Comme au bon vieux temps… de la Grande Guerre, de Vichy ou de l’Algérie !
Ou peut-être tout simplement une petite erreur dans la mise en page et… l’absence de relecture !
Comme au bon vieux temps… de la Grande Guerre, de Vichy ou de l’Algérie !
Ou peut-être tout simplement une petite erreur dans la mise en page et… l’absence de relecture !
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Deux ans après la victoire de Marco Pantani, le Tour revient au Ventoux après une longue étape partie de Lodève, ne présentant pas de grandes difficultés avant l’ascension finale.
Il fait très chaud cet après-midi-là et le mistral est au abonné absent. Des litres de sueur seront dépensés par les acteurs et les spectateurs sur les pentes du Mont-Ventoux où la Gendarmerie a estimé la foule à 350 000 personnes. Considérable puisque cela fait environ 17 personnes par mètre-linéaire !
C’est le chouchou du public français et provençal qui va s’imposer sous l’Observatoire: Richard Virenque:
De retour dans le peloton après 2 ans de suspension suite à l’affaire Festina en 1998, celui que les Guignols de l’Info de Canal+ ont popularisé avec cette formule « à l’insu de son plein gré » pour expliquer ses prises de produits dopants, ne croit plus à ses chances pour la victoire finale comme par le passé, en 1997 par exemple. Par contre, pour des succès d’un jour, pour une victoire d’étape, pour un maillot à pois, il est bien décidé à saisir sa chance et le Ventoux était coché sur son agenda secret depuis l’automne.
Mais pour y parvenir, il faut mieux éviter une confrontation directe avec Armstrong, imbattable quand les difficultés surviennent et qui a envie de faire taire ceux qui l’avaient critiqué, il y a 2 ans pour sa mansuétude pour il pirato.
Alors, Richard Virenque va se glisser dans un groupe de 11 coureurs parti dès la sortie de Lodève. La chaleur et la perspective finale vont permettre à ce groupe de creuser des écarts conséquents qui vont atteindre plus de 12 minutes à un moment pour ne compter plus de 7 minutes au pied du Géant de Provence.
Dans ce groupe, un seul adversaire pour Virenque, le petit grimpeur russe Alexandre Botcharov, mais surtout Armstrong à l’arrière. Toutefois, rien ne pouvait empêcher le Hyérois dans sa quête de victoire:
Virenque seul devant et bientôt…
Armstrong seul derrière après avoir lâché ses plus dangereux adversaires du peloton, dont Joseba Beloki.
Un mano à mano à quelques minutes d’écart et une avance qui fond comme la glace dans la fournaise du Ventoux:
Richard Virenque devant…
qui souffre…
qui sent la victoire proche…
et qui finit par triompher en gardant une marge de sécurité suffisante sur Botcharov (1’58 ») et Armstrong (2’20 ») comme on peut le lire sur ce classement:
Quant à Armstrong, c’est un peu Charly sur cette photo de Vélo magazine…
et qu’on aperçoit quelque part dans la multitude:
Un Armstrong inspiré…
qui va se retrouver sur le podium au pied de l’Observatoire en jaune, comme en 2000…
mais qui ne gagnera jamais sur le toit du Vaucluse.
Les journaux vont plus ou moins fêter cette victoire:
plutôt bien pour le cahier sportif du Dauphiné Libéré…
en se projetant vers la suite de la course dans l’Equipe (course qui semble pourtant jouée, sauf accident comme on dit) et en oubliant de citer le nom du Ventoux.
Des titres qui préparent des louanges pour l’Américain après l’arrivée à Paris et sa 4ème victoire…
pour L’Equipe ou
Vélo Magazine avant…
de le descendre quand la tricherie sera dévoilée… chose dont on pouvait se douter à partir de 1999 !
De notre côté, nous avions couché au bord de la route, à 2km du Chalet Reynard pour voir passer le Tour, derrière un camping-car de Turinois chantant la gloire de Trezegol.
La presse fit état de la disparition de l’Aspirant Bernard Goujon d’Ancone en août 1961 puis de son inhumation à Ancone en septembre 1961.
Le Dauphiné Libéré du 15 août 1961 évoque le décès de Bernard Goujon et présente ses condoléances à sa famille dans un petit article en page départementale.
C’est au moment des obsèques que le Dauphiné Libéré couvrit largement l’événement qui avait bouleversé toute une région.
Dans le journal du 11 septembre tout d’abord, l’avis des obsèques de la famille et celui du conseil municipal qu’Albert Goujon, père de Bernard présidait.
Le 12 septembre, c’est un article en page locale qui rappelle la cérémonie.
Le 13 septembre, un article beaucoup plus conséquent relate les obsèques suivies par tout le village et de nombreuses personnalités civiles et militaires.
Un article qui permet de comprendre toute la solennité de cette cérémonie et la peine que le village avait éprouvé devant ce drame.
Autre quotidien départemental,
dont la zone de diffusion est plutôt sur Valence ne parle pas du décès de Bernard Goujon au mois d’août. Par contre, au moment des obsèques, le journal publiera un grand article en page régionale, rappelant également les faits.
Un hebdomadaire local maintenant (Drôme-Ardèche sud):
En pleines vacances d’été, l’hebdomadaire ne paraît que 2 fois par mois. L’article est important et ressemble à celui du Dauphiné, certainement écrit par la même plume, cela sera encore plus net plus loin.
Après les obsèques du 12 septembre….
l’article est conséquent, proche de celui du Dauphiné, malgré une mise en page moins visible.
Malheureusement, toujours pas de photo de cette cérémonie.
Le texte du long article pour vous permettre de le lire:
Autre hebdomadaire local, aujourd’hui disparu,
du 19 août annonce le décès en Algérie:
Après les obsèques, le numéro du 16 septembre publie un article tout en longueur comme pour la Tribune, sans réel titre en page 2:
En détail pour vous permettre la lecture:
Un texte proche de ce que l’on a déjà lu.
Enfin, un hebdomadaire départemental, proche de l’église catholique, qui malgré que la famille Goujon était très croyante, n’en fit pas trop:
Un petit article apprend aux lecteurs le décès de Bernard Goujon
Le
c’est dans un éphéméride départemental
que sont sobrement évoquées les obsèques.
Enfin, plus tard dans le temps, le bulletin des Anciens Elèves Maristes d’Aubenas…
consacra une page à la mémoire de Bernard Goujon.
Avec une nécrologie rappelant le parcours de cet jeune « ancien » élève
la citation militaire
et le discours (déjà lu dans le précédent article du blog) prononcé par le capitaine de l’unité, en Algérie, lors des premières obsèques.
Les photos et documents des 2 articles ainsi que ce dernier bulletin sont la propriété de Françoise Keledjian qui doit être remerciée pour sa collaboration. Les coupures de presse ont été trouvées aux Archives de l’Agglo. à Montélimar (Le Dauphiné) et aux Archives départementales (La Tribune, Le Montélimar et Peuple Libre).
Cela se passa dans la nuit du 7 au 8 juin 1956 et c’est le
du
qui relate les faits.
Pas moins de 2 articles pour informer sur ces événements, il faut dire que les cambrioleurs s’attaquèrent à 2 bureaux: Espeluche puis Grâne dans la même nuit.
Ce premier article relate l’infraction au bureau de Grâne, village de la basse vallée de la Drôme à mi-chemin de Loriol et de Crest, intrusion réussie malgré la présence de la receveuse (en photo) certainement terrorisée. Les gangsters qui réussirent à pénétrer dans les lieux ne trouveront que le porte-feuille de la fonctionnaire qu’ils délestèrent d’une somme minime 20 000F (d’avant 1960) soit 200F (d’après dévaluation) soit 30 euros actuels mais ne mettront pas la main sur la caisse du bureau. Toutefois, 30 euros en 1956 devaient permettre de vivre quelques jours.
Mais leur première tentative eut lieu cette nuit-là à Espeluche où mon père était en poste et où il résidait avec sa famille, c’est-à-dire ma mère et moi, bébé de quelques mois que j’étais.
Ci-dessus l’article et ci-dessous un gros plan sur la relation des faits…
…assez exacte pour en avoir entendu parler.
Les gangsters avaient certainement repéré la chambre du receveur car la lumière y avait été éclairée, le bébé ayant pleuré juste avant. Ils ne s’étaient donc pas attaqué à la porte principale située juste en dessous de la chambre mais à une porte « de derrière » tout aussi bien défendue mais plus éloignée et discrète. Toutefois, le bruit de la vrille avait réveillé mes parents qui avaient d’abord cru à une souris (il y en avait pas mal à cause de la cave) farfouillant dans ma caisse de jouets à mi-escalier. Ils avaient vite compris de quoi il s’agissait en repérant l’un des malfaiteurs faisant le gué sous la fenêtre dans le lilas.
La résistance de la porte et le matériel « amateur » avaient eu raison de leur patience et les gangsters avaient poursuivi leur chemin vers Grâne pour le succès relatif qu’on a lu.
Mon père avait bien actionné le bouton de l’alarme (il n’y avait pas de téléphone à l’étage, il y sera placé après cette nuit) sonnette qui donnait à l’autre bout de la rue chez le facteur auxiliaire Georges Bonnet… qui, le temps de s’habiller et peut-être pas très rassuré, arriva plus tard en tirant des coups de fusil de chasse en l’air… quand les malfrats avaient déjà déguerpi.
Le bâtiment de la poste devenu cabinet médical
photo prise en août, le dimanche du vide-greniers.
La fenêtre de la chambre était celle de droite à l’étage et la porte attaquée située sur le mur de gauche (non visible).
A suivre…
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C’est…
du 10 juin qui nous raconte la dénouement de cette histoire de cambriolages dans les bureaux d’Espeluche et de Grâne dans cet article:
On y apprend que ces malfaiteurs avaient récidivé par la suite en essayant de pénétrer dans un garage à Beaumont-lès-Valence, que leur voiture fut repérée par des « voisins vigilants » avant l’heure et que la gendarmerie fit les rapprochements avec les attaques des bureaux de poste et un vol de voiture à Nice.
Pas une BMW mais une petite cylindrée, une 4CV Renault (!) immatriculée dans le 06.
Quant à l’arrestation d’un des 2 hommes, suivant le journal, ce fut un peu comme au cinéma avec poursuite, tête à queue et course à pied dans les rues de Faventines et des Baumes à Valence.
Les malfaiteurs venaient d’Italie, de Rionero in Vulture que Google Maps nous situe dans les Pouilles, entre Naples et Bari. Une région de misère.
Quant à mes parents, la gendarmerie leur demanda bien s’ils reconnaissaient les malfrats (il me semble que le second fut aussi arrêté) sur des photos mais par une nuit sans Lune et un éclairage public moins performant que de nos jours, c’était difficile d’être sûr. Ma mère garda une frousse maladive de cette nuit du 7 au 8 juin 1956.
De nos jours à Espeluche, la plaque médicale et la boîte aux lettres bouchée de l’ex-Poste,
boîte que j’ai vu créer et où il doit rester un bout de papier dans le mur
datant la construction et les noms des personnes s’en étant occupée.
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C’est le
du
qui nous annonce cet événement sportif d’une assez grande importance locale qui va se dérouler le lendemain, le dimanche 21 mars:
LA MARCHE DES FACTEURS DE LA DRÔME À MONTÉLIMAR.
Pendant ce temps, en Indochine,
Dien Bien Phu n’en finit pas de tomber, attendant Mendès-France pour mettre fin à cette guerre coloniale.
Les champions cyclistes du printemps 54 s’appellaient
Bernard Gauthier et Antonin Rolland…
la star du music-hall était bien sûr
et les voitures étaient toujours aussi peu robustes quand elles rencontraient un platane
Donc, Montélimar s’apprête à vivre un grand dimanche sportif avec cette marche des facteurs de la Drôme… comme pouvaient aussi exister à cette époque des courses des garçons de café aussi prisées.
Le journal du samedi présente l’itinéraire de cette course:
Départ devant le bureau de Poste qui devait se trouver à l’époque place Paul Gauthier, en face du Temple, à deux pas de la médiathèque. L’actuel bureau de Poste de Montélimar n’a été construit qu’après la destruction du Collège (donc la construction du Lycée Alain Borne) à la fin des années 50, début années 60.
Les organisateurs avaient imaginé un joli circuit de 9km dans la ville, visitant tous les quartiers: les Allées, la Gare, le centre ancien, le Fust, le Géry avec un premier contrôle appelé première boîte aux lettres de contrôle, retour vers les quais du Roubion, Nocaze, les Grèzes (quartiers qui devaient être moins construits à l’époque), seconde boîte aux lettres, Saint-James, Aygu, retour en centre ville pour une nouvelle visite des rues anciennes et une arrivée devant le kiosque qui alors se situait au bord de la RN7 (les Allées), à la place de l’actuel manège.
Tout cela en tenue de facteur, bien sûr. C’était réellement une véritable épreuve sportive qui attendait les concurrents !
Pour reconnaître les concurrents, le journal donnait aussi la liste des inscrits avec dossards
par catégories d’âge, avec chez les plus jeunes, le n°7 venu d’Espeluche, mon père (écrit par erreur avec 2 R) jeune papa depuis 3 mois d’un petit garçon prénommé Michel. Dans cette liste, le n°6 venu lui, d’Allan, un certain Audigier, tonton d’un petit garçon de 6 ans qui deviendra mon beau-frère et d’un petit bébé qui sera la grand-mère de mes petits-enfants. Ouh, c’est compliqué !
Dans la liste des vétérans 2,
le n°204, Georges Bonnet, le second facteur d’Espeluche, le père de René, policier et coureur sur route de talent pendant longtemps.
A suivre pour connaître le résultat des courses dans le Dauphiné du 22 mars.
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Toujours dans le
celui du
pour narrer cette Marche des Facteurs de la Drôme. Pas moins de 2 articles pour être complet, un en page Montélimar et un autre en page Drôme… illustrés de 4 photos. Vraiment un événement important !
C’est vrai que la course a drainé la foule des grands jours, à faire pâlir de jalousie des actuels organisateurs de compétitions en ville, Ronde du Parc ou 10km pédestres de Montélimar.
et cela tout au long du parcours, comme ce passage au virage pour emprunter le pont du Fust quand on vient de Carmes.
A noter la tenue impeccable des facteurs-concurrents.
La page départementale nous raconte la course
et bien sûr égraine le palmarès de l’épreuve.
Pour ce qui nous intéresse… pour les plus jeunes:
mon père finira 17ème/20 de sa course, 2 places derrière l’Allanais Audigier .
Peut-être quelques pleurs nocturnes de son bébé ne lui avaient-ils pas facilité sa préparation,
le sommeil étant primordial pour le sportif !
A noter que le second de la course écopa d’une pénalité d’une minute…. une boîte aux lettres oubliée ?
Quant au second concurrent Espeluchois, le vétéran Georges Bonnet, il se comporta plus qu’honorablement
avec une troisième place ex-aequo immortalisée par la presse
Georges à gauche… « bon sang ne saurait mentir » pour son fils René…
Et il y eut les bouquets et la bise des Miss locales pour les vainqueurs, au kiosque, l’après-midi.
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Un mini-feuilleton dans les Dauphiné(s) Libéré(s) des 09 et 10 octobre 2014 en pages locales de Montélimar… le sauvetage d’un vire-vire au bord du Rhône, sur la commune de Châteauneuf-du-Rhône en face de l’Usine Lafarge du Teil.
Le secteur où devait se situer ce vire-vire suivant le rouleau de marinier (déjà présenté dans ce blog)
Dans le premier épisode (celui relaté le 09), on nous apprend la très future réalisation de ce projet: l’extraction de cette barque EN BÉTON abandonnée là depuis plus de 50 ans (depuis 1957).
Il s’agissait d’un vire-vire. Mais qu’est-ce qu’un vire-vire? Dans le livre
publié en 1980, du même auteur Michel-André Tracol que Mémoire de Rhôdaniens, on nous montre le dessin d’un vire-vire aussi appelé vire-soulet (ce qui en provençal signifie « qui tourne tout seul »).
Le courant du fleuve-roi faisait tourner les filets dans lesquels les poissons étaient emprisonnés et poussés sur le bateau par une rigole. Ainsi la présence du pêcheur n’était pas indispensable. Le vire-vire de Châteauneuf devait plutôt ressembler à celui-ci photographié vers 1900 sur l’île de la Barthelasse en face d ‘Avignon et du Pont Saint-Bénézet.
Dans le second épisode relaté le 10, une grue conséquente retire la barque de son carcan pour l’emmener vers une réparation salvatrice.
Un troisième épisode est prévu en juillet pour l’inauguration du vire-vire restauré… pour la Mémoire et le tourisme car les poissons du Rhône en 2014 ne sont plus comestibles, même pour une consommation animale.
Quels étaient donc ces poissons du Rhône que les vire-soulets sortaient du fleuve? M. Tracol dans son livre nous en présente 10 espèces:
la lamproie (prise au vire-vire), le chabot, l’alose (prise au vire-vire), la carpe, l’hotus (peu prisé)
l’ablette, le barbeau, la brême, l’anguille (très recherchée), la perche (concurrente des pêcheurs)
Les barrages de la CNR ont eu raison des poissons migrateurs comme la lamproie et l’alose malgré les passes-à-poissons des barrages.
Dans Caderousse, la mémoire du Rhône, un pêcheur, Samuel Vaton brandit les lamproies qu’il vient de prendre au vire-soulet du village
13 juin 2015: 8 mois après, on reparle du Vire-vire de Châteauneuf-du-Rhône dans le Dauphiné Libéré.
Il a été restauré mais le travail n’est pas fini. Pour la journée des associations au stade de rugby du village, il a fait un premier come-back public.
25 juin 2015. Des nouvelles fraîches du vire-vire de Chateauneuf-du-Rhône sur le Dauphiné.
La question: où va être exposé définitivement ce témoin du Rhône d’antan ? A suivre…
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Dans le du , on peut lire à la une cet article
Un an après la bouffée d’air de Mai 68, alors qu’Apollo XI revient vers la Terre après avoir permis au premier homme de poser un pied sur la Lune, le vieux dictateur acariâtre et inflexible choisit l’avenir des Espagnols sans leur poser la question.
Il a choisi Juan Carlos pour lui succéder quand il prendra sa retraite, traduction en langage moins diplomatique, quand il sera mort.
L’introduction du correspondant du journal Edouard de Blaye est sans équivoque:
Trente huit ans et quatre mois après l’abdication du roi Alphonse XIII, l’Espagne mérite à nouveau pleinement depuis hier soir, le titre de royaume. Près de quatre décennies d’une histoire souvent mouvementée, parfois tragique, n’ont donc guère serviqu’à ramener le pays au point de départ. Et ceci parla volonté du seul généralissime Francisco Franco « Caudillo d’Espagne », par la grâce de Dieu »
En bref, tout ça pour ça.
Suit une présentation assez correspondante du futur nouveau roi
qui a abdiqué il y a peu. Il est certain que la question de la légitimité de cette monarchie (certes devenue constitutionnelle) posée par beaucoup au moment de cette abdication était loin d’être saugrenue.
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