Archives de Tag: Britanniques

Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 10 mars 1918

(JOUR 1316 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une, une découverte bizarre faite par des Britanniques dans un village abandonné par les Allemands. Il s’agit d’une planche à supplice appelée la cangue. A quoi devait-elle avoir bien servir ? si tant est qu’elle ait servi pendant cette guerre…

On continue de parler de la fameuse offensive allemande d’Hindenburg qui devrait sceller le sort de la guerre.

Devant son imminence, les Britanniques accumulent armes et munitions, artillerie et obus.

La guerre sous-marine continue. Plusieurs pages pour raconter aux lecteurs les mésaventures des transports atteints par les U-boats, sans trop regarder la position où ils sont.
Ainsi,…

…à gauche, c’est le transport britannique Aragon qui a été coulé dans les eaux territoriales espagnoles et, à droite, c’est el Duc-de-Gênes qui faisait la liaison Buenos Aires-Gênes qui a été touché non loin de Valence, à Segundo.

Plus loin de là, à Port-Saïd, c’est un transport allemand qui se consume…

Rempli de benzine, le « Thibor » a été touché par une bombe incendiaire et rien n’a pu être tenté pour le sauver.

En Champagne, des combats sur le vif, du côté de la butte de Mesnil.

Combats à la grenade entre Poilus et soldats infiltrés allemands.

Près du front britannique, on répare cet avion de reconnaissance.

En Italie, les ouvres de Canova ont failli être atteintes et détruites par un bombardement autrichien sur le temple qui les contient à Possagno.

Autre vue du front belge, peut-être au même endroit que sur la vue du Miroir de la semaine dernière.

Zone de marécages suite à la destruction des digues et les innombrables trous d’obus sont remplis d’eau, rendant ce décor totalement fantastique et désert.

Pour terminer, deux vues de troupes américaines à l’entraînement… à Cuba.

Ce ne doit pas être pour la proximité entre le climat de l’île avec celui du nord ou de l’est de la France que ces entraînements ont ainsi lieu à Cuba !

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 24 février 1918

(JOUR 1302 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une, on croirait voir Guynemer mais ce dernier est décédé en 1917. On nous présente son successeur, Madon, Georges Madon, qui vient de remporter sa vingt-troisième victoire. Il réussira à survivre à quatre années de guerre mais se scratchera le 11 novembre 1924 à Bizerte en Tunisie lors d’un meeting aérien en mémoire à Roland-Garros.

Un échange de prisonniers anglais et allemands par l’entremise de la Hollande.

En gare de Venloo, les blessés et malades arrivent. On y retrouve e commandant de l’Emden, navire de guerre allemand qui bombarda Madras en 1914;

On a déjà parlé en plusieurs occasions de la relance de la construction de bateaux aux Etats-Unis. Après l’ouverture de nouveaux chantiers navals, voici les coupes de bois dans le but de construire des navires marchands.

Les pins coupés et l’assemblage des radeaux pour descendre les pièces.

Des vues aériennes de bombardement par l’aviation française sur des positions autrichiennes.

Des images étonnamment modernes comme celle du bombardement des installations portuaires de Trieste.

Les Sammies partant au combat en Europe sont baptisés militairement sur la place publique en présence d’un général.

Deux vues du camp de prisonniers de Holzminden.

Ci-dessus, lors de la promenade quotidienne, les fameuses infirmières religieuses belges qui faillirent être condamnées à mort et sont internées pour le reste du conflit.

Une visite de médecin suisse de la Croix-Rouge venant vérifier si les installations sont conformes aux traités internationaux.

Hippisme civil à Bagdad.

Les Britanniques tiennent à leurs traditions et les courses de chevaux dans Bagdad libérée des Turcs attirent de nombreux militaires.

Ces autres Britanniques rejoignent les premières lignes en péniches…

…dans un secteur indéterminé. Mais on peut penser que c’est dans la région encore libre de Belgique.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 17 février 1918

(JOUR 1295 -petite remise à jour du compteur- DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Numéro riche et diversifié. En première page, on voit un observateur allemand dans un ballon captif avec un fusil-mitrailleur sensé éloigner d’éventuels prédateurs aériens.

A Lens, des canons canadiens camouflés mais redoutables.

En Palestine, si Jérusalem a été prise, la guerre continue plus au nord:

en haut, un train de munitions turcs a été pulvérisé et en bas les blessés britanniques sont évacués à dos de chameaux.

Plus loin, cet autre train ottoman a été pris par les Anglais….

…qui paradent fièrement.

Non loin de là, à Salonique, des réfugiés macédoniens ont fui leur pays en proie à la guerre et sont abrités dans une mosquée.

On continue de tester les nouveaux chars. Après l’échec cuisant des premières expériences, le magazine explique au lectorat que désormais tout semble être rentré dans l’ordre, que les essais sont concluants et que bientôt leur utilisation lors des combats changera le cours de la guerre… ce qui finalement n’est pas si faux que cela !

Même en marche arrière comme sur cette dernière vue, le char se sort des pièges des tranchées.

En Irlande, de nouvelles élections vont avoir lieu, occasion par le partie indépendantiste irlandais, le Sinn Fein de sortir à nouveau dans les rues pour manifester contre l’occupant anglais.

On ne sait pas trop de quoi sera fait l’avenir de l’Irlande, comme on se demande ce que vont devenir les soldats serbes partis  combattre sur le front russe. Le rapatriement ? l’enrôlement dans l’Armée Rouge ou le Goulag ?

Un petit mémorial a été construit à l’entrée du boyau dans lequel est tombé le premier officier américain combattant sour l’uniforme US.

Ce D.H. Harden n’a été que blessé mais l’abri porte maintint son nom.

On encapuchonne les monuments historiques ici et là pour éviter des destructions rédhibitoires.

Même à Paris voit-on où des canons à longue portée allemand peuvent causer des dégâts.

Pour terminer, un dessin du procès de Bolo pour intelligence avec l’ennemi.

Dessin car les photos étaient interdites dans la salle d’audience. Comecon en a parlé il y a peu, le défenseur de Bolo Pacha ne pourra éviter la peine capitale.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 03 février 1918

(JOUR 1281 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Image traditionnelle que la postérité (et la propagande) va garder pour illustrer cette période: le président du Conseil Georges Clémenceau en visite sur le front en Champagne. La légende du « père-la victoire » est en route. Elle est toujours tenace, plus que jamais en 2018, chez les commentateurs politiques actuels pour dénigrer ou encenser les avions des dirigeants d’aujourd’hui par rapport à ce qui se passait alors. Comme si on pouvait…

Comme hier dans J’ai vu, Le Miroir parle de la puissance des chantiers navals américains avec la création de celui de Newark. On y pose le premier rivet.

Par contre, le froid glacial tombé sur la côte est bloque l’approvisionnement en charbon de New York et plonge de nombreux américains dans la souffrance.

En Palestine, le temps semble plus clément. Les Britanniques s’installent sur les territoires d’où ils ont chassé les Turcs et réparent ce qui est vital à la vie des autochtones, les puits.

Sur le front occidental, un colombier qui accueille les pigeons destinés à porter les messages à l’arrière.

Les églises proches du front perdent leurs cloches quand les Allemands les occupent.

Pas du vandalisme pur, seulement le besoin de récupérer le bronze pour le fondre et construire de nouveaux canons.

Un grand dessin en page centrale du front italien.

On y voit les secteurs des diverses armées, les Italiens à gauche, les Français au centre et les Anglais à droite.

En Russie, les combats entre les tenants de l’ancien régime et les Bolcheviks (les Maximalistes disait-on à l’époque) sont violents et ont fait de nombreuses victimes dans le camp des révolutionnaires.

Ici on enterre les dépouilles des officiers maximalistes tombés au combat.

Là, on détruit les statues de l’époque tsariste.

Pour terminer, une manifestation patriotique pleine d’importance en France:

la célébration des combats de Villersexel en Haute-Saône de la guerre de 1870. Cette victoire de hommes de Bourbaki, le 9 janvier 1871 ne changea pas le cours de la guerre mais il est bon par ces temps difficiles de  se raccrocher aux souvenirs glorieux.

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 29 décembre 1917

(JOUR 1244 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une de J’ai vu, les révolutionnaires Lénine et Trotsky, pas bravement sous leur meilleur profil. On croirait avoir affaire à des bandits de grands chemins. Mais les Bolcheviks sont de lâches pacifistes qui s’apprêtent à signer un armistice avec les Allemands. Celui-ci a d’ailleurs été signé le 15 décembre entre la Russie et les Austro-Hongroise et Allemands, armistice qui prendra effet du 17 décembre au 4 janvier.

Pour en revenir à l’image, Trotsky est à gauche et Lénine à droite. On aurait dit l’inverse tant cela est mal fait !

L’offensive britannique en Cambrésis et cette vieille femme aveugle secourue par les Tommies.

La double page centrale est ce dessin…

…commenté ainsi:

UNE SCÈNE QUE L’ITALIE NE VERRA PLUS: L’EXODE DES POPULATIONS DEVANT LA RUÉE AUSTRO-HONGROISE.

Une phrase bien compliquée pour dire que l’intervention française va arrêter l’avance allemande !

Un bombardement aérien vu des airs:

Que de progrès en 3 ans dans les domaines de l’aviation, de la guerre aérienne et la photographie.

Une page à la J’ai vu des troupes françaises en route pour Jérusalem…

…peu nombreuses, sous les ordres d’Allenby et laissées de côté par les Britanniques.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 23 décembre 1917

(JOUR 1238 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

On nous présente une image exceptionnelle en cette couverture du Miroir du 23 décembre: le départ d’une bombe larguée par un aéroplane. Ce pourrait l’être si on n’avait pas trafiqué d’une manière trop flagrante de visage de l’aviateur au premier plan. Dommage ! Un visage moins net aurait été plus réaliste.

Par contre, ces photos aériennes ci-dessous…

…n’ont rien à envier au Google Maps actuel. En haut, on y voit la vallée du Jourdain et en bas, les lieux saints de Jérusalem.

Quant à cette attaque de tanks en Cambrésis, elle est remarquable de précision.

En zoomant sur les zones où apparaissent des chars d’assaut, des tanks,…

…on voit très bien les gros engins dans le no-man’s-land entre les deux lignes de tranchées opposées.

Ci-dessous, l’inventeur des tanks, le Britannique sir William Tritton.

Après cette attaque britannique, le résultat au sol avec ce village détruit (en haut) et…

…un char pris dans la boue en bas, ce char ayant perdu sa chenille gauche, le bloquant totalement.

Pour en revenir à la Palestine, les Turcs sont en passe d’être chassés par le Corps Expéditionnaire Britannique soutenu par quelques unités françaises. Le Miroir se fait un plaisir de rappeler la visite de Guillaume II en Terre-Sainte en 1898 dont les pas ont été immortalisés à l’époque…

… par un photographe arménien Ghrabid Karkoryane. C’était avant le Génocide et les photographes arméniens étaient en pointe dans ce domaine et avaient les faveurs des dirigeants ottomans.

Les photos traditionnelles du fret italien avec ces deux vues sur une page:

En haut, une route de montagne tenue par les Alpini et en bas, un barrage de  barbelés sur le Brenda.

Enfin la situation en Russie et la Révolution bolchévique.

On voit enfin le visage (certes de profil) des dirigeants: à gauche Lénine et à droite Trotsky haranguant la foule avant une manifestation pacifiste à Petrograd.

Lesquels Bolcheviks ont commencé à faire disparaître les traces de l’ancien régime impérial.

Ici une statue de la Grande Catherine, impératrice de Russie de 1762 à 1796, a été recouverte, bien longtemps avant que ne sévisse Christo !

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 15 décembre 1917

(JOUR 1230 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

L’aviateur De Goÿs vient de s’échapper d’Allemagne où il était prisonnier depuis quelques années, depuis le fameux raid sur Ludwigshafen. Quelque temps après l’attaque aux gaz (chlore) des lignes alliées à Ypres en avril 1915, les aviateurs français avaient mené ce raid imaginé par De Goÿs sur les usines fabriquant ce produit chimique en Allemagne, à plus de 400km à l’intérieur du territoire ennemi. Cela se passa en mai 1915. Au retour, à court de carburant l’avion de De Goÿs se posa en territoire ennemi. Prisonnier, ce dernier essaya de s’évader à 7 reprises. La huitième fut la bonne !

Quelques images à la manière de J’ai vu des Anglais sur la ligne Hindenburg, près de Cambrai. Après l’attaque britannique, la contre-attaque allemande n’a pu déloger les Britanniques, tout au moins en ce qu’en croit le journal, peu certain sur ce coup.

Une page d’humour carabin par Gus Bofa.

De son vrai nom Gustave Henri Emile Blanchot, il fut blessé grièvement aux jambes à Bois Le Prêtre en décembre 1914 et refusa d’être amputé. Il continua de dessiner pour la presse, La Baïonnette, J’ai vu… et on peut penser que ces dessins sont les fruits de son expérience personnelle.

Une autre double page pour les Français en Italie:

En haut, en bandeau, les troupes françaises se reposent en pleine campagne (on est tout de même en novembre), à droite défilé à Brescia, à gauche, défilé sans plus de renseignement, au centre, les chasseurs alpins en Vénitie.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 09 décembre 1917

 (JOUR 1224 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

La une du Miroir du 9 décembre reprend le même thème que celle du J’ai vu d’hier. On y avait montré un mariage d’un mutilé alors. Aujourd’hui, c’est un autre poilu qui a perdu un membre qui revient le 23 novembre, exactement un mois après sa blessure, le 23 octobre, porter le drapeau de son unité tout autant mutilé que lui !

L’Italie tient une place importante dans ce numéro.

En page centrale, le Piave, fleuve de Vénétie, défendu par les Italiens.

On y voit des cadavres allemands et autrichiens morts au milieu du fleuve après une tentative de traversée avortée. Après la défaite italienne de Caporetto, ce fleuve sera le Verdun des Italiens qui empêcheront les troupes allemandes et autrichiennes de le traverser, ce qui aurait entraîné la chute du pays.

Les Français arrivent en Italie, suite.
Après avoir vu la frontière de Vintimille, voici donc le passage des troupes au col de Mont-Genèvre.

En haut, les véhicules sont regroupés à Briançon  avant de monter en colonne vers le col (en bas).

En haut les troupes françaises défilent musique en tête à Vérone, puis viennent les cavaliers (en bas).

En Palestine, les troupes françaises avancent dans les sables du désert du Sinaï.

Un central téléphonique est installé pour communiquer.

Les troupes américaines s’entraînent au maniement des lance-flammes.

Quand on se souvient de ce que disait il y a quelque temps la presse sur cette arme barbare… comme les gaz, elle a été bien vite adoptée par le camp allié.

Un motocycliste britannique transporte des pigeons voyageurs pour qu’ils ramènent des messages au camion transportant le colombier.

Enfin, le ravitaillement.

Le Maroc fournit à la métropole des céréales qui en manque avec une partie de son territoire occupée et des troupes étrangères à nourrir.

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 08 décembre 1917

 (JOUR 1223 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une, le mariage d’un militaire Georges Roy, ayant perdu ses deux bras et la vue sur un champ de bataille avec Mlle Marguerite Lavenne. Un des nombreux invalides de guerre que produira le premier conflit mondial.

Toujours l’Italie et l’arrivée des troupes alliées au secours des Italiens débordés.

Ci-dessus, un convoi ferroviaire transportant des voitures hippomobiles et, ci-dessous des écoliers locaux entourant les chasseurs alpins, peut-être l’unité de Séraphin Guérin (?)

Une énième attaque britannique a été un succès considérable… nous dit-on. Les Anglais ont repoussé les Allemands au-delà de la ligne Hidenbourg censée représenter la ligne de défense imprenable pour le Reich.

Des blessés à perte de vue !

En quatrième de couverture, les incertitudes russes.

D’un côté on nous dit que les généraux russes s’opposent au pouvoir politique des Bolcheviks,…

… d’un autre, les paysans lisent (ou se font lire) les communiqués des Soviets.

Pour l’heure la Russie est toujours dans la guerre…. Pas pour longtemps !

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 2 décembre 1917

  (JOUR 1217 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

On l’avait dit hier dans J’ai vu, l’intervention française en Italie fait la une du Miroir. Cette photographie retouchée montre des Italiennes distribuant des cigarettes aux Poilus français sur le quai d’une gare en Lombardie. Certainement exact pour les objectifs de la presse officielle.

Ces troupes françaises (on parle ici de franco-anglais) arrivant en Italie par Vintimille.

Assez surprenant puisque le gros des troupes passa par le Montgenèvre ou le tunnel du Fréjus, en arrivant du nord et de l’est de la France mais peut-être quelques unités furent détournées vers le sud pour dégorger les cols alpins et pour faire de beaux clichés.

Le train joua un rôle important dans cette migration d’unités françaises vers l’Italie…

…les véhicules hippomobiles aussi mais les troupes durent aussi marcher pour assurer les liaisons comme le franchissement du col du Mont-Genèvre.

Lesquelles troupes pédestres défilèrent devant l’obélisque célébrant la campagne de Napoléon la Grand en Italie, construite en 1802.

Dans ces vues peu évidentes, on nous dit que les premières troupes françaises et bien sûr les chefs sont arrivées sur le front autrichien.

La guerre dans le désert maintenant avec les Turcs en débandade devant les Britanniques (et quelques Français).

On voit ci-dessus une caravane de blessés dans le désert et…

…une ambulance bien garnie.

On a parlé récemment du raid de Zeppelin qui fit des dégâts mais connut quelques pertes. Le L-49 tombé près de Serqueux près de Bourbonne-les-Eaux, à l’arrière du front des Vosges est cours de démantèlement…

…pour être rebâti et exposé aux Invalides.

Autre destruction et réparation, ce navire de guerre français, le Kouang-Si atteint d’une torpille  et qui a miraculeusement évité le naufrage est en cale bientôt sèche pour quelque temps.

Double page centrale avec des prisonniers allemands faits par les Anglais dans leur secteur de Cambrai.

Les grosses « saucisses » d’observation toujours aussi spectaculaires.

Celle-ci est emmenée au large par un remorqueur pour veiller sur une portion de côte. Les observateurs montent à la nacelle ci-dessus puis en descendent ci-dessous.

Les sous-marins allemands sont épiés.

Pour terminer,  une vue du théâtre Passaief à Petrograd après un bombardement allemand (mais le Miroir n’en est pas certain)…

…incendie qui a causé la mort de nombreux soldats et pompiers venus combattre les flammes.

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