(JOUR 495 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
On nous annonce un numéro spécial de J’ai vu ce 11 décembre 1915 sur la situation des Balkans dans lesquels les troupes françaises sont engagées autant du côté de la péninsule de Gallipoli contre les Turcs qu’en Serbie contre les Bulgares. Et tout cela aux côtés de Grecs indécis.
Des cartes pour que les lecteurs comprennent la situation:
Une première pour donner du baume au coeur des lecteurs de J’ai vu: les Allemands et les Austro-hongrois entourés de toute part…
Une grande Bulgarie, un rêve des dirigeants de ce pays qui les a poussés à s’engagerl;;;;k:mllllllllzé aux côtés des Allemands pour le réaliser.
Des Bulgares qu’on nous présente avec ce vieux berger…
moitié pasteur, moitié brigand… sans en dire plus.
La Grèce telle qu’elle est et telle qu’elle souhaite devenir… Oui mais, en rejoignant quel camp ?
La famille royale grecque, à table, se pose des questions.
Pour en venir aux hommes sur le terrain, les troupes serbes font l’admiration de leurs ennemis bulgares:
Comme les Grecs, les Roumains hésitent de s’engager.
Le roi de Roumanie, Ferdinand 1er entouré de ses enfants Elisabeth et Charles.
Sans oublier l’Empire Ottoman , les Turcs, maîtres de la situation dans les Balkans depuis qu’ils mettent en difficulté les Alliés. Une photo de tourisme que cette Corne d’Or prise depuis une fenêtre dominant les détroits:
des Turcs dotés de matériel moderne distillé par le grand frère allemand:
Mitrailleuse dans les rues de Constantinople.
Le petit Monténégro s’est rangé du côté de la Serbie:
tandis que les troupes françaises débarquent du côté de Salonique sous la protection de la Marine de guerre française:
En bas à droite, le général Sarrail, chef du corps expéditionnaire français en Orient.












