Archives de Catégorie: Jeux

livret de la règle traduit de l’italien au français

JEUX: SOIRÉE des LUDIVORES du 10 octobre: ISLE OF SKYPE et BANG ! BANG ! BANG !

Des cataractes d’eau tombant du ciel pour cette soirée et une petite chambrée de Ludivores. Après la chaleur du mois dernier, la pluie aurait donc retenu nombre d’anciens adhérents de l’association. A moins que la concurrence locale de soirées privées ne soit en train de mettre dans les cordes les Ludivores. On verra dans les prochains mois si cette tendance s’inverse.

Cataractes du ciel, cataractes de mon nez… trois paquets en quatre heures ! Heureusement que ce ne sont  pas des cigarettes !

ISLE OF SKYPE pour commencer la soirée. Un jeu déjà vu il y a quelque temps. C’est un CARCASSONNE amélioré ? Pour le décompte final, c’est sûr que c’est nettement plus difficile. Pour le reste, est-ce mieux ? C’est plus délicat également mais est-ce nécessaire pour un « petit » jeu comme celui-ci.

Et puis monter chacun dans son coin son petit monde, est-ce bien utile ? Un seul monde avec l’adversaire finissant une région que tu préparais amoureusement depuis longtemps… oui, mais alors, c’est vrai, ce serait… CARCASSONNE !

Florentin longtemps derrière nous explose au décompte final. Daniel longtemps devant fait l’inverse… et moi, je reste au milieu.

Suite et fin de soirée avec des parties de BANG ! endiablées…. comme à chaque fois. Trois d’affilées.  Alors que Daniel est allé se coucher, Ewoud le remplace mais n’est guère plus réveillé.

Florentin le renégat devra attendre la troisième partie pour enfin venir à bout du shérif. Lui qui avait amené le jeu ! Grâce au fait d’avoir lu la règle qui veut que la « bière » ne rend pas un point de vie en cas de combat singulier.

Soirée sympa !

 

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JEU: une VISITE LUDIQUE du CENTRE ANCIEN de MONTPELLIER

Nous sommes devenus Chasseurs de Trésors dans le centre historique samedi dernier. Pas réellement de trésors mais plutôt d’indices sur des monuments historiques du centre ancien, de la fontaine de la Comédie au Peyrou et aux Arceaux… et retour.

Un coffret à acheter à l’Office du Tourisme…, un coffret rempli de livrets et d’objets dont l’utilité apparaîtra à mesure de l’avancée de l’enquête comme ce stylo « déroulable » un peu particulier.

Deux circuits sont proposés aux visiteurs-joueurs. Nous avons choisi « Mamie j’ai raté le futur » à la recherche du « bon » fantôme à travers d’illustres Montpelliérains de naissance ou d’adoption…

…autant Nostradamus qui y fit ses études comme François Rabelais, que Jacques Coeur, Saint-Roch ou François Lapeyronie qui y naquirent sans oublier, plus près de nous, Jean Moulin qui y séjourna et se fit tirer le portrait pour une photo historique, Juliette Gréco et même le facétieux Rémy Gaillard.

Une histoire tarabiscotée prétexte à une balade ludique, sans souci de performance chronométrée !

Pour la petite histoire, nous n’avons pas trouvé la bonne réponse… une histoire de couleurs !

La même société propose des balades ludiques ailleurs en Occitanie, à Montpellier même pour un parcours plus corsé dans le centre ancien, à Carcassonne dans la Cité, à Narbonne, Gruissan, Collioure, Bize Minervois et… Martigues…

D’accord, la dernière n’est pas en Occitanie !

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RÉPONSE à ERIC !

D’un côté, une librairie alternative « Fiers de Lettres » située dans le centre ancien Montpellier.

De l’autre, la tournée des plateaux des télévisions et des radios de Zemmour, ce polémiste fait par le service public qui lui a longtemps offert une tribune à partir de laquelle son discours s’est peu à peu radicalisé au point d’être aujourd’hui très proche de celui que tenaient le hommes de la Collaboration, le PPF et autres nazillons de l’époque.

Face à tant de haine, la réponse pleine d’humour  de la vitrine de cette librairie montpelliéraine est un joli bol d’air frais, un sourire et une main tendue… aux autres après ces quelques jours d’un déferlement médiatique…. en attendant les prochaines horreurs que le polémiste ne manquera pas de sortir à nouveau…

 

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Chorégies d’Orange: Philippe Gromelle, photographe et peintre des émotions humaines

Il a fait du chemin Philippe, depuis l’époque où il organisait des expositions souvenir du temps jadis pour la Saint-Michel de Caderousse… Photographe officiel des Chorégies et de tous les grands noms du monde lyrique à Orange. Bravo pour ce parcours que retrace cet article remarquable !
MG

Avatar de brigittemarltRECONDITE ARMONIE

« L »œil écoute »(Paul Claudel)

IMG_8797 (2)J’ai découvert l’art photographique de Philippe Gromelle à l’occasion de la production du Bal Masqué aux Chorégies d’Orange en août 2013. Depuis 40 ans, il promène son objectif sur la scène et les coulisses des Chorégies non en photographe mais en véritable peintre des émotions scéniques. Apprenti en photographie dès l’adolescence, il a découvert l’opéra et la musique dans l’antre étonnante d’une boutique d’antiquités tenue par un érudit à la fois pianiste, peintre, conteur, acteur.  Le don de ce dernier pour traduire sa passion pour l’art par les mots, pour la faire partager, a laissé une empreinte indélébile dans l’esprit du jeune adolescent de 16 ans. A ce moment là, l’idée de faire de la photo graphie d’art n’avait pas encore germé et ce n’est que lors de sa venue à Orange, par les hasards de la vie, que le jeune photographe a été mis…

Voir l’article original 1 258 mots de plus

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Balade au pays de La CÈZE, aux CASCADES du SAUTADET.

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è pericoloso sporgesi.

C’est ce que les accompagnateurs de la randonnée ne manqueront pas de dire aux marcheurs, dans la langue de Molière, en s’approchant, non pas d’un tunnel mais des cascades du Sautadet.

En effet, par temps humide, le caillou lisse glisse et le bain engendré pas bien chaud ! Il faudrait pourtant que le caillou soit humide même sous un ciel bleu, pour qu’un orage tombé la veille rende les eaux de la Cèze, dans les cascades, en furie.

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La Cèze… un petit affluent du Rhône qu’il rejoint au nord de l’Ardoise, lieu-dit industriel de Laudun que nous avons visité en mai dernier, du côté du camp de César.

Petite sœur de l’Ardèche et du Gard, ses colères n’en sont pas moins autant dévastatrices quand les eaux déferlent des Cévennes et s’étalent dans la plaine de Bagnols. En 2002, un supermarché et quelques magasins modernes furent rayés de la carte en aval du pont de la nationale, après un très violent épisode cévenol.

La peur engendrée par ce pourtant paisible ruisseau a poussé la municipalité de Codolet, en dessous de Marcoule, à rehausser ses digues en 2015, ce qui donne au village, pour peu qu’on le voit d’en-haut, des faux airs de kibboutz ou de camp… sans miradors. Pourtant ce village ne craint plus rien des caprices du Rhône aménagé par la CNR.

Pas de souci de cet ordre pour La Roque-sur-Cèze construite à hauteur suffisante pour ne pas souffrir des colères de la Cèze. Même chose pour le pont qui enjambe la rivière avec des piles disproportionnées par rapport au peu d’eau qui y passe dessous la plupart du temps. Mais les anciens étaient prévoyants !

En cette saison d’étiage, quelques bancs de sable apparaissent ici et là. Alors, si un-e conjoint-e, un-e ami-e souhaite vous accompagner, voir les cascades sans marcher sur les dix-neuf kilomètres du circuit concocté par nos organisateurs-accompagnateurs…

Tracé

 

…qu’il-elle amène sa pelle et son seau ! Non pas pour retourner en enfance, non ! Qui sait, en fouillant un peu les sédiments descendus des Cévennes, avec un peu de chance, il-elle trouvera peut-être un petit caillou jaune et brillant…  le début de la fortune… pour réparer le toit de la « chapelle »!

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Article paru dans le blog d’Ancône Culture et Patrimoine

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JEUX: la reprise des LUDIVORES un peu tristounette (mercredi 12 septembre)

Bizarre ! Habituellement, il y a foule pour les retrouvailles ludiques après l’été des joueurs des Ludivores. Cette année, quelques tables préparées par les accueillants sont restées libres.

Le concepteur de jeu Jean-Michel Urien est venu nous présenter son jeu édité depuis peu. Un jeu à quatre que nous avons testé sur deux parties. Une seule n’avait pas suffi. 

Je pensais qu’il s’agissait d’un jeu tout juste sorti mais je vois qu’il date d’avril 2014. WELCOME TO ABILENE est un mélange de poker, de 1000 Bornes sur fond de western: rentrer le plus gros troupeau à Abilene, ville du Texas où un collègue ludivore était passé cet été.

Sensation mitigée. Jeu très aléatoire. Très difficile de faire quelque chose de bien quand les cartes ne vous aident pas.

Suite de la soirée avec un jeu pas encore sorti aux dires de Yannick de l’Amusoir: BIG MONSTERS. Tric Trac annonce sa sortie effectuée en juillet dernier. Décidément !

BIG MONSTER. Un jeu de tuiles, de draft. Il faut monter son monde de monstres en deux fois dix tours. On joue en équipe de deux mais la concertation entre les joueurs est difficile. Quant à aller gêner le jeu des autres, les tuiles sont un peu petites pour être visibles de loin !

De plus le calcul final est encore plus complexe que pour SEVEN WONDERS, ce n’est pas que de le dire !

A l’arrivée, victoire de l’équipe de Yannick qui a déjà joué deux parties. Le score de l’équipe se fait sur l’équipier ayant le moins de points.

A revoir…

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116 POILUS de CADEROUSSE, 116 DESTINS… Louis Ruat.

116 noms de Poilus de Caderousse tombés lors de la Grande Guerre. 116 parcours qu’on va essayer de raconter au fil des semaines et des mois jusqu’au 11 novembre 2018.

Cent-septième Poilu: Louis Eugène Ruat.

Quatrième face du Monument aux Morts.

Une fois n’est pas coutume, commençons par la fin qui mérite qu’on s’y attarde. Né en 1892 et incorporé en 1913, Louis fait partie de ces hommes qui sont sur place quand la guerre éclate et qui vont donc subir un maximum de pertes dans le minimum de temps, le premier mois de la guerre.

On a déjà parlé des sept morts caderoussiens dans le secteur de Saint-Mihiel à la fin du mois de septembre, des hommes appartenant au 258ème R.I. et qui sont des réservistes un peu plus âgés. Ici, pour Louis et pour huit autres Caderoussiens dont on déjà raconté l’histoire, on a affaire à de gars plus jeunes emmenés par leurs gradés dans le piège tendu par les Allemands qui laissèrent les régiments français s’enfoncer sans mal en Lorraine allemande pour mieux les détruire dans des contrattaques dévastatrices.

Auguste Aubert et Edgard Roux du 58ème R.I. d’Avignon, Fernand Pécoul du 19ème R.A.C. tombèrent les premiers à Lagarde le 11 août (1) par la faute de leur chef direct un peu trop téméraire, presque les premiers morts de la guerre. Lucien Constance du 3ème R.I. fut tué le 14 août à Coincourt (2), le même jour que Julien Martin et Jean Roumieux du 111ème à Moncourt (3). Léon Ferragut et Henri Roche du 3ème R.I. tombèrent à Dieuze le 20 août (4) tout comme… Louis Eugène Ruat du 112ème R.I. mais un peu plus en avant en territoire hostile, à Bidertroff (5).

Partis en train de Toulon les 07 et 08 août 14, les bataillons du 112ème R.I. arrivèrent à Diarville deux jours plus tard. Ils franchirent la frontière le 14 août, prirent facilement Moncourt puis en firent de même à Dieuze le 19 août. Quelques éléments d’avant-garde s’aventurèrent jusqu’à Bidestroff. Louis Ruat en faisait partie.

C’est là qu’ils furent cueillis le 20 août 1914 par la contrattaque allemande qui emporta une grand nombre d’hommes du 112ème. Tué et enterré par les Allemands dans des fosses communes non localisées, il fut considéré comme disparu avant que le Tribunal d’Orange ne fixe la date de son décès au 12 juin 1920. Le 20 août 1914, Louis Ruat était âgé de 22 ans et 4 mois.

Né le 23 avril 1892, Louis est le fils d’Henri Joseph Ruat et Rosalie Victoire Mialon. Henri né en 1860 est un ouvrier en balais de 27 ans quand il épouse Marie Madeleine Peillet le 27 avril 1887. Cette dernière lui donnera rapidement un enfant, Marius Jean, moins de dix mois après mais elle décèdera quarante jours après et suite de l’accouchement, le 19 mars 1888.  L’année suivante, Henri prendra pour seconde épouse Rosalie, la mère de Louis,  le 18 janvier 1890, une Caderoussienne de presque vingt ans.

Deux ans plus tard naît Louis Eugène le 23 avril 1892, cours de l’est puis Alexandre Roger le 21 février 1894, rue Saint-Michel. Cela fait donc une fratrie de trois garçons, Marius, Louis et Alexandre…

…dans l’ordre pour le recensement de 1906…

…et le désordre dans celui de 1911, l’agent recenseur n’arrivant pas à trouver la bonne année de naissance pour Louis dans un cas comme dans l’autre, 1893 puis 1891 en lieu et place de 1892 !

Louis va s’installer à Toulon en 1912 en officiant comme employé municipal. Le 19 juin 1913, il s’engage dans l’armée pour trois années à la mairie d’Avignon et rejoint le 112ème R.I. deux jours plus tard à Antibes. Il n’ira pas au bout de son engagement comme on l’a vu précédemment, fauché par la mort lors du terrible mois d’août 14.

 

Fiche matricule de Louis Eugène Ruat de Mémoire des Hommes.

Louis Eugène Ruat matricule 774 de la classe 1912, bureau de recrutement d’Avignon, pour ceux qui souhaitent aller consulter sa fiche matricule sur le site des Archives du Vaucluse. Le patronyme Ruat est encore présent dans le Vaucluse et dans le Gard. Si quelqu’un reconnaît en Louis Eugène un ascendant  indirect, qu’il n’hésite pas à se manifester pour compléter ces quelques lignes.

A suivre… Paul Ruat.

Deux mots sur la Guerre de ses deux frères qui en réchappèrent sans blessure.

Marius Léon (279-classe 1908 Avignon) brillant élève, il contracta un engagement spécial de quatre ans pour faire l’X, l’Ecole Polytechnique. Il fit son second stage au 8ème Génie et se spécialisa dans les télécommunications, le téléphone à l’époque. Il reçut deux citations en 1916 pour son travail à Verdun et en 1917 pour celui effectué sur la Somme et l’Oise, son courage et sa témérité. Il reçut la Victory Cross britannique !

Alexandre Roger (432 classe 1914-Avignon) fut incorporé au 55ème R.A.C. d’Orange où il ne connut pas de problème particulier. 

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10/09/2018 · 11:42

FRÈRES DE LA CÔTE: une histoire de PIRATES de T.I.M.E. STORIES chez Daniel et Marie (22 août)

Reprise des hostilités en mer des Caraïbes.

Nouveau run, nouvel enthousiasme, on est plein d’entrain pour trouver où se cache le dernier pirate à éliminer.

On arrive enfin à faire quelques économies pour s’acheter pour un prix tout à fait acceptable un bateau plus efficace face aux brigands des mers.

On découvre de nouveaux horizons, ce qui nous mène jusqu’à la planque du dernier frère maudit. Le combat final est remporté et nous pouvons rentrer au bureau de l’Agence satisfait du devoir accompli.

Cruelle désillusion car les responsables de l’Agence restent de marbre face à notre travail et ne nous octroient pas une note fantastique !

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FRÈRES DE LA CÔTE: une histoire de PIRATES de T.I.M.E. STORIES chez Daniel et Marie (15 août)

Nouvelle enquête avec un retour dans le passé pour nous quatre, agents spatiotemporels dans les Caraïbes au temps des pirates. L’objectif: mettre hors d’état de nuire quatre frères pirates particulièrement dangereux, qui retiennent prisonniers d’autres agents les ayant incarnés.

Une nouveauté… un bateau pour se déplacer d’une île à l’autre avec la possibilité de mauvaises rencontres humaines ou météorologiques.

Deux runs pour cette soirée avec pour conséquence deux pirates neutralisés et un troisième sous contrôle. Le troisième aura pour but de dénicher le quatrième… en essayant d’éviter un nouveau jet de dés semblable à celui-ci…

…oeuvre de Marie et Corentin qui se sont mis à deux pour arriver à cette horreur qui les a fait quitter momentanément la partie !

A suivre pour la finalisation de cette histoire.

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JEU (et visite): on s’est essayé à #insideOpera (21 juillet)

L’Opéra de Paris, c’est…

…ce lustre entouré de dessins de Chagall… C’est aussi ceci…

ou cela !

Pour visiter le Palais Garnier, on s’est essayé à l’enquête #insideOpera sur le mode des Escape Game. Le seul (petit) problème, c’est qu’on était à peu près 300 à s’y essayer ! Certes, l’Opéra de Paris est un peu plus majestueux que le théâtre de Montélimar ! Mais ça se bousculait tout de même pas mal !

Entrée des lieux. Un masque à chacun (que peu utiliseront) et une enveloppe à ouvrir après la présentation initiale sous forme de saynète.

A l’intérieur, un plan des lieux et une partition type.

Au dépliage suivant, l’explication de ce que l’on attend de nous… retrouver les notes de la partition perdue. Et enfin, la page des énigmes. Mais vous n’en verrez pas plus !
A l’intérieur du Palais, des acteurs nous viennent en aide en jouant d’autres saynètes dans des lieux stratégiques…

Bilan de cette visite sympathique… en une heure, nous ne sommes pas arrivés au bout mais nous n’en étions pas loin. Quant à la découverte d’un lieu de cette façon, c’est ludique et agréable même si on se consacre plus de temps et d’énergie à la recherche qu’à regarder les décors !

 

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