(JOUR 1526 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
Des marcassins prisonniers de guerre. Il s’agit là des mascottes d’un régiment allemand qui s’est retiré, du côté de Saint-Mihiel. Il est bien possible que ces paisibles cochons sauvages viennent améliorer l’ordinaire de quelques Poilus !
Toujours à Saint-Mihiel, un régiment d’infanterie américain traverse la ville dévastée.
Sur le front d’Orient, le déroulé de la guerre est symétrique à celui de l’ouest. De partout les troupes bulgares refluent.
En haut des troupes françaises s’apprêtent à traverser le Vardar. En dessous, artilleurs serbes dans des abris.
L’effondrement du front bulgare est spectaculaire et les prisonniers se comptent par milliers.
Même schéma en Palestine pour les troupes britanniques du général D’Allendy…
…ici à Jérusalem.
40 000 prisonniers de guerre turcs, 265 canons saisis soit la totalité de l’artillerie turque. On peut ici aussi parler d’effondrement du front turc.
Revenons au font occidental.
C’est au tour aux villages de Lorraine de connaître les destructions.
Plus au nord, les Britanniques ont atteint la ligne Hindenburg…
…mais les destructions sont considérables du côté de Lens et du bassin minier.
Encore plus au nord, ce sont des troupes belges qui libèrent leur pays…
…du côté de Dixmude. Là également, le front allemand ne va pas tarder à céder totalement.
Un mot pour finir pour présenter des chenils britanniques…
…dan lesquels on entraîne des chiens dévoués à plusieurs missions: assister les forces sanitaires, transporter les messages à travers les lignes, garder les positions pour prévenir des intrusions ennemies.