(JOUR 454 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
L’interrogatoire d’un prisonnier allemand venant de se rendre à la une de ce numéro . Un prisonnier capable de lire des cartes et d’y désigner les positions des siens. Certainement un officier.
Le Miroir revient bien sûr sur l’offensive en Champagne qui s’est achevé il y a maintenant plus de 15 jours.
Une série de photos montre la proximité entre les lignes françaises et allemandes. A Beuvraignes, à la Fontenelle, à Ban-de-Sapt et à Saint-Waast. La premier vue a été retouchée, les autres sont claires et on voit bien qu’elles ont été prises à l’abri d’une fortification.
A l’arrière des premières lignes où se tiennent les troupes de réserve, des territoriaux bien souvent.
Cette offensive qui a permis de récupérer quelques kilomètres-carrés, des canons (on l’a vu dans Sur le Vif) et des munitions comme ces obus asphyxiants..
ou ses canons…
factices destinés à tromper les observateurs aériens.
Puisqu’on aborde ce sujet, la préparation d’un raid par les aviateurs…
et par le personnel s’occupant des appareils.

Ici on charge une grosse bombe sous l’aéronef.
Ces aviateurs allemands n’ont pas eu de chance et leur avion s’est abattu derrière les lignes françaises.
Ce combat aérien s’est déroulé au sud de Pont-à-Mousson le 11 octobre et les aviateurs n’ont pas survécu au crash.
La guerre continue en Serbie entre les Serbes et les Autrichiens.
Une double page consacrée à ce sujet. L’écrasement de la Serbie par les Allemands et les Autrichiens et leur allié Bulgare. La France et les autres alliés vont voler à la rescousse de la Serbie. Pour cela, il faut installer une tête de pont à Salonique, en Grèce. C’est la sujet des vues suivantes:
Le débarquement des troupes à Salonique.
Les blessés français en Serbie vont être rapatriés à Salonique et c’est Carrey, le dessinateur habituel du Miroir qui imagine la scène…
avec le touchant accueil des Grecs.











