(JOUR 658 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
A la une, le général Sarrail paternaliste à Salonique signant un autographe à un « bambin ». On nous dit que sa signature rejoindra l’album que tient l’enfant.
Un signe du prochain engagement américain, un sous-marin géant, pas forcément adapté à sa mission, faite de discrétion.
Autre innovation technique, un lance-bombes de tranchées:
Verdun et le déplacement des populations civiles… 
aidées par l’armée dans leur fuite devant les bombardements ennemis.
Après les combats, les hommes doivent décompresser.
Déguisements, saynètes… tout pour paraître heureux et oublier un moment la mort imminente.
Encore une vue de Navarre, l’aviateur à la mode, très médiatiquement connu.
Il en est à 14 victoires pour 42 combats.
Proche de canaux, les Poilus se reposent dans des péniches ou sont déplacés vers Verdun de cette manière.
Une scène d’une attaque fictive…
que Sur le Vif essaie de faire croire que c’est la réalité. Ce sont certainement des manoeuvres dans le camp de Mourmelon.
Pour terminer,
le prêtre-Poilu devant son autel et…
le pinard, la récompense, l’alcool… la drogue du Poilu !










