(JOUR 241 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
Un poste d’observation dans une tranchée belge. On est vraiment dans cette guerre des tranchées et les unes des magazines montrant les hommes dans leurs abris sont de plus en plus nombreuses.
Un abattoir de campagne à l’arrière du front…
pour expliquer que les hommes bénéficient régulièrement de viande dans leur alimentation. Même s’il ne faut pas exagérer, la nourriture restait relativement correcte.
Des camions bien alignés
Alors que l’armée française ne possédait que quelques dizaines de camions au début du conflit, l’Etat-Major comprit bien vite que le ravitaillement serait le nerf de la guerre. Les Allemands privilégièrent le train. Les Alliés choisirent le camion comme mode de transport principal du matériel. L’illustration de ce choix se fera au moment de Verdun et de son approvisionnement pas la Voie sacrée parcourue jour et nuit par des milliers de véhicules. A la fin du conflit, l’armée française était à la tête d’un parc considérable de camions.
Quant aux anglais, ils transportent leurs hommes dans d’anciens autobus militarisés.
Encore des débris d’un Zeppelin rapidement récupérés et recyclés.
Un ballon d’observation belge
gonflé par les aérostiers. il servira à observer l’ennemi et à régler les tirs d’artillerie. Mais c’était une proie facile à la chasse adverse.
Les ruines de Drouville en Lorraine
qui datent du début de la guerre, août et septembre 1914.
Enfin avec l’ouverture du front des Dardanelles, La Guerre Photographiée nous présente 2 navires de guerre prenant part aux opérations:
Les cuirassés « Courbet » et « Condorcet ».







