JEUX: une soirée avec PRESTON pour préparer « sa » rentrée à Toulouse (mercredi 7 février)

Petite soirée à 2 à la maison avec Preston pour conjurer le froid glacial sans neige. Des jeux à 2 donc avec un double affrontement sur DUEL.

Vraiment agréable cette version à 2 de SEVEN WONDERS. Rapide et efficace !

Une manche pour chacun. La première pour Preston qui refait le coup de la collection des cartes bleues, celles qui donnent des points de victoire faciles à attraper.

La seconde, il croit me la refaire et je fais mine de lui laisser le champ libre. Sauf qu’à mon avant-dernière prise, j’arrive enfin à attraper ma 5ème science. Trop tard pour la victoire immédiate à six sciences ? Que nenni ! A ma dernière prise, je construis ma première merveille (il était temps) grâce à un petit pactole mis de côté. Elle me permet d’aller chercher une carte dans la défausse, carte que j’avais repéré depuis la première série de cartes: une nouvelle science qui permet d’avoir un double, avantage qui me fait attraper le jeton de la balance de la justice, équivalent à une sixième science et victoire immédiate ! Vive fait bien fait mais c’était de peu !

Seconde partie de soirée avec le plat de résistance: ESPANA 1936, le jeu de simulation historique sur la guerre d’Espagne.

 

Le sort veut que Preston joue le Nationaliste et moi la République.

Finalement, l’histoire va se reproduire malgré des jets de dés plus que médiocres pour Preston. Peut-être suis-je un peu trop téméraire et je perds trop vite des unités dans des combats incertains. Toujours est il que la partie s’arrête  au 5ème des 10 tours prévus, c’est-à-dire fin 1937. Madrid vient de tomber un peu plus tôt que dans la réalité, Durruti a bien été assassiné, trois unités de miliciens se sont battues entre elles et on disparu de la circulation laissant un trou du côté de Zaragoza et surtout, Preston tient 8 villes, condition de victoire immédiate au moment du redéploiement des forces.

De toute façon avec seulement 4 renforts contre 8 au Nationaliste, l’agonie lente du camp républicain guettait. On  n’eut donc pas le loisir de jouer avec le second paquet de cartes, celles couvrant les événements de 1938-39. L’histoire se réécrivait comme le prouve cette carte des combats à la fin de 1937.

Bonne soirée et bonne scolarité à l’école de contrôleurs aériens de Toulouse pour Preston !

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