LA VIE AU GRAND AIR, le premier grand magazine sportif.

Petit voyage à travers les premiers numéros de La Vie au Grand Air. Cette revue a commencé de paraître à la fin du XIXème siècle. Voici donc la première de couverture du premier numéro publié le 1er avril… sans préciser de quelle année ! En ayant les numéros suivants de la revue était bimensuelle, la direction parisienne dirigée par Pierre Lafitte, on sait que c’est le 1er avril 1898 que parut cet exemplaire.

Une Une générique qui paraîtra sur les premiers numéros. A l’intérieur, la vrai couverture avec pour ce 1er avril 1898, la course automobile et motocycliste Marseille-Hyères-Nice.

Trois concurrents s’apprêtent à partir de Paris sous la pluie pour rejoindre Marseille.

Quelques véhicules… et la découverte des classements originaux.

F. Charron vainqueur de la 1ère série de la course, les voitures de plus de 400kg.

M. le Vicomte de Soulier sur une voiturette Bollée vainqueur de la 1ère catégorie des motocycles au-dessus de 100kG.

Ormont sur son tricycle de Dion-Bouton vainqueur de la 2ème catégorie des motocycles au-dessous de 100kG.

Georges Richard sur la voiturette de sa marque vainqueur de la 2ème catégorie des voitures (de moins de 400kg)

Les concurrents de la course repartent de Nice sur la Promenade des Anglais pour le concours de Monte-Carlo.

D’autres sports en photo ou en dessins comme pour le hockey sur gazon.

Un article pédagogique présentant les principales règles de ce jeu plus qu’un sport présentant des résultats sportifs.

Une page sur la boxe avec ces sportsmen plus vrai que nature.

De gauche à droite, le Français Castérès, champion de boxe française, le champion du monde Britannique Fritzimmons vainqueur de Corbett et Charlemont champion de boxe française. A noter que le champion britannique n’est autre que l’arrière-arrière-grand-père de Wayne Rooney.

Des cyclistes un peu particuliers…

Les conscrits de la classe 98 de Marmande se sont rassemblés en vélocipèdes le jour du tirage au sort… de ceux qui feront les 3 ans de service militaire.

Enfin, la mort d’un toréador espagnol Frascuedo qui a laissé une immense fortune à ses successeurs.

 

Poster un commentaire

Classé dans Revues

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.