Le plat principal en guise d’hors d’oeuvre avec un CYCLADES à 5 et tout plein de belles figures peintes. Dommage de ne pas avoir sorti l’appareil photo plus tôt !
C’est un jeu de développement aux mécanismes assez fluides mais avec pas les cartes qui viennent modifier le cours de la partie. L’argent est bien sûr le nerf de la guerre. Le principe des enchères est sympa si on a les moyens mais le jeu demande une bonne connaissance des créatures mythologiques (des cartes) qui apportent beaucoup d’interaction (comprendre de nuisances pour les autres). Il faut donc jouer souvent à CYCLADES et retenir pour être efficace sur la durée. La victoire est allée à celui qui avait la plus grande connaissance du jeu, alors que pas de joueurs n’étaient pas loin de terminer… sauf Fred cette fois.
La baisser de rideau avec COLT EXPRESS à 6, le maximum pour le jeu, à une heure plus acceptable que vendredi dernier.
Prévu comme jeu de programmation lors de la pose des cartes… comme à certains tours, cette pose se fait face cachée, au bout d’un moment, on ne programme plus rien… ou plutôt on programme des actions qui tombent à plat (coup de poing sans voisin, coup de pistolet avec personne à l’horizon, ramassage de butin alors qu’il y a bien longtemps qu’il n’y en a plus…). Car il faut deviner ce que les autres vont faire alors qu’on a déjà assez de mal à savoir ce qu’on va faire soi-même !
Comme chaque personnage u’on joue possède un pouvoir particulier, ma chance fut d’avoir Belle sur qui il est plus difficile de tirer dessus ou de mettre un coup de poing alors qu’elle ne se gène pas de faire usage de son colt. Cela me permit d’avoir le bonus du meilleur tireur à la fin… sans être trop encombré des balles adverses. Et la belle Belle remporta la partie…
Pendant ce temps, Théo put optimiser son récent achat d’ARCHIPELAGO en trouvant d’autres partenaires pour une nouvelle partie aux règles plus maîtrisées mais toujours aussi longues à expliquer…
et le Président… présida !




