La Une avec une embuscade attandant une patrouille de uhlans… à l’époque de la guerre de mouvement certainement.
(JOUR 143 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
La guerre aérienne avec ce ballon captif servant à l’observation des lignes ennemies.
Les observateurs étaient placés à bord et voyaient directement… Ils étaient aussi la cible des tireurs adverses.
Un biplan britannique aussi fragile que les aéronefs français. L’équipage emporte des bombes, des flèches et est doté d’une mitrailleuse.
Le capitaine Faure qui vient de disparaître à Issy-les-Moulineaux, loin du front donc.
La vie dans les tranchées, pour les hommes, l’important, ce sont les repas. Cette cantine installée près de Rambervilliers (en Lorraine)…
est annoncée comme très moderne et le commentaire qui accompagne la photo délicieux:
Le grand air, pas d’odeurs, des plats succulents, cette cuisine de nos soldats peut rivaliser avec les cuisines des grands restaurants.
Rien moins que ça !
Ce sont aussi les nouvelles que reçoivent les hommes.
Ici la presse destinée aux soldats allemands.
Un autre commentaire remarquable accompagnant cette photo du chimiste Eugène Turpin, spécialiste des explosifs.
Le célèbre chimiste français qui a donné à l’armée française ses merveilleux explosifs.
Près de Saint-Nazaire, des chevaux canadiens venant prendre la relève des chevaux français dont beaucoup ont été tués lors de ces 4 premiers mois de la guerre.
Enfin une caricature qui en dit long sur l’espoir des 2 camps de voir l’Italie le rejoindre.
Malheureusement pour le Kaiser, les Italiens avaient des différents frontaliers avec son allié austro-hongrois.