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ll y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 1er octobre 1918

(JOUR 1521 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une, l’Alsace attend le retour de la France. On nous ressort une histoire rabâchée depuis presque 50 ans alors que l’Alsace attend bien autre chose: un statut particulier dans la France, puisque la défaite allemande se précise.

Sur la une intérieure, on voit l’aviateur Bonneton.

Avec son aéroplane, il a traversé de part en part un ballon d’observation allemand. Les restes de l’enveloppe de ce dernier sont visibles à gauche.

La défaite allemande qui se profile est synonyme de milliers de prisonniers de guerre…

… et de montagnes de ruines.

Les premiers parachutistes…

..avec leurs parachutes en soie… on l’a vu avec le parachute-jouet de Mme Devin, à Ancône, confectionné dans l’entre-deux-guerres.

Double page centrale pour célébrer les Sammies qui viennent de libérer Saint-Mihiel après quatre années d’occupation allemande.

Tout avait commencé en septembre 1914 et le martyre du 258ème RI d’Avignon et ses nombreux Caderoussiers qui y fut laminé lors de l’arrivée des Allemands. Quatre ans se sont écoulés.

Les troupes françaises suivent dans les fourgons de l’US Army et les curés profitent de l’occasion pour servir la messe de la délivrance !

Les Britanniques occupent le château de Coucy dans l’Aisne.

Le château a été occupé trois ans par les Allemands avant d’être miné et mis en ruines au moment du repli sur la ligne Hindenburg en 1917.

 

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ll y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 18 août 1918

(JOUR 1477 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Un soldat britannique marchande pour le prix d’un chou qu’il juge trop élevé. A-t-on le droit de douter de la véracité de cette scène ?

l’attaque allemande de juillet 18 puis la contrattaque français ont provoqué beaucoup de destructions.

A Fère-en-Tardenois (Aisne) non loin de Château-Thierry.

A Soissons une nouvelle fois dévastée.

On a beau être la vitrine de la modernité et du progrès, le pays de l’automobile et des camions…

…mais cette grosse pièce d’artillerie américaine, un canon de 190, est tractée par des hommes sur cette voie ferrée à l’arrière du front !

Deux épisodes d’avant-après.

A gauche, un village (forcément français mais occupé par les Allemands) avant la préparation d’artillerie britannique et à droite, le même lieu quelques heures après ! Sans commentaire supplémentaire !

Un ballon d’observation allemand attaqué par la DCA française et les nombreuses explosions à vide et…

…le même ballon après la touche qui l’abattit. Les observateurs ont sauté en parachute et le ballon captif s’abat au sol.

A l’arrière du front, un village visé par l’artillerie allemande.

Les troupes de réserve s’empressent d’aller rejoindre les abris. Petite interrogation: bombardement allemand mais pas de fumée, pas de poussière ? Bizarre !

La guerre continue en Palestine avec ce mur de sable de protection défendu par des Tommies.

On sait qu’à l’intérieur de ce corps expéditionnaire allié se trouvait quelques unités françaises puisqu’un Caderoussien mourut là-bas en 1918.

 

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 1er juillet 1918

(JOUR 1429 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une de ce numéro de J’ai vu, la bataille de Paris qui pourrait avoir lieu et la nomination du général Guillaumat (65 ans) comme chef des Armées de Paris ou la seconde bataille de la Marne en lieu et place du général Dubai (69 ans). Avec de tels âges, il ne faut pas s’attendre à ce que la stratégie militaire soit innovante.

Il faut dire (et on en a déjà parlé) que les Allemands sont aux portes de Paris, à Château-Thierry. Comme on le voit sur cette carte, la situation du front les avantage plutôt et défavorise des Alliés.

Scène de guerre:

Un voltigeur et un grenadier à l’assaut d’une mitrailleuse.

En Italie aussi, les Autrichiens ont essayé d’enfoncer la ligne de défense des Italiens avec leurs alliés en Vénétie mais ont échoué.

Des hommes en bataille non pas contre des ennemis mais pour tenter de dominer l’envol d’un ballon captif d’observation.

Et cela ne semble pas aller tout seul !

Double page centrale pour montrer l’état d’avancement des travaux  d’aménagement d’un réfrigérateur géant à Gièvres (Loir et Cher) par les Américains avec la participation de Chinois, d’Annamites, d’Espagnols, d’Africains. Cette installation permettra de ravitailler en viande fraiche les troupes américaines sur le front. A Gièvres était installé un immense camp américain pendant la guerre dont il ne reste que l’entrepôt des Alcools et l’aérodrome de Romorantin.

La page sportive de J’ai vu pour finir.

Le Belge Philippe Thys remporte la classique cycliste Tours-Paris. Mais pourquoi n’est-il pas mobilisé ? Thys a toujours affirmé qu’il est le véritable inventeur du Maillot Jaune dans le Tour alors qu’il est admis que c’est plutôt Eugène Christophe qui fut le précurseur.

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LA VIE AU GRAND AIR du 28 mai 1899

Numéro 37 de La Vie au Grand Air du 2! mai 1899. Sur la couverture, une photo issue d’une réunion d’athlétisme scolaire avec du saut à la perche. Edouard Tauzin a franchi 3,05 mètres avec sa perche en bambou. Il établit là un nouveau record de France.

Recherchons l’originalité avec cette présentation d’un sport ancêtre de l’haltérophilie: les poids.

Les figures: bras tendu, poids retourné; bras tendu à la coiffe; la croix de fer simple; la croix de fer par les anneaux, les mains sur champ; la croix de fer par les anneaux, les mains à plat; la croix de fer retournée.

Exercice de la volée (les 2 temps en 3 images); la volée en poids; le salut.

Le bras tendu simple; le faux bras tendu; le vrai bras tendu; le bras tendu par l’anneau, la main sur champ; le bras tendu avec le boulet; bras tendu, le poids sur le dos de la main; bras tendu par l’anneau, la main à plat.

Suite avec l’aviateur brésilien vivant en France, Alberto Santos-Dumont. Génial inventeur, il fut possesseur de 3 brevets aéronautiques:ballon, dirigeable, aéroplane. Ci dessous, un ballon prémices des dirigeables.

Une démonstration de son engin à Paris avec quelques problèmes avec les arbres…

…mais un atterrissage réussi.

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 31 mars 1918

(JOUR 1337 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Les troupes américaines montent aux tranchées. Elles passent sous un arc-de-triomphe végétal surmonté d’un panneau indiquant WELCOME. Bienvenue aux enfers !

Le traité de Brest-Litovsk a été signé le 3 mars dernier entre Allemands et Soviétiques. Les échanges de prisonniers peuvent commencer.

Pour les Allemands libérés, c’est un rapide séjour vers l’ouest qui est à l’ordre du jour !

La lutte anti-sous-marine continue et on teste des filets contre ses bâtiments , filets maintenus à la surface par des flotteurs.

Les femmes de pêcheurs sont employés à cette tache. Les filets seront perfectionnés puisque monté en acier plus tard.

On nous a parlé de Gothas allemands, ces nouveaux avions de bombardement qui ont manoeuvré au dessus de Paris. Cette page nous montre que ces avions sont la copieux Handly-Page, un avion britannique.

Cet homme, observateur pour l’artillerie, a été pris en photo à 600 mètres du sol.

La page centrale est consacrée à l’explosion d’un dépôt de grenades à la Courneuve, en banlieue nord de Paris.

Cette explosion n’est pas passée inaperçue dans la capitale française puisque la déflagration a été entendue à plus de 65 kilomètres du point zéro. Cette catastrophe s’est déroulée le 15 mars 1918 et pas moins de 38 000 000 de grenades sont été soufflées. 15 ouvriers ont été tués et environ 1 500 personnes ont été blessés à titres divers suite à cette explosion. On remarque l’important cratère creusé par le « boum » initial.

On innove toujours à la guerre.

En haut, les Britanniques inaugurent une manière de transporter les obus du dépôt au canon. Deux hommes transportent ainsi sans problème des charges très lourdes.

En bas, c’est la nouvelle tenue des soldats chargés de lancer des liquides enflammés sur les tranchées ennemies qui est testée. Sans garantie pour l’instant de ne pas être brûlé vif en cas de retour de flamme.

Les drapeaux de la nouvelle république indépendante d’Ukraine .

La récréation durera jusqu’à la fin du conflit soviet-polonais en 1920 et la création de la République Socialiste Soviétique d’Ukraine.

La visite du Roi Victor-Emmanuel sur le front italien pour féliciter les troupes françaises vainqueurs sur le Mont-Tomba.

Le front italien est sauvé.

Pour terminer, une vue du vapeur civil espagnol « Igötz Mendi » échoué tout près de la côte danoise…

…après une attaque du corsaire allemand  » Wolf » qui sévit sur les mers et océans du monde entier  pendant longtemps en coulant environ douze navires avant d’être mis hors d’état de nuire. A noter que les équipages des cargos coulés étaient récupérés par le corsaire allemand.

 

 

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 17 février 1918

(JOUR 1295 -petite remise à jour du compteur- DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Numéro riche et diversifié. En première page, on voit un observateur allemand dans un ballon captif avec un fusil-mitrailleur sensé éloigner d’éventuels prédateurs aériens.

A Lens, des canons canadiens camouflés mais redoutables.

En Palestine, si Jérusalem a été prise, la guerre continue plus au nord:

en haut, un train de munitions turcs a été pulvérisé et en bas les blessés britanniques sont évacués à dos de chameaux.

Plus loin, cet autre train ottoman a été pris par les Anglais….

…qui paradent fièrement.

Non loin de là, à Salonique, des réfugiés macédoniens ont fui leur pays en proie à la guerre et sont abrités dans une mosquée.

On continue de tester les nouveaux chars. Après l’échec cuisant des premières expériences, le magazine explique au lectorat que désormais tout semble être rentré dans l’ordre, que les essais sont concluants et que bientôt leur utilisation lors des combats changera le cours de la guerre… ce qui finalement n’est pas si faux que cela !

Même en marche arrière comme sur cette dernière vue, le char se sort des pièges des tranchées.

En Irlande, de nouvelles élections vont avoir lieu, occasion par le partie indépendantiste irlandais, le Sinn Fein de sortir à nouveau dans les rues pour manifester contre l’occupant anglais.

On ne sait pas trop de quoi sera fait l’avenir de l’Irlande, comme on se demande ce que vont devenir les soldats serbes partis  combattre sur le front russe. Le rapatriement ? l’enrôlement dans l’Armée Rouge ou le Goulag ?

Un petit mémorial a été construit à l’entrée du boyau dans lequel est tombé le premier officier américain combattant sour l’uniforme US.

Ce D.H. Harden n’a été que blessé mais l’abri porte maintint son nom.

On encapuchonne les monuments historiques ici et là pour éviter des destructions rédhibitoires.

Même à Paris voit-on où des canons à longue portée allemand peuvent causer des dégâts.

Pour terminer, un dessin du procès de Bolo pour intelligence avec l’ennemi.

Dessin car les photos étaient interdites dans la salle d’audience. Comecon en a parlé il y a peu, le défenseur de Bolo Pacha ne pourra éviter la peine capitale.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 2 décembre 1917

  (JOUR 1217 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

On l’avait dit hier dans J’ai vu, l’intervention française en Italie fait la une du Miroir. Cette photographie retouchée montre des Italiennes distribuant des cigarettes aux Poilus français sur le quai d’une gare en Lombardie. Certainement exact pour les objectifs de la presse officielle.

Ces troupes françaises (on parle ici de franco-anglais) arrivant en Italie par Vintimille.

Assez surprenant puisque le gros des troupes passa par le Montgenèvre ou le tunnel du Fréjus, en arrivant du nord et de l’est de la France mais peut-être quelques unités furent détournées vers le sud pour dégorger les cols alpins et pour faire de beaux clichés.

Le train joua un rôle important dans cette migration d’unités françaises vers l’Italie…

…les véhicules hippomobiles aussi mais les troupes durent aussi marcher pour assurer les liaisons comme le franchissement du col du Mont-Genèvre.

Lesquelles troupes pédestres défilèrent devant l’obélisque célébrant la campagne de Napoléon la Grand en Italie, construite en 1802.

Dans ces vues peu évidentes, on nous dit que les premières troupes françaises et bien sûr les chefs sont arrivées sur le front autrichien.

La guerre dans le désert maintenant avec les Turcs en débandade devant les Britanniques (et quelques Français).

On voit ci-dessus une caravane de blessés dans le désert et…

…une ambulance bien garnie.

On a parlé récemment du raid de Zeppelin qui fit des dégâts mais connut quelques pertes. Le L-49 tombé près de Serqueux près de Bourbonne-les-Eaux, à l’arrière du front des Vosges est cours de démantèlement…

…pour être rebâti et exposé aux Invalides.

Autre destruction et réparation, ce navire de guerre français, le Kouang-Si atteint d’une torpille  et qui a miraculeusement évité le naufrage est en cale bientôt sèche pour quelque temps.

Double page centrale avec des prisonniers allemands faits par les Anglais dans leur secteur de Cambrai.

Les grosses « saucisses » d’observation toujours aussi spectaculaires.

Celle-ci est emmenée au large par un remorqueur pour veiller sur une portion de côte. Les observateurs montent à la nacelle ci-dessus puis en descendent ci-dessous.

Les sous-marins allemands sont épiés.

Pour terminer,  une vue du théâtre Passaief à Petrograd après un bombardement allemand (mais le Miroir n’en est pas certain)…

…incendie qui a causé la mort de nombreux soldats et pompiers venus combattre les flammes.

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 24 novembre 1917

(JOUR 1209 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

La une est politique pour ce numéro de J’ai vu du 24 novembre 1917. On y présente les chefs de l’exécutif, Poincaré le président de la République et Clémenceau le chef du gouvernement. Entre eux, c’est l’union sacré nous dit-on… Toujours bon à le répéter après une terrible année qui a vu naître des mouvements contre la guerre et des doutes de plus en plus grands de la population quant à une issue favorable au conflit.

La Révolution d’Octobre laisse perplexe la presse occidentale qui s’interroge sur le devenir de la Russie.

D’où ce questionnement: qui du pouvoir de Kerensky ou des Maximalistes (les Soviets) va remporter cette épreuve politique si importante pour le devenir de la guerre ?

La retraite italienne est à nouveau évoquée.

On y parle de l’héroïsme des Bersaglieri qui tinrent le front au moment du décrochage des autres unités…

…l’accueil fait aux troupes françaises dont les Alpins, au Génie qui s’attela à construire des ponts provisoires pour permettre aux troupes de se déplacer.

Le front du Chemin des Dames dans l’Aisne.

Les hommes se muent en bêtes de somme pour hisser des batteries au sommet de la ligne de crête.

Un gros ballon d’observation attirent de nombreux curieux au moment de son gonflage.

Enfin, pour terminer, une page d’affiches américaines destinées à promouvoir l’effort de guerre US et certainement à inciter les hommes à s’engager et les épargnants à souscrire aux emprunts.

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 10 novembre 1917

 (JOUR 1196 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Le front italien. A la une les généraux qui vont reprendre l’offensive… alors que leur armée est en déroute.
La presse le sait mais dit l’inverse.

Elle présente une carte sans noter la ligne de front, bien entendu et en profite pour exhiber des prisonniers autrichiens:

Quant au secteur de Gorizia, tout est calme… tour va bien.

Autre désinformation, cette offensive du Chemin des Dames…

…victorieuse bien entendu !

Un As, un pilote ayant obtenu de nombreuses victoires, a aussi un joli coup de dessin. Excellent caricaturiste, le sous-lieutenant Viallet a croqué les réaction de ses concitoyens quand ils le croisent, lors de ses permissions, à l’arrière.

Du talent, c’est certain !

Un autre dessin pour illustrer une manière rapide de rejoindre le plancher des vaches pour les aérostiers des ballons d’observation.

Les Soviets que la presse appelait jusque là les Maximalistes sont au pouvoir en Russie.

Des Chinois travaillant pour le front russe sont expulsés en renvoyés chez eux.

Quant à ces soldats US, tout va pour le mieux dans ce secteur calme.

Des Sammies bien tranquilles !

 

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 13 octobre 1917

(JOUR 1168 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une, une ébauche d’armée polonaise en France va recevoir un drapeau polonais aux Invalides.

En 1914, la Pologne n’existe plus. Le territoire est inclus dans le Reich, l’Empire Austro-hongrois et l’Empire russe. Si bien que l’on va retrouver des Polonais se battant contre d’autres Polonais sur le front de l’Est mais aussi sur le front occidental où la diaspora polonais du Nord de la France combat dans l’armée française avec en face des Polonais enrôlés dans l’Armée allemande. cela se produira en Artois et dans les Flandres. En 1917, va se reconstituer une armée polonaise libre qui voit dans la chute des empires centraux l’opportunité de création d’un état polonais.

On a vu un gros ballon « Eléphant » dans le dernier Miroir. Voilà comment se termine souvent l’observation des lignes ennemies quand surviennent les avions adverses.

La lente descente en parachute.

C’est la guerre mais les exploits civils aériens continuent.

Ainsi le capitaine Laureati a-t-il réussi un raid sans escale entre Turin et Londres. Il est fêté par les aviateurs britanniques et des compatriotes italiens.

La double page centrale est un hommage à Georges Guynemer.

Il s’agit d’un dessin représentant les spectateurs de cette séance de cinématographie éplorés quand le visage de l’As des As apparaît sur l’écran. Une scène faisant très « image d’Epinal » !

Aux Etats-Unis, l’enrôlement des troupes continue. 

C’est le président Wilson qui dirige cette manifestation en faveur de l’engagement de volontaires.

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