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EXCELSIOR versus ANASTASIE… la CENSURE pendant la Première Guerre Mondiale (7/7)

Dernier article sur cette censure contre la presse écrite. Laquelle censure ne sera supprimée que le 12 octobre 1919, onze mois après la fin du conflit.

Excelsior du dimanche 2 avril 1916.

C’est une brève qui va subir les foudres d’Anastasie.

Dans les bureaux du secrétariat d’état-major général de la Marine, ils sont quatre, occupés… si l’on peut dire occupés ! à…

Au moment où l’histoire devenait intéressante, on n’en saura pas plus. Que devaient faire ces quatre oisifs ? et qui étaient-ils ?

Un détail savoureux: c’est depuis le début de la guerre que ces quatre lieutenants vaisseau

C’est tout ! Frustrant !

A noter que dans l’article sur Verdun, le fort de Douaumont n’a toujours pas été pris !

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ll y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 15 octobre 1918

(JOUR 1535 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une de J’ai vu, un montage du Kaiser montré les bras en l’air comme s’il se rendait. Tout le monde espère la fin de cette guerre. 1535 jours de guerre aujourd’hui !

D’ailleurs, on sent presque les prémisses des préoccupations du monde de demain, de celui de l’après-guerre, les transports et les déplacements des population.

J’ai vu imagine les transports aériens de demain…

…et les transports par le rail. L’Atlantique et le Transsibérien ! Pas loin de la réalité tout cela !

La une intérieure de J’ai vu montre des scaphandriers descendant réparer des fuites à un cuirassé endommagé.

Photo sous-marine ? dessin ? montage ? Bizarre cette vue !

Les cuirassiers français traversent ici la Suippe.

Les hommes sur des radeaux, des bacs (à traille ?) et les chevaux à la nage !

 

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Il y a 80 ans… le TOUR de FRANCE 1938…LE NOUVELLISTE du mardi 26 juillet.

Le Nouvelliste, grand quotidien régional de Rhône-Alpes et de Lyon. Un peu comme l’Intransigeant, il était habitué d’illustrer ses propos par des photos géantes, on va le voir. Par contre, il était déjà particulièrement engagé à droite et deviendra très collaborationniste sous Pétain. Il disparaîtra en même temps que l’Etat Français pour ne plus réapparaître!

Pas de grande nouvelle à la une ce mardi 26 juillet, comme on peut le constater.
Pourtant le Tour est relégué en seconde partie de première page avec deux sujets:

l’étape du jour (de la veille) arrivant à Besançon et un retour en arrière sur les deux grandes étapes alpestres des jours précédents avec le retour au calme de la montagne envahie par les amateurs de cyclisme. Voilà une chose qui n’a pas vraiment changé en juillet !

Autre information de premier ordre avec photo… la route de l’Iseran coupée par une coulée de boue.

Effectivement le franchissement de l’Iseran s’est passé sous la pluie, il y a deux jours de cela. Ces intempéries doivent être la cause de cet événement.

En page intérieure Sports, on revient plus longuement sur l’étape Aix-les-Bains-Besançon.

 

On apprend que c’est le Belge Marcel Kurt qui l’a emporté et que Bartali a consolidé son maillot jaune. Comme on ne sait pas comment il a pris ce maillot et qu’on n’a pas vu encore les étapes alpestres en détail, quotidiens plus performant qu’hebdomadaires obligent, on n’en dire pas plus sur ce sujet.

Par contre, on pouvoir présenter les grands photographies illustrant cette étape. Deux photos par page de journal, on est plus près du poster que de l’image ! Les plus grandes font 36x25cm !

Passage du Tour à Annecy

…puis à Lons-le-Saunier.

Le coureur français Naisse au Contrôle de Ravitaillement.

Ce contrôle de Saint-Claude vu d’en haut.

Avant d’entrer en Suisse, le franchissement du viaduc des Usses.

Le Tour génère quelquefois des drames inattendus. Aussi, près de Besançon, à la gare de Busy-Larnod,..

…deux véhicules se sont heurtés et l’un d’eux a été renvoyé sur des spectateurs attendant le passage des coureurs. Bilan de cet accident: trois blessés dont deux graves.

Un mot sur la guerre civile espagnole.

Maîtres du ciel, les aviateurs allemands et italiens bombardent les villes « ennemis » et le front. Il y a eu 5 morts et 40 blessés à Alicante et 8 morts et 67 blessés à Madrid. Des civils bien entendu.

Des cargos norvégiens neutres ont connu des problèmes avec les Nationalistes, maîtres aussi sur l’eau.

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 15 mai 1918

(JOUR 1382 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Une couverture osée que Facebook censurerait peut-être de nos jours. La République dénudée guidant les hommes à la Victoire. Le titre de ce tableau de Roll présenté au Salon de Peinture 1918: L’appel aux Armes !

Deux pages à la gloire de Clémenceau. J’ai vu emmène ses lecteurs à la découverte du village du Père la Victoire comme on l’appellera plus tard: Mouilleron-en-Pareds, village de Vendée entre La-Roche-sur-Yon et Parthenay.

Le conseil municipal du village vendéen.

Les moulins de Mouilleron. On n’est pourtant pas dans la Mancha.

La maison natale du Tigre.

Le jardin de la maison natale.

Et même la bonne du Grand-père !!!

Le culte de la personnalité de la pure mode du futur « petit père des peuples ».

Retour sur la cheminée du « Vindicative » criblée d’impact d’éclats d’obus…

…après l’attaque du 22-23 avril 1918 sur Ostende et Zeebrugge.

Un autre tableau après celui de la couverture:

Le Tsar dans sa prison non signée. Les Romanov dans leur prison loin d’être dorée. Quand ce journal parut, on ne doutait pas que les Romanov avaient moins d’un mois à vivre.

Autre dessin en double page centrale, une composition de Léon Fauret montrant un combat de chars, au premier plan le français à l’arrière l’allemand.

Combat de chars à la manière d’un combat de dinosaures !

Pour terminer, un peu d’humour.

Rigolo et moderne..

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 17 mars 1918

(JOUR 1323 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

On nous reparle de Roland Garros et Anselme Marchal, les deux aviateurs revenus de captivité après s’être échappés de Magdeburg. Ils reçoivent ici des récompenses suite à leurs exploits….

…avant d’être montrés en train de s’entretenir avec leurs parents respectifs.

Deux pages sur la Révolution Russe. On nous raconte que des caves, les mieux achalandées de Petrograd, ont été pillées par les Bolcheviks.

On nous montre aussi des victimes de la guerre civile…

…des responsables des Cadets et une militante socialiste révolutionnaire, Hélène Gorbaczevska, Polonaise,  abattue par les Maximalistes.

Les débuts d’une longue guerre civile.

Presse:

Ce journal continue de paraître bien que les rotatives aient été visées par un bombardement aérien allemand.

Camouflage:

Cette grosse pièce d’artillerie disparaît totalement sous un filet de camouflage. Seul le canon dépasse.

Tombe d’un vétéran.

Ce jeune soldat s’incline sur la tombe d’un vétéran britannique, tombé là au début de la guerre.

Changement de pavillon.

Ce cargo allemand capturé devient un transport américain dans un chantier naval US.

Des bibles pour les Poilus.

Toujours aux Etats-Unis, des bibles son conditionnées pour être envoyées et distribuées aux Poilus français en Europe.

Nouvel An chinois.

Les travailleurs chinois envoyés en France pour s’occuper du déchargement des bateaux de ravitaillement fêtent le Nouvel An dans des pagodes improvisées.

Mésopotamie.

La déconfiture de l’empire Ottoman se poursuit sur les bords du Tigre et de l’Euphrate. Les Anglais récupèrent du matériel et des prisonniers turcs.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 10 mars 1918

(JOUR 1316 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une, une découverte bizarre faite par des Britanniques dans un village abandonné par les Allemands. Il s’agit d’une planche à supplice appelée la cangue. A quoi devait-elle avoir bien servir ? si tant est qu’elle ait servi pendant cette guerre…

On continue de parler de la fameuse offensive allemande d’Hindenburg qui devrait sceller le sort de la guerre.

Devant son imminence, les Britanniques accumulent armes et munitions, artillerie et obus.

La guerre sous-marine continue. Plusieurs pages pour raconter aux lecteurs les mésaventures des transports atteints par les U-boats, sans trop regarder la position où ils sont.
Ainsi,…

…à gauche, c’est le transport britannique Aragon qui a été coulé dans les eaux territoriales espagnoles et, à droite, c’est el Duc-de-Gênes qui faisait la liaison Buenos Aires-Gênes qui a été touché non loin de Valence, à Segundo.

Plus loin de là, à Port-Saïd, c’est un transport allemand qui se consume…

Rempli de benzine, le « Thibor » a été touché par une bombe incendiaire et rien n’a pu être tenté pour le sauver.

En Champagne, des combats sur le vif, du côté de la butte de Mesnil.

Combats à la grenade entre Poilus et soldats infiltrés allemands.

Près du front britannique, on répare cet avion de reconnaissance.

En Italie, les ouvres de Canova ont failli être atteintes et détruites par un bombardement autrichien sur le temple qui les contient à Possagno.

Autre vue du front belge, peut-être au même endroit que sur la vue du Miroir de la semaine dernière.

Zone de marécages suite à la destruction des digues et les innombrables trous d’obus sont remplis d’eau, rendant ce décor totalement fantastique et désert.

Pour terminer, deux vues de troupes américaines à l’entraînement… à Cuba.

Ce ne doit pas être pour la proximité entre le climat de l’île avec celui du nord ou de l’est de la France que ces entraînements ont ainsi lieu à Cuba !

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 24 février 1918

(JOUR 1302 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une, on croirait voir Guynemer mais ce dernier est décédé en 1917. On nous présente son successeur, Madon, Georges Madon, qui vient de remporter sa vingt-troisième victoire. Il réussira à survivre à quatre années de guerre mais se scratchera le 11 novembre 1924 à Bizerte en Tunisie lors d’un meeting aérien en mémoire à Roland-Garros.

Un échange de prisonniers anglais et allemands par l’entremise de la Hollande.

En gare de Venloo, les blessés et malades arrivent. On y retrouve e commandant de l’Emden, navire de guerre allemand qui bombarda Madras en 1914;

On a déjà parlé en plusieurs occasions de la relance de la construction de bateaux aux Etats-Unis. Après l’ouverture de nouveaux chantiers navals, voici les coupes de bois dans le but de construire des navires marchands.

Les pins coupés et l’assemblage des radeaux pour descendre les pièces.

Des vues aériennes de bombardement par l’aviation française sur des positions autrichiennes.

Des images étonnamment modernes comme celle du bombardement des installations portuaires de Trieste.

Les Sammies partant au combat en Europe sont baptisés militairement sur la place publique en présence d’un général.

Deux vues du camp de prisonniers de Holzminden.

Ci-dessus, lors de la promenade quotidienne, les fameuses infirmières religieuses belges qui faillirent être condamnées à mort et sont internées pour le reste du conflit.

Une visite de médecin suisse de la Croix-Rouge venant vérifier si les installations sont conformes aux traités internationaux.

Hippisme civil à Bagdad.

Les Britanniques tiennent à leurs traditions et les courses de chevaux dans Bagdad libérée des Turcs attirent de nombreux militaires.

Ces autres Britanniques rejoignent les premières lignes en péniches…

…dans un secteur indéterminé. Mais on peut penser que c’est dans la région encore libre de Belgique.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 03 février 1918

(JOUR 1281 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Image traditionnelle que la postérité (et la propagande) va garder pour illustrer cette période: le président du Conseil Georges Clémenceau en visite sur le front en Champagne. La légende du « père-la victoire » est en route. Elle est toujours tenace, plus que jamais en 2018, chez les commentateurs politiques actuels pour dénigrer ou encenser les avions des dirigeants d’aujourd’hui par rapport à ce qui se passait alors. Comme si on pouvait…

Comme hier dans J’ai vu, Le Miroir parle de la puissance des chantiers navals américains avec la création de celui de Newark. On y pose le premier rivet.

Par contre, le froid glacial tombé sur la côte est bloque l’approvisionnement en charbon de New York et plonge de nombreux américains dans la souffrance.

En Palestine, le temps semble plus clément. Les Britanniques s’installent sur les territoires d’où ils ont chassé les Turcs et réparent ce qui est vital à la vie des autochtones, les puits.

Sur le front occidental, un colombier qui accueille les pigeons destinés à porter les messages à l’arrière.

Les églises proches du front perdent leurs cloches quand les Allemands les occupent.

Pas du vandalisme pur, seulement le besoin de récupérer le bronze pour le fondre et construire de nouveaux canons.

Un grand dessin en page centrale du front italien.

On y voit les secteurs des diverses armées, les Italiens à gauche, les Français au centre et les Anglais à droite.

En Russie, les combats entre les tenants de l’ancien régime et les Bolcheviks (les Maximalistes disait-on à l’époque) sont violents et ont fait de nombreuses victimes dans le camp des révolutionnaires.

Ici on enterre les dépouilles des officiers maximalistes tombés au combat.

Là, on détruit les statues de l’époque tsariste.

Pour terminer, une manifestation patriotique pleine d’importance en France:

la célébration des combats de Villersexel en Haute-Saône de la guerre de 1870. Cette victoire de hommes de Bourbaki, le 9 janvier 1871 ne changea pas le cours de la guerre mais il est bon par ces temps difficiles de  se raccrocher aux souvenirs glorieux.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 20 janvier 1918

(JOUR 1266 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

La rencontre entre le roi des Belges, Albert 1er et le général Pershing, commandant en chef du Corps Expéditionnaire US en Europe pendant la Première Guerre Mondiale. Les Américains contribueront à la libération du territoire belge en 1918.

Puisqu’on parle de nos alliés d’outre-Atlantique, une vue d’une ambulance montée dans un train sanitaire.

Ultra-moderne avec même des ventilateurs individuels pour les blessés.

Une démonstration de la puissance destructive des nouveaux chars de combat.

Ici la limousine n’a pas pesé lourd face à ce mastodonte d’acier.

En France, après l’échec de la première utilisation des chars d’assaut, en particulier au Chemin des Dames, les engins ont été améliorés et subissent un  entraînement poussé pendant des manoeuvres, comme on le voit ci-dessous.

Des vues du traité de Brest-Litvosk mettent fin à la guerre entre la Russie et l’Allemagne.

La maison où eurent lieu les négociations.

La table des négociations et les plénipotentiaires.

En Italie, la prise du Mont-Tomba a entraîné l’arrestation de nombreux soldats autrichiens…

…comme ici à Asolo. Ailleurs, des Poilus français en permission en 1918 vont visiter l’ossuaire de Solférino dans lequel reposent les restes d’autres Poilus, ceux de 1859, tués le 24 juin pendant cet épisode glorieux de la campagne napoléonienne.

Solférino, Magenta, des batailles d’une autre guerre, dans la nord de l’Italie, toujours contre les Autrichiens.

Une vue originale en double page centrale.

 

Les ravages commis par un bombardement français ! Mais pas n’importe lequel ! Celui qui permit de détruire la Grosse Bertha, canon de marine qui bombarda Dunkerque en avril et mai 1915. On voit ce qu’il reste du canon au centre de la page de gauche et les voies de chemin de fer qui le ravitaillait. Cette pièce était positionnée à l’arrière des tranchées allemandes à près de 28 km de la ville.

Sur mer, les sous-marins et pirates allemands sévissent toujours.

On voit ici la fin du « Chateaurenault » un croiseur torpillé par des pirates qui furent à leur tour coulés par d’autres navires français et récupérés comme prisonniers de guerre.

Dans les airs enfin, l’installation d’une bombe sous un Farman.

Il faut quatre hommes pour placer l’engin sous l’aéroplane. On n’est pas au niveau des chargements des B-52 qui opéraient sur le Vietnam mais aussi loin des chargements de 1914 quand les aviateurs jetés des points effilées sur les troupes au sol pour transpercer les hommes et les bêtes.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 2 décembre 1917

  (JOUR 1217 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

On l’avait dit hier dans J’ai vu, l’intervention française en Italie fait la une du Miroir. Cette photographie retouchée montre des Italiennes distribuant des cigarettes aux Poilus français sur le quai d’une gare en Lombardie. Certainement exact pour les objectifs de la presse officielle.

Ces troupes françaises (on parle ici de franco-anglais) arrivant en Italie par Vintimille.

Assez surprenant puisque le gros des troupes passa par le Montgenèvre ou le tunnel du Fréjus, en arrivant du nord et de l’est de la France mais peut-être quelques unités furent détournées vers le sud pour dégorger les cols alpins et pour faire de beaux clichés.

Le train joua un rôle important dans cette migration d’unités françaises vers l’Italie…

…les véhicules hippomobiles aussi mais les troupes durent aussi marcher pour assurer les liaisons comme le franchissement du col du Mont-Genèvre.

Lesquelles troupes pédestres défilèrent devant l’obélisque célébrant la campagne de Napoléon la Grand en Italie, construite en 1802.

Dans ces vues peu évidentes, on nous dit que les premières troupes françaises et bien sûr les chefs sont arrivées sur le front autrichien.

La guerre dans le désert maintenant avec les Turcs en débandade devant les Britanniques (et quelques Français).

On voit ci-dessus une caravane de blessés dans le désert et…

…une ambulance bien garnie.

On a parlé récemment du raid de Zeppelin qui fit des dégâts mais connut quelques pertes. Le L-49 tombé près de Serqueux près de Bourbonne-les-Eaux, à l’arrière du front des Vosges est cours de démantèlement…

…pour être rebâti et exposé aux Invalides.

Autre destruction et réparation, ce navire de guerre français, le Kouang-Si atteint d’une torpille  et qui a miraculeusement évité le naufrage est en cale bientôt sèche pour quelque temps.

Double page centrale avec des prisonniers allemands faits par les Anglais dans leur secteur de Cambrai.

Les grosses « saucisses » d’observation toujours aussi spectaculaires.

Celle-ci est emmenée au large par un remorqueur pour veiller sur une portion de côte. Les observateurs montent à la nacelle ci-dessus puis en descendent ci-dessous.

Les sous-marins allemands sont épiés.

Pour terminer,  une vue du théâtre Passaief à Petrograd après un bombardement allemand (mais le Miroir n’en est pas certain)…

…incendie qui a causé la mort de nombreux soldats et pompiers venus combattre les flammes.

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