la « victoire » de Verdun furent effectivement le fait de Nivelle plus que de Pétain qui fut relevé de son commandement mi-avril 1916 !

La dure vie dans les tranchées avec les intempéries:

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La pluie ou la fonte des neiges qui emplit les boyaux.

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Le gel des dernières semaines a été terrible pour tous, comme pour ce Tommy.

Un gel qui permet de belles photos comme celle de cette fontaine, en Argonne.

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Difficile de prendre quelques gouttes d’eau !

Dans le fort de Douaumont, on nous essaie de nous montrer que la vie est redevenue tranquille pour les hommes désignés pour l’occuper.

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Difficile d’y croire !

Une vue d’offensive en dernière page, une vue panoramique…

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d’une vraie offensive ou d’une manœuvre pour nouveaux conscrits ?

Belle image du départ d’une torpille allemande quittant la navire qui vient de la tirer.

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Un instantané réussi !

Un sourire pour les Poilus avec ces camions-bazars en Alsace où les hommes peuvent acheter ce qui leur manque ou ce que les leurs ne leur ont pas envoyé.

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Il y a (presque) 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 10 décembre 1916

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(JOUR 861 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une, un général serbe vainqueur à Monastir. Pourquoi le Miroir ne rajeunit pas sa ligne éditoriale en montrant de vraies images d’actualité sur les couvertures ? Omniprésence de la censure militaire ?

Le Président de la République est en visite en Lorraine…

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… où il rencontre le commandant Julien Viaud, plus connu sous son nom d’emprunt, Pierre Loti, tout de même âgé de 66 ans !

Des prisonniers allemands, en Meuse (en haut)…

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et en Orient (en bas). A noter (et il faut y regarder de près), la présence d’un prisonnier allemand sur la photo du bas ayant coiffé un chapeau français pour prouver ses sentiments pro-français. Il s’agit, nous précise-t-on, d’un alsacien ou lorrain.

Dans le même ordre d’idée, l’interrogatoire de prisonniers allemands par les autorités françaises.

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Un peu de touriste en Orient, en Grèce.

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Profitant de se visite du front d’Orient, en Grèce, le ministre de la guerre, le général Roques en profite pour faire une petite visite de l’Acropole et du Panthéon !!! Joindre l’utile à l’agréable ! Les Poilus envoyés en Orient ne pourront en dire autant !

Les premiers chars d’assaut, les fameux « tanks » britanniques.

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En effet, c’est sur la Somme, lors de cette attaque que les chars firent leur apparition sur le front. On nous parle de « redoutables machines qui fauchent des arbres et crèvent des murs ». La vérité historique veut que cette première tentative fut un échec plus que cuisant !

Une double page centrale pour illustrer la prise du fort de Vaux.

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Le vallon de la Morte recouvert de fumées et de gaz de combat. Les hommes attendent dans une tranchée avant de s’élancer. Un scène de guerre terrible, prise vraiment sur le vif, semble-t-il.

Plus léger, une page est consacrée à quelques écriteaux particuliers, fruits de l’imagination débordante d’hommes attendant, la plupart du temps que quelque chose ne se produise.

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L’ennui est aussi source de création, l’artisanat des tranchées en atteste encore de nos jours.

Pour terminer, des navires de transport transformés en hôpitaux flottants.

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Malgré la croix qui est peinte sur la coque, ils seront eux aussi la cible de tirs des u-boat.

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Le (petit) KIOSQUE de PRESSE DE 36: LE MIROIR DES SPORTS du 17 novembre 1936

Le Miroir des Sports du 17 novembre 1936 avec une couverture consacrée aux rencontres internationales de football entre régions française et adversaires étrangers.

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Ci-dessus, les échanges de fanions avant l’opposition Paris-Budapest remportée par Paris après un match dur, heurté, sévère mais passionnant achevé sur un score de 2 à 1 pour la sélection française. Une Champion’s Ligue avant l’heure !

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La page des résultats avec une photo de l’opposition…

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Sud-Est-Belgrade au stade de l’Huveaune à Marseille terminée sur le score de 4-5.

Mais il y eut tout de même une journée de première division qui vit la victoire du second Strasbourg contre le leader lillois (l’OL) 2-1. La foule était venue en masse à la Meineau…

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pour assister à la prise de pouvoir des Alsaciens 2-1.

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De son côté, l’O.M. restait dans le coup à 6 points du nouveau leader en disposant de Cannes à l’Huveaune 2-0.

Un sport alors médiatisé et fort populaire: la marche.

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Pas moins de 7 photos pour illustrer ce Grand Prix de l’Armistice remporté par Cornet autour de Paris. Le vainqueur ayant avancé à la moyenne de 10,620 km/h pendant 8h 5’et 8″. La course devait donc faire un peu plus de 80km. On comprend qu’il semblait vaciller sur la ligne ! A noter cette foule de cyclistes accompagnant les concurrents dans leur longue chevauchée.

En rugby, dimanche consacré au Challenge Yves du Manoir, du nom de ce rugbyman mort dans un accident d’avion en 1928.

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Quelques vues de rencontres parisiennes…

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…et le classement de cette compétition.

Le Challenge du Manoir fut longtemps l’officieuse coupe de France de rugby avant de prendre de plein fouet le choc du passage du rugby au professionnalisme. Il devint Coupe de France en 1997, Coupe de la Ligue en 2001, Challenge Sud-Radio en 2003 pour être depuis 2004 le Tournoi National des Ecoles de rugby.

Pour terminer, du cyclisme en automne quand les courses sur route sont arrêtées.

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Cyclisme sur piste avec une opposition Richard-Olma, entre nouvel et ancien détenteur du Record de l’Heure.

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Cyclo-cross ou vélo dans les sous-bois.

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Folklorique course de triporteurs, eux aussi accompagné d’une foule de cyclos.

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