(JOUR 152 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
La une avec la photo de 3 Poilus qui ont reçu au total 22 balles ennemies sans grand dommage apparent. Le soldat de droite est un Lyonnais puisqu’apparaît le nom de son unité (de réserve) sur son col 229ème Régiment (constitué à Sainte-Colombe-lès-Vienne en 1914). Quant à l’homme du centre, c’est un Corse puisque le 223ème régiment venait de Bastia.
La page des disparus est conséquente…
et émouvante. Juste en allant chercher sur Mémoire des Hommes les 10 premiers noms de cette liste, on retrouve 8 fiches correspondant à ses hommes. L’espoir de leur famille d’avoir de leurs nouvelles s’évanouit assez vite certainement.
On nous présente une carte de l’organisation aéronautique allemande…
avec les lieux où sont installés les unités aériennes (avions ou Zeppelin). Comme quoi il y avait aussi un système d’espionnage des alliés efficace !…
et une lutte anti-aérienne qui l’était tout autant.
Un taube détruit après avoir survolé Paris.
La guerre sur le front est se déroule dans des conditions météorologiques difficiles
ce qui n’empêche pas la violence des combats
A la vue de l’état des rails après celui-ci, on imagine ce qu’il est advenu d’hommes présents dans ce secteur !
Des tranchées
françaises
allemandes
Des scènes plus dures avec la récupération des corps sur le champ de bataille après un combat
mais nouveauté dans le discours du titre, ce ne sont pas des morts allemands qu’on récupère mais nos soldats tués ou nos chers morts qui doivent être pieusement inhumés ou ne pas rester sans sépulture.
Enfin une photographie d’une batterie de montagne dans les Vosges
intéressante quand on sait que c’est sur une batterie semblable que le grand-oncle Séraphin Guérin servit pendant 3 ans à partir de 1916 (on en reparlera prochainement).























