(JOUR 503 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
Un vue de la presqu’île de Gallipoli avec l’entrevue au Quartier Général Britannique entre un plénipotentiaire turc venu négocier un armistice pour enterrer ses morts. On le voit masqué pour ne pas qu’il se repère.
Non loin de là, une double page sur Salonique, un solide camp retranché et les renforts qui arrivent par la mer:
En Albanie, ce sont des Italiens qui doivent se déployer pour aider l’armée serbe en débandade.
Leur présence ainsi que celle de la Marine Française permettra à évacuer la majorité de l’armée serbe qui une fois reconstituée viendra renforcer le front d’Orient de Salonique.
En Afrique, la guerre se poursuit autour des colonies allemandes, principalement au Cameroun, où on nous montre des tirailleurs sénégalais en pleine action:
On ose ici montrer un soldat français tué évacué par ses frères d ‘arme. Est-ce parce qu’on a affaire à des troupes coloniales ?
Une double page explique l’achat d’armes aux Etats-Unis. D’un côté, les munitions qui arrivent par cargos entiers pour les pays de l’Entente…
de l’autre côté, l’or qui a traversé l’Atlantique dans l’autre sens pour être placé dans les banques américaines pour payer ces armes mais aussi éviter qu’il tombe dans les mains allemandes en cas d’une offensive décisive:
La presse en avait déjà parlé (et unmondedepapiers) également.
Pour terminer, des églises qui ici et là (Fresnes-en-Woëvre, Foncquevillers et Ypres), ont vu leurs clochers tomber à terre:
Deux portraits, ceux du capitaine de Puybusque, distants de 45 ans l’un de l’autre.
Jeune capitaine en 1870, vieux soldat en 1915.
On a parlé dans J’ai vu du lieutenant Vincy qui coula un sous-marin depuis son avion. Le Miroir nous présente son visage:
Mais est-ce Vinney (J’ai vu) ou Vincy (Le Miroir) ?















