(JOUR 728 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
A la une, un aviateur allemand sort de l’état-major après son interrogatoire. Il venait d’âtre abattu derrière les lignes françaises.
Une annonce qui va avoir de l’importance, vous allez le voir dans les semaines à venir, le prix d’achat du magazine passe de 15 centimes à 20 centimes pour cause de crise du papier.
Après l’offensive de Picardie, les prisonniers allemands se comptent par milliers.
Pendant cette guerre, les hommes se transformèrent en taupes. Ici un Tommy qui ne craint pas les éboulements de terrain.
Autre vue de la guerre des mines.
Plus chanceux ces soldats en convalescence au bord de la mer, à Deauville pour ne rien gâcher.
Deux pages pour parler des troupes venant des 4 coins de l’Empire français.
Les troupes noires composées de Sénégalais et Soudanais, la terreur des Allemands gorgés de préjugés.
Les troupes annamites avec leurs chapeaux coniques guère efficaces pour arrêter les balles.
A Verdun, la côte 321 où eurent lieu des combats.
On y parle de la ferme de T… dont il ne reste qu’un tas de pierres.
Déjà certains s’emparent de la mort de Driant pour créer un culte à sa mémoire…
et récupérer quelques sympathies politiques avec cet hommage. La guerre n’était pas finie mais les Ligues commençaient à apparaître.
L’ancien sultan du Maroc, Moulaï-Hafid, qui démissionna (ou fut poussé à la démission) en 1912, au moment où les Français imposèrent le Protectorat au Royaume Chérifien. En 1916, il réside à Barcelone depuis 1 an.
Pour terminer, un trait d’humour…
La lutte contre les totos (les poux) et une pancarte humoristique.


















