Archives de Tag: Etats-Unis

Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 11 août 1917


(JOUR 1105 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

La même une à quelques détails près que celle du Miroir du 5 août, la rencontre Pétain-George V dans les Flandres, sur le secteur tenu par les Britanniques. Rien de bien intéressant !

Autre vue du travail des femmes aux champs.

Plus de la propagande qu’une réalité qui n’a guère varié depuis le début de la guerre. Mais les mouvements sociaux qui ont parcouru l’armée au printemps appellent à une réaction médiatique et politique patriotique.

Un as belge de l’aviation Thieffry vient de remporter le 3 juillet dernier une double victoire à la manière de Guynemer.

Ce qui lui vaut les honneurs de la presse.

Les Américains sont là, de plus en plus nombreux. Et l’intendance suit.

Ici la Croix-Rouge américaine arrive avec… des chiens de secours aux blessés.

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Il y a 100 ans (presque) jour pour jour: J’AI VU du 28 juillet 1917

(JOUR 1091 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Nos amis les Russes révolutionnaires… pour l’instant. A la une de J’ai vu du 28 juillet 1917, le général russe Korniloff qui avance (suivant le journal) vers Lemberg, alors que …

… le Révolutionnaire Kerensky exhorte les soldats à la lutte. On en reparlera dans quelques mois.

Galerie de portraits:

 

L’aviateur Octave Lapize a été tué le 15 juillet 1917. Octave Lapize avait gagné le Tour de France 1910.

Quentin Roosevelt, un des fils du président Roosevelt, vient de s’engager dans l’armée américaine.

Tout comme un des descendants du général Grant, célèbre depuis la guerre de Sécession.

Une dernière image réjouissante:

Des néo-zélandais de l’ANZAC se baignent en mer du Nord, du côté de Nieuport, en Belgique.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 22 juillet 1917

(JOUR 1085 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

L’As de l’aviation, Georges Guynemer montre au général Franchet d’Esperay l’avion sur lequel il a remporté tant de victoires ! Un avion orné de la fameuse cigogne. Au moment de la parution du magazine, Georges Guynemer n’a plus que 50 jours à vivre.

Un seule page sur l’entée en guerre des Américains.

Les Américains arrivent avec des hydravions. Les aviateurs posent après un entrainement.

La guerre est vraiment mondiale.

Ci-dessus, on voit un char d’assaut anglais observant les lignes turques du côté de Gaza, en Palestine. Nous sommes au pays de Lawrence d’Arabie. Il y a peu, nous avons raconté l’histoire de ce Poilu de Caderousse mort à Lodd en 1918.

Un autre Poilu caderoussier y est mort le 21 octobre 1915, devant ce fort de La Pompelle défendant Reims. Il s’agit de mon arrière-grand-père Adrien Guérin. Il ne fut pas le seul puisque un Sauvage connu le même sort, le même jour, victime des gaz allemands !


Trois vues de ce qu’il reste de ce qui fut un imposant ouvrage militaire défensif !

D’ailleurs, on se sert toujours des gaz asphyxiants comme sur cette grande photo en double page centrale.

Le nuage de gaz se répand sur la tranchée allemande et les Poilus allemands se rendent aux Français. Car pour les armes chimiques, les Barbares (on appelait ainsi les Allemands alors) ont été rejoints par les Civilisés !

Le Chemin des Dames et les grandes offensives de printemps, si meurtrières qu’elles entraînèrent des mutineries et la mise à la retraite de Nivelle.

 Ici, une borne de cette route s’est retrouvée dans une tranchée française, celle qui indiquait la commune de Cerny à 600 mètres.

Sur le front d’Orient, des troupes grecques combattent aux côtés des franco-britanniques et des Serbes contre les Bulgares appuyés par des Austro-Hongrois et des Allemands.

Ici, en Macédoine, des gradés grecs interrogent des soldats bulgares faits prisonniers.

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Il y a (presque) 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 15 juillet 1917

(JOUR 1078 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

En Grèce, on déporte (le mot n’est pas dit mais on comprend de quoi il s’agit) les indésirables « hellènes » germanophiles vers des lieux de captivité.

On insiste vraiment sur l’entrée en guerre des Etats-Unis. plusieurs pages sont consacrées à ce sujet qui rend espoir à nombre de lecteurs.

Défilé à New York de troupes s’embarquant pour l’Europe. A noter la présence d’automobiles blindées.

Et à Paris, forcément on retrouve d’autres Américains fêtés pour leur présence.

Puis les troupes s’en vont dans des camps où ils côtoient des soldats africains.

Enfin, à la chambre de commerce, on a festoyé pour le 4 juillet, l’Indépendance Day.

La guerre continue sur terre comme à Craonne où l’artillerie fait tomber un déluge de feu et de fer sur les tranchées allemandes:

La guerre continue sur les mers et océans où les U-Boat allemands continuent leur guerre de destruction des ennemis.

Un sous-marin a photographié sa proie en train de sombrer.

Ce que l’on voit de la passerelle d’un sous-marin par grosse mer. L’objet central est le canon susceptible de servir en combats rapprochés.

De nouvelles recrues britanniques:

Des fidjiens entrés en guerre contre l’Allemagne.

Pour terminer, des jeux construits par les allemands pour se distraire à l’arrière:

des tourniquets près d’Avricourt dans l’Oise. N’oublions pas que les Allemands n’avaient pas d’artisanat de tranchées pour passer le temps !

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 8 juillet 1917

(JOUR 1071 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Face au scepticisme ambiant sur les chances de cessation du conflit rapidement, on maintient le moral de l’arrière et des troupes en montrant des images de l’arrivée des soldats yankee en France.

Des paquebots appareillent à New York à destination de la France…

On estime que le 15 août prochain, 500 000 soldats américains seront en France, prêt à combattre.

Les voilà débarquant…

 

et s’installant dans de vastes camps de regroupement comme celui de D… dans l’Aisne… où ils s’essaient au port des très gênants masques à gaz.

A Salonique, sur le front d’Orient, ces soldats bulgares ont terminés leur guerre.

Les voilà sur le chemin du camp retranché d’où ils seront transférés dans le sud de la France, à Nîmes, Montpellier comme au domaine du Ministre qui accueillit de nombreux prisonniers bulgares.

D’autres photos de la bataille de Messines, près d’Ypres, en Belgique, combats qui datent tout de même d’un mois (7 juin 1917). Les lignes britanniques de ce secteur.

 

Autres combats en Champagne, au Mont-Cornillet où les attaques françaises ont échoué les 17 et 30 avril et le 4 mai avant de réussir grâce aux hommes du 1er Zouaves le 20 mai 1917.

La tombe du lieutenant aviateur de Rochefort, tué lors d’un combat aérien après avoir enregistré tout de même 8 victoires officielles reconnues.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 1er juillet 1917

(JOUR 1064 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

On expérimente encore des tenues étanches aux balles. Des armures de chevalier en quelque sorte ! Avec le même succès que les inventions précédentes.

L’entrée des Etats-Unis en guerre ne se fait pas sentir sur le front français proprement dit. Mais la presse en parle beaucoup, comme ici…

…un défilé militaire devant le colonel Roosevelt ou…

…ces publicités géantes à New York appelant les citoyens à souscrire à l’emprunt de guerre.

Paradoxe…

près du front, on dissimule un char sous de branchages pour le cacher à la vue des observateurs aériens.

Là, dans les rues de Londres,..

on parade avec des chars pur montrer les progrès des techniques militaires.

Le Miroir a souvent dénoncé les armes scélérates des Allemands et en particulier, les jets de liquides inflammables dans les tranchées adverses. Sauf…

qu’on est obligé d’en faire de même… ! Plusieurs photos, 2 de jour et une de nuit montrant l’utilisation de ces liquides par nos troupes sur les lignes allemandes.

Alors que ce front était calme depuis 1915, de nouveaux combats ont éclaté dans le secteur d’Ypres, pour la possession de la crête de Messines.

Des tirs ont eu lieu sur des ambulance (postes sanitaires avancés).

Le Linge ou Lingekopf dans les Vosges, et l’entrée d’un boyau avec panneaux indicateurs.

Là aussi après de très durs combats, la situation s’est calmée.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 24 juin 1917

(JOUR 1057 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

En couverture, ce transport vient de recevoir la Croix de Guerre pour sa résistance acharnée aux attaques des sous-marins allemands. Pour une médaille, combien de bateaux coulés ?

Sur mer cette guerre est sans merci.

Ici, au loin, un pétrolier brûle après une attaque, sous l’oeil impuissant d’un équipage d’un transport.

Des pages sans grand rapport les unes avec les autres.

Arras sous les bombes allemandes. Les destructions des belles et vieilles devantures flamandes continuent.

Un camp de prisonniers allemands dans la Marne.

Appelé seulement I…., ce camp accueille les « nouveaux arrivants » avant qu’ils ne soient orientés dans d’autres camps en France et en Afrique du Nord. Pas de camp commençant par I… dans la Marne, mais un camp à Châlons-en-Champagne et un à Bar-le-Duc.

La France métropolitaine comptait 46 camps pour les prisonniers allemands, turcs et bulgares. Il faut y ajouter 28 camps au Maroc et 35 en Algérie et Tunisie.

Dans notre région, se trouvaient des camps à:

-Romans-sur-Isère accueillant des convalescents allemands.

-2 camps à Serres-Carpentras, un pour Allemands, l’autre pour Bulgares.

-l’Hôpital 412 en Avignon pour blessés bulgares.

-Nîmes pour prisonniers bulgares.

-Montpellier, chantier de travail du Mas du Ministre pour prisonniers turcs (en fait à Mauguio, non loin du Zénith, entre les 2 nouvelles autoroutes)

(établi à partir du site mémoriel du CICR.)

En Grèce, le roi Constantin à droite a été remplacé par le roi Alexandre, son second fils, plus favorable à l’Entente.

L’entrée en guerre des Etats-Unis en quelques vues.

Le généralissime américain, le général Pershing, est arrivé en France. Il visite Boulogne puis Paris.

Manifestation patriotique à New York.

Original: construction à Manhattan sur une place d’un navire de guerre miniature qui accueillera le bureau de recrutement de la ville. La machine de guerre US est en branle.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 17 juin 1917

(JOUR 1050 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Marat assassiné dans son bain par Charlotte Corday le 13 juillet 1793 ? Non un soldat et son chien blessés par la même balle ! Image larmoyante et totalement montée !

Ce numéro du Miroir, à la différence du précédent, va nous faire voyager à travers le monde.

En Russie tout d’abord.

Retour sur les festivités de Petrograd du 1er mai dernier.

La foule sur le Champ de Mars, on l’a lu abondamment la semaine dernière et le témoignage d’un Poilu russe ayant perdu un bras. Ressemblant à Lenine, il appelle à continuer la guerre. Pas sûr !

Aux Etats-Unis ensuite.

Plusieurs pages sur ce sujet.

Une base pour l’entraînement des futurs aviateurs a été ouverte à Plattsburgh, dans l’Etat de New York, non loin d eta frontière canadienne. L’ébauche du futur aéroport de Plattsburgh.

Du personnel de santé américain arrive à Londres, en haut. En bas, des ambulancières défilent devant le Président Wilson.

La conscription n’existant pas en Amérique, les hommes, à l’instar des Britanniques au début de la guerre, sont enrôlés volontaires. Il faut battre le pavé pour en trouver. Ci-dessus un Peau-Rouge harangue les Yankees en les incitant à rejoindre l’Armée.

Un première unité française a rejoint le front français. Il y reçoit la bannière étoilée envoyée par Wilson.

La Grèce maintenant.

Les supporters du Premier Ministre Elefhéros Venizélos prêtent serment au drapeau, le 20 mai à Argostoli.

La Grèce toujours au bord d’une guerre civile doublant la guerre contre Allemands et Bulgares.

En Italie enfin.

Deux vues du front italien, du côté des Dolomites.

En haut, le bombardement du Monte Santo par les troupes alpines italiennes. En bas, des volontaires italiens (arditi) près à attaquer (peut-être).

Un peu de front français pour terminer.

Le Miroir se gargarise après la destruction d’un point d’observation allemand par l’artillerie franco-britannique. On dirait pourtant qu’il s’agisse d’un château ancien. Un acte de barbarisme gratuit ?

Une avancée de chars d’assaut avec cette originale photo prise depuis l’ouverture d’un char et montrant un char voisin.

Pour finir, le travail d’un observateur depuis sa nacelle suspendue à un ballon captif. Ce à quoi il faut veiller:

Noter ses observations sur les cartes et les transmettre, mais aussi…

…veiller à ce que le parachute soit fin prêt à servir. Un Taube peut surgir à tout moment !

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 27 mai 1917

 (JOUR 1029 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Une image d’un thème qu’on a déjà vu plusieurs fois: la protection contre les gaz. L’homme…

…comme le chien…

…portent le même engin à travers lequel il est si difficile de respirer. Quant à que cela soit bien réel… Une belle photo montée surtout quand on voit en arrière-plan des brancardiers à l’oeuvre. Bof !

Une nouveauté: des abris bétonnés construits par les Allemands pour protéger leur artillerie.

On n’avait pas encore vu cela et ces constructions doivent être restées particulièrement limitées.

Une vue de tirs d’artillerie sur la Scarpe, une rivière du nord de la France dans un paysage bouleversé:

A noter au premier plan des tombes de Poilus toutes proches des tranchées.

A Reims, en Champagne, les bombes tombent sur la ville et l’Hôtel-de-Ville a été détruit par ces tirs d’artillerie.

A rapprocher de la vue de la semaine dernière de la cathédrale cachée par les volutes de fumée.

En Champagne où on peut enfin voir une attaque avec un mouvement de chars d’assaut.

 

S’il s’agit de l’attaque du Chemin des Dames du 16 avril 1917, à Berry-au-Bac, les chars Schneider engagés connurent un échec important et ce qui n’encouragea pas les vieux généraux à approfondir cette stratégie militaire. Plus tard, les chars Renault, plus petits et maniables, eurent plus de succès !

Une vue d’ailleurs de ce secteur du Chemind des Dames avec les destructions de Crayonne après la bataille.

Craonne, la ville de la chanson pacifiste écrite suite à ces attaques meurtrières et inutiles.

Premiers américains en Europe utilisant une méthode d’observation totalement désuète.

On se croirait revenu en 1914 !

Par contre, à l’opposé, on nous présente une nouvelle technique pour creuser les tranchées avec ce matériel de travaux publics particulièrement moderniste.

On n’a pas inventé mieux un siècle plus tard pour creuser des tranchées. Ce ne devait pas être les Poilus qui se plaignaient de cette invention…. même si elle ne fut certainement guère utilisée en vrai… l’engin de terrassement étant une cible facile pour ceux d’en face.

Allons en Orient. Première étape la Macédoine où l’on voit une fanfare française jouer la Marseillaise nous fait-on croire ou la Madelon plus certainement au pied d’un minaret.

Cela fait penser au roman graphique en 5 volumes Quintett se déroulant dans cette partie du front.

Seconde étape plus à l’est, la Mésopotamie où les Britanniques ont beaucoup progressé et fait régressé l’Empire Ottoman.

Les prisonniers turcs sont légion tout comme en Palestine où, de partout, les Turcs ne sont pas capables de défendre un empire aussi vaste.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 20 mai 1917

 (JOUR 1022 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Les Etats-Unis sont entrées en guerre contre l’Allemagne le 6 avril 1917. Une mission française arrive à New York pour discuter de ce que sera le contenu de l’intervention américaine sur le sol français.

 Des vues d’une Amérique entrée en guerre.

Les soldats américains défilent sur la 5ème Avenue à New York. Il s’agit de marins, les premiers concernés pour l’acheminement des hommes et du matériel vers l’Europe.

La même parade ou un autre sur cette même mythique avenue new-yorkaise. Ici la jeunesse américaine défile devant les drapeaux des Alliés: anglais, français, russe, italien mais aussi cubain et panaméen.

Les premières troupes s’embarquent pour l’Europe accompagnées de jeunes femmes enthousiastes.

116 708 soldats américains mourront en Europe ou sur le chemin de celle-ci et 205 690 autres seront blessés. Moins enthousiasmant !

Ces Américains s’adressent aux Allemands par l’envoi de tracts écrits en Allemand et largués par ballon. Tout cela pour informer leurs ennemis justement…

Comme si la guerre n’était pas avant tout une affaire de propagande.

Pour d’autres anglo-saxons, les Australiens, c’est le moment de voter pour les élections fédérales. Les soldats et infirmières peuvent voter autant à l’arrière, à Londres que sur le front.

La guerre sur mer avec une double page sur le torpillage d’un navire par un sous-marin allemand.

Tandis que le bateau commence de s’enfoncer, l’équipage s’en éloigne dans des chaloupes. Vraie photo retouchée.

A Reims, le bombardement de la ville et au second plan, la cathédrale, pas épargnée par les bombes.

Cela permet de parler à nouveau de Barbares pour la presse française.

En caricature, des As aériens de la Guerre sur deux pages:

C’est le peintre officiel de l’aviation qui a croqué ci-dessous: Alfred Heurtaux, René Dorme, Albert Deullin et Mathieu Tenant de la Tour. Ils comptent à eux quatre 74 victoires reconnues plus 96 non homologués (il fallait que la victoire soit attestée par 3 témoins pour qu’elle soit homologuée). Deux perdront la vie pendant cette guerre: Dorme abattu 5 jours après la parution de la revue, le 25 mai 1917 et de la Tour, le 17 décembre 1917.

Bien entendu le capitaine Georges Guynemer qui aura 53 victoires plus 35 non homologuées le jour de sa disparition le 11 septembre 1917.

Pour terminer, le Poilu qui redevient paysan pour sauver l’arbre coupé par l’obus, se doit de le greffer.

On le voit ci-dessus en plein travail.

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