Archives de Tag: Italie

ll y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 24 novembre 1918

Toujours ce retard dans les articles du Miroir avec la vie réelle. Ainsi, ce 24 novembre, alors que la guerre est finie depuis 12 jours, on voit à la une Foch amenant à la Conférence Interalliés la Convention d’Armistice… Du retard à l’allumage !

Pas de photo de signature de l’armistice ! Alors, les lecteurs du Miroir se contenteront de dessins…

…l’arrivée des plénipotentiaires allemands en voitures automobiles et les acteurs de cette scène historique dans le wagon de Rethondes.

En Allemagne, les premiers vaincus sont les Hohenzollern.

Le secrétaire du Reich annonce du haut de l’escalier du Reichstag leur déchéance.

A gauche Guillaume II l’empereur déchu, à droite son fils, le Kronprinz qui ne régnera pas.

L’étoile montante du Reich: Friedrich Ebert.

Nommé Chancelier le 9 novembre, il sera Président du Reich de la République de Weimar en février 1919.

Des vues bien réelles celles-là des scènes d’allégresse à Paris, le 11 novembre, après que la nouvelle de la signature de l’Armistice soit tombée.

La cour intérieure du Palais-Bourbon est envahie par la foule pour acclamer Clemenceau.

Mêmes scènes d’enthousiasme collectif place de la Concorde, près de la statue de Strasbourg.

Autres photos sur le même sujet prise dans les rues de Paris.

Ci-dessus, ce n’est pas Paris mais Rome qui connaît les mêmes épisodes festifs.

Quelques mots sur des découvertes faites par les troupes françaises avançant maintenant sans opposition.

Des camouflages originaux: un arbre déguisé en poste d’observation, un trou d’obus aménagé.

On a retrouvé la tombe de Roland Garros, l’aviateur, abattu en duel contre des Fokkers allemands le 5 octobre 1918. Elle est située dans le cimetière de Vouziers, dans les Ardennes, non loin du lieu du crash. Sa sépulture ne sera pas déplacée après-guerre.

 

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ll y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 17 novembre 1918

Deux grands thèmes dans ce premier numéro du Miroir de l’après-guerre: le sort de l’Autriche-Hongrie et la libération du Nord de la France qui connut quatre longues années d’occupation militaire allemande.

A la une l’empereur régnant d’Autriche-Hongrie Charles 1er et son épouse l’impératrice Zita. L’empereur règne depuis le 22 novembre 1916 et le journal pense que le prince va jouer un grand rôle politique dans un avenir proche.Ce qui est, avec le recul de l’Histoire, complètement faux puisque l’empereur a renoncé à son règne (mais pas à ses titres) depuis le 11 novembre, jour du renoncement de l’Autriche-Hongrie, armistice signé dans ces lieux…

…l’Hôtel de ville de Vienne pour l’Autriche et le Palais Royal de Budapest pour la Hongrie.

Le prince Charles démissionnaire était empereur d’Autriche, roi de Hongrie et roi de Bohème. Exilé en Suisse avec les siens, il essaiera un retour au pouvoir en 1921 mais échouera et sera envoyé à Madère comme Napoléon à Saint-Helen. Il y décèdera rapidement, le 1er avril 1922, d’une pneumonie.

La nouvelle carte de ce que pourraient être l’Autriche et la Hongrie est dévoilée.

Les pertes territoriales des deux pays sont considérables. De leur côté, les Italiens espèrent que leur victoire auprès des Alliés leur permettront de récupérer des territoires pour achever l’unité italienne, le Risorgimento.

L’Autriche et la Hongrie deviennent deux républiques séparées, mettant ainsi fin à 600 ans de règne des Habsbourg.

Tout cela va se disputer lors des négociations de Paix. Tout avait commencé par les réunions du Comité Interalliés de Versailles, préliminaires à la signature de l’Armistice du 11 novembre 1918.

Sur cette photo fortement retouchée pour qu’on puisse reconnaître les plénipotentiaires, on voit toute la hargne de Clemenceau, le plus virulent contre les Empires centraux.

Le Nord a été libéré par les Britanniques. Le défilé des troupes anglaises célèbre ce fait et…

…le général Birdwood remet le drapeau de Lille. A droite, la ville reçoit la visite officielle de Pétain qui, lui aussi, se prépare à un avenir de sauveur.

Mais le Nord est en ruines.

Valenciennes est inondé et ce pont sur la Lys est à reconstruire (deux photos fortement retouchées).

Douai a été pillé avant l’évacuation allemande et des trésors ont disparu.

Les usines textiles de Roubaix sont à reconstruire.

 

Il faut dire qu’avec de telles pièces d’artillerie bombardant les villes du Nord…

…les dégâts devaient être considérables.

Pour terminer ce tour de la revue, en Amérique, à New York en particulier,…

… la foule se presse pour souscrire à un nouvel emprunt de guerre. Pas que du patriotisme… la perspective de bonnes affaires !

 

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ll y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 11 août 1918

(JOUR 1470 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Après la visite de Clemenceau à Château-Thierry, la semaine dernière, c’est le Président Poincaré qui vient se faire prendre en photo sur ce champ de bataille.

Une autre vue de la bataille du 18 juillet avec l’intervention des chars d’assaut en soutien des fantassins.

Cette attaque a fait de nombreux prisonniers allemands…

…pour qui la guerre est finie !

Des Italiens combattent sur la Marne en vertu des accords militaires entre les deux pays…

…tandis que Cuba s’apprête à envoyer un corps expéditionnaire en Europe.

Pour terminer, galerie de portraits de nouveaux dirigeants bolcheviks:

De gauche à droite et de haut en bas: Antonov, Tchitcherine, Volodarsky et Zinoviev.

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ll y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 21 juillet 1918

 

 

(JOUR 1449 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Un obus conséquent et cette légende: Un des projectiles que nous envoyons journellement sur les lignes ennemies. On pourrait même ajouter… que nous recevons aussi car la Grosse Bertha n’envoie pas des boulettes en papier. Mais cela inquièterait trop les lecteurs.

Il y a quelques semaines qu’on n’encavait parlé. Sur le front d’Orient, les Français entraînent des fantassins grecs.

 

L’Offensive allemande du printemps 1918, le dernier sursaut des Allemands pour obtenir une armistice favorable.

C’est l’artillerie non dit-on qui a brisé cette attaque. Avec quelquefois des canons considérables …

…mais c’est aussi le manque de réserve de l’Armée allemande qui a entraîné la fin des attaques. Toujours est-il que beaucoup de soldats allemands ont été fait prisonniers…

…par les Américains. En Italie, par contre, après l’échec autrichien, ce sont des Turcs qui ont été arrêtés. En Italie où les tranchées dans la paine du Piave ont résisté même si elle sont remplies d’eau… et de moustiques.

Suite de notre tour du monde, en Irlande…

…où les Unionistes de Belfast défilent pour célébrer l’anniversaire de la bataille de la Somme.

En Irak enfin, dans Bagdad libérée de la présence ottomane,…

…le Britanniques s’adonnent à leur passion… les courses de chevaux et le turf, bien sûr !

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 1er juillet 1918

(JOUR 1429 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une de ce numéro de J’ai vu, la bataille de Paris qui pourrait avoir lieu et la nomination du général Guillaumat (65 ans) comme chef des Armées de Paris ou la seconde bataille de la Marne en lieu et place du général Dubai (69 ans). Avec de tels âges, il ne faut pas s’attendre à ce que la stratégie militaire soit innovante.

Il faut dire (et on en a déjà parlé) que les Allemands sont aux portes de Paris, à Château-Thierry. Comme on le voit sur cette carte, la situation du front les avantage plutôt et défavorise des Alliés.

Scène de guerre:

Un voltigeur et un grenadier à l’assaut d’une mitrailleuse.

En Italie aussi, les Autrichiens ont essayé d’enfoncer la ligne de défense des Italiens avec leurs alliés en Vénétie mais ont échoué.

Des hommes en bataille non pas contre des ennemis mais pour tenter de dominer l’envol d’un ballon captif d’observation.

Et cela ne semble pas aller tout seul !

Double page centrale pour montrer l’état d’avancement des travaux  d’aménagement d’un réfrigérateur géant à Gièvres (Loir et Cher) par les Américains avec la participation de Chinois, d’Annamites, d’Espagnols, d’Africains. Cette installation permettra de ravitailler en viande fraiche les troupes américaines sur le front. A Gièvres était installé un immense camp américain pendant la guerre dont il ne reste que l’entrepôt des Alcools et l’aérodrome de Romorantin.

La page sportive de J’ai vu pour finir.

Le Belge Philippe Thys remporte la classique cycliste Tours-Paris. Mais pourquoi n’est-il pas mobilisé ? Thys a toujours affirmé qu’il est le véritable inventeur du Maillot Jaune dans le Tour alors qu’il est admis que c’est plutôt Eugène Christophe qui fut le précurseur.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 30 juin 1918

 

(JOUR 1428 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Des fantassins américains, tout juste recrutés, s’entraîne dans le camp 10 au maniement de la baïonnette.

L’attaque des allemand fin mai 1918 a coûté beaucoup de vies aux belligérants. A tous les belligérants même s ce sont ici des cadavres allemands qu’on nous présente.

Mais sans trop de réserves, les troupes allemandes ne se remettront pas du massacre qu’elles ont provoqués.

Car la guerre de mouvement est très dépensière en vies humaines, même si les combats se déroulent au milieu des champs de fleurs…!

Pour ceux qui l’aurait oublié, on rappelle ce que fut la guerre de tranchées jusqu’au 21 mars 1918…

…en comparaison de la guerre de mouvement qui lui a succédée…

…et qui rappelle, non pas le bon temps, mais août 14 et ses hécatombes. Seule différence entre cette vue et celles de 14, les hommes ont perdu leurs pantalons rouges et ont été dotés d’un casque pour leurs têtes.

Par contre pour les civils, rien n’a changé. On a déjà vu les fuites de population… Ici on voit les destructions.

Attichy, Tracy, Ribécourt, Suzoi, Béthetencourt, autant de villages en ruines après le passage de la guerre.

Item pour Béthune, dans le Pas-de-Calais.

Encore un gotha allemand abattu…

…ici par la DCA belge.

Une double page sur le front italien…

…où les Français et les Britanniques venus en aide aux locaux ont infligé un échec aux Autrichiens.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 2 juin 1918

(JOUR 1400 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Voici donc René Fonck dont on a parlé hier dans J’ai vu. En compagnie de Roland Garros, il reçoit la Légion d’Honneur. Garros ne remportera que quatre victoires avant que son avion n’explose en vol le 5 octobre 1918 au-dessus des Ardennes. Pourtant, c’est lui que la postérité a retenu grâce au fait que son nom soit associé aux terrains de tennis du Racing Club de France à Paris, depuis 1928.

Un peu de colombophile pour louer le rôle important joué par les pigeons voyageurs dans les transmissions de renseignements. On a cru un moment que l’avion remplacerait les volatiles mais on est bien obligé de reconnaître qu’on a eu tort.

Deux pages pour expliquer le malaise des Irlandais face à la conscription instituée par l’Etat Britannique.

Prise de paroles, manifestation monstre… l’Irlande se déchire sur la raison de son engagement en Europe lors duquel près de 28 000 Irlandais perdront la vie.

Autres manifestations, mais aux Etats-Unis celles-ci pour rendre hommage aux soldats français à travers une délégations de chasseurs alpins… on en a parlé dans J’ai vu la semaine dernière.

Les diables bleus défilent à West-Point puis son accueillis à Wall Street. N’oublions pas que la raison de cette parade est la levé de fond pour l’emprunt de guerre.

En Italie, les troupes poussent et tirent un canon pour le monter dans les hauteurs surplombant le Piave. L’auteur des lignes du Miroir se moque un peu de leur archaïsme en disant que rien n’a changé depuis Marengo, 118 ans auparavant !

Ecole de camouflage aux Etats-Unis. Deux vues pas vraiment convaincantes !

L’efficacité de la DCA française.

Cet avion allemand a été abattu par des conons au sol. La défense contre les avions a beaucoup fait de progrès en quatre ans. Les avions également, il faut reconnaître ! Ces photostat été prises à Verberie dans l’Oise.

Les Français était fou de leurs 75 en début de guerre. Mais quatre ans après, ils en sont venus eux aussi aux grosses pièces d’artillerie montées sur rail. Ils fallu créer spécialement des voies de garage par rapport à la voie principale pour ces canons.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 12 mai 1918

(JOUR 1379 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Ce n’est pas Clémenceau qui a droit à la couverture du Miroir cette semaine mais un sous-secrétaire d’état, M. Daumesnil, qui serre la main à un aviateur, René Fonck, qui terminera la guerre avec 75 victoires homologuées.

Une vue originale de Venise survolée par deux avions amis. Cela illustre une attaque de l’aviation autrichienne ou allemande sur la ville. Intérêt stratégique limité mais le pont du Rialto a eu chaud.

Bataille autour d’Amiens sur la Somme.

Le titre annonce que la bataille fait rage autour d’Amiens. Mais les deux photos montrent un décor bien propre. On est loin de la « vraie » guerre !

 

Toujours dans la Somme, les soldats britanniques blessés posent leurs casques pour aller se faire soigner… mais il ne semble guère blessés.

Paysage de Reims sous les bombardements. Après tous les bombardements subis par la ville pendant la guerre, elle sera considérée comme détruite à 60% une fois que le danger sera éloigné définitivement.

Une double page pour illustrer le raid britannique et français sur le port et le canal de Zeebrugge et sur Ostende. Cela se passait les 22 et 23 avril dernier. Les navires assaillants portent les stigmates de la réaction allemande.

Le titre de cette dernière photo ne serait plus toléré de nos jours, à juste titre… Le recrutement des Noirs au Sénégal. On recrute à tour de bras des hommes semblants volontaires. La réalité ne devait pas être aussi idyllique.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 05 mai 1918

(JOUR 1372 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Encore Clémenceau à la une du Miroir comme à celle de J’ai vu il y a cinq jours. Ici, le maréchal américain Douglas Haig va serrer la main du vieil homme politique français à la descente du train.

Des Français combattent en Italie et ont même sauvé le front italien il y a peu. A l’inverse, des soldats transalpins sont en France….

…symboliquement.

En Belgique, la guerre a repris du côté de Dixmude, l’attaque de la dernière chance allemande.

Attaque française dans l’Oise, nous dit-on,…

…soldat allemand se rendant… peut-être mais rien à voir avec ces deux vues de vrais destructions sur le front de la Somme où ça a cogné fort.

Autre image d’Epinal que ce retour des tranchées pour ces Poilus français qui marchent allégement sans aucun signe de fatigue !

Un petit tour en Russie où on voit l’esquisse d’une guerre civile.

Combats fratricides en Russie, du côté de Kiev (Kief dans le texte) avec des gardes rouges emmenant les compatriotes prisonniers…

…et un immeuble incendié dans cette même ville.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 31 mars 1918

(JOUR 1337 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Les troupes américaines montent aux tranchées. Elles passent sous un arc-de-triomphe végétal surmonté d’un panneau indiquant WELCOME. Bienvenue aux enfers !

Le traité de Brest-Litovsk a été signé le 3 mars dernier entre Allemands et Soviétiques. Les échanges de prisonniers peuvent commencer.

Pour les Allemands libérés, c’est un rapide séjour vers l’ouest qui est à l’ordre du jour !

La lutte anti-sous-marine continue et on teste des filets contre ses bâtiments , filets maintenus à la surface par des flotteurs.

Les femmes de pêcheurs sont employés à cette tache. Les filets seront perfectionnés puisque monté en acier plus tard.

On nous a parlé de Gothas allemands, ces nouveaux avions de bombardement qui ont manoeuvré au dessus de Paris. Cette page nous montre que ces avions sont la copieux Handly-Page, un avion britannique.

Cet homme, observateur pour l’artillerie, a été pris en photo à 600 mètres du sol.

La page centrale est consacrée à l’explosion d’un dépôt de grenades à la Courneuve, en banlieue nord de Paris.

Cette explosion n’est pas passée inaperçue dans la capitale française puisque la déflagration a été entendue à plus de 65 kilomètres du point zéro. Cette catastrophe s’est déroulée le 15 mars 1918 et pas moins de 38 000 000 de grenades sont été soufflées. 15 ouvriers ont été tués et environ 1 500 personnes ont été blessés à titres divers suite à cette explosion. On remarque l’important cratère creusé par le « boum » initial.

On innove toujours à la guerre.

En haut, les Britanniques inaugurent une manière de transporter les obus du dépôt au canon. Deux hommes transportent ainsi sans problème des charges très lourdes.

En bas, c’est la nouvelle tenue des soldats chargés de lancer des liquides enflammés sur les tranchées ennemies qui est testée. Sans garantie pour l’instant de ne pas être brûlé vif en cas de retour de flamme.

Les drapeaux de la nouvelle république indépendante d’Ukraine .

La récréation durera jusqu’à la fin du conflit soviet-polonais en 1920 et la création de la République Socialiste Soviétique d’Ukraine.

La visite du Roi Victor-Emmanuel sur le front italien pour féliciter les troupes françaises vainqueurs sur le Mont-Tomba.

Le front italien est sauvé.

Pour terminer, une vue du vapeur civil espagnol « Igötz Mendi » échoué tout près de la côte danoise…

…après une attaque du corsaire allemand  » Wolf » qui sévit sur les mers et océans du monde entier  pendant longtemps en coulant environ douze navires avant d’être mis hors d’état de nuire. A noter que les équipages des cargos coulés étaient récupérés par le corsaire allemand.

 

 

 

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