(JOUR 854 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
A la une de ce Miroir qui ne présente pas une grande unité, un abri proche du front dans lequel se repose un Poilu.
En haut, le bombardement a détruit le réseau de barbelés allemands, ne le rendant pour cela pas plus franchissable. En bas, un mer de douilles d’obus tirés.
Le dur transport des torpilles aériennes par les hommes dans un relief hostile.
Prises sur le vif, les tirs de barrage de canon de 305 à longue portée, dans la Somme.
Ce qu’il reste du fort de Vaux, repris par les Français, pour la défense de Verdun.
A Verdun justement, corvée de blanchissage pour des hommes « au repos » dans le quartier de Belleville.
4 vues sur cette double page centrale célébrant la prise de Monastir, sur le front d’Orient, le 19 novembre dernier, avec l’apport des troupes serbes combattant avec les Français et sous des uniformes français.
La carlingue disséquée d’un avion allemand, un Rumpler. Toujours intéressant de récupérer intact un avion ennemi pour en faire l’étude et s’inspirer des progrès techniques.
A gauche, le vieil empereur d’Autriche-Hongrie, François-Joseph, à cause de qui la guerre a débuté, en août 1914, qui vient de décéder à l’âge de 86 ans, le 21 novembre dernier et à droite, son successeur, qui a pris le nom de Charles VIII, âgé de 29 ans et présenté comme un personnage falot par Le Miroir.
Les conséquences de l’attaque franco-britannique sur la Somme: des cimetières provisoires, comme ici dans le secteur d’Assevillers.
Une histoire de cloches: en haut, celle de Fleury tombée au sol dans le secteur de Verdun et en bas, une autre transportée par des hommes près du village de Béthencourt, dans la Somme.
La jolie vallée de l’Oltu, avec ce fleuve sur lequel flotte du bois, où le troupes roumaines se sont repliées après quelques échecs.