….que voici…
De petites boites en carton, en métal ou en matière plastique sur la fin de leur utilisation.
Comme feu pour les VHS qui leur ont succédés, ce sont des supports qui ont disparu devant des médias plus interactifs.
Ouvertes, on trouve un petit film de diapositives à l’intérieur. Dans notre cas, le Rhône, il s’agit d’une aide pédagogique pour leçons de géographie en classe élémentaire. On se servait également de ces films fixes dans les centres de loisirs, les patronages avec des films récréatifs mais aussi pour la catéchèse comme support cultuel. Ce sont d’ailleurs ces films à caractère religieux, sur la vie des saints et des saintes, la vie de Jésus et des apôtres que l’on trouve le plus facilement.
Plus difficiles et bien plus côtés sont les albums de BD en film fixe comme les Aventures de Tintin, très recherchées. Pour un album, il fallait une vingtaine de bobines. On passait ces films sur des projecteurs de diapositives normaux auxquels on ajoutait un petit adaptateur qui permettait le déroulage manuel (par l’animateur, l’enseignant ou le religieux) de la bobine, adulte qui ajoutait des commentaires.
Le générique du film noir et blanc de la boîte en métal (vers 1950)
et celui du film en couleur de la boîte en matière plastique (années 1960, début des années 70)
Quelques vues du Rhône prises difficilement (reflets et opacité)
LE RHÔNE AU CONFLUENT AVEC LA SAÔNE À LYON (le paysage a bien changé)
UNE INONDATION AU TEIL D’ARDÈCHE
TOUJOURS AU TEIL, LE PONT QUE L’ON CONNAÎT DE NOS JOURS
(et qui cause tant de soucis et de bouchons comme la semaine dernière à cause du mauvais vieillissement des aciers des câbles, aciers de mauvaises qualités utilisés à la sortie de la seconde guerre au moment de la reconstruction)
LE RHÔNE EN AVIGNON (et en dessous à Tarascon-Beaucaire-malgré le reflet).