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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 2 mars 1918


(JOUR 1308 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Au-dessus du titre « Une trinité redoutable », les portraits de trois personnages qui s’occupent de la sécurité de la France. A gauche, le lieutenant Mornet, celui qui emmena Mata Hari au peloton d’exécution le 15 octobre 1917. Au centre, M. Piolet, commissaire de police du camp retranché de Paris et à droite, le capitaine rapporteur Bouchardon. Les traîtres et les déserteurs peuvent redouter leur zèle.

Aux Etats-Unis, les navires se construisent en nombre pour amener hommes et ravitaillement sur le front français.

Ici, c’est un gouvernail qui traverse le ciel du chantier naval.

L’Allemagne se prépare à une grande attaque, c’est ce qu’ont claironné Hindenburg et Ludendorff, les généralissimes allemands.

En face, sur le front tenu par les Britanniques, on se prépare à supporter le choc.

En Russie, l’Empire des Tsars est en pleine déconfiture.

Sur cette carte, on y voit la création d’un état ukrainien anti-bolchévique et de zones incertaines qui seront bientôt les lieux d’enjeu d’une violente guerre civile.

Les ANZAC sont en Europe, on parle là des Australiens et de Néo-Zélandais, sujets pour quelque temps encore de sa Majesté le Roi d’Angleterre. Le 17 février, le Parc des Princes a accueilli les rugbymen néo-zélandais à l’équipe de France des Forces Armées.

Quelques vues de cette opposition qui vit les Blacks remporter la victoire de justesse.

Retour aux Etats-Unis avec un attentat allemand à Port-Newark.

L’incendie a pris dans des barques chargées de tonneaux d’huile. Tout flamba dont des navires en cours de chargement pour l’Europe. On interpela 25 suspects.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 17 février 1918

(JOUR 1295 -petite remise à jour du compteur- DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Numéro riche et diversifié. En première page, on voit un observateur allemand dans un ballon captif avec un fusil-mitrailleur sensé éloigner d’éventuels prédateurs aériens.

A Lens, des canons canadiens camouflés mais redoutables.

En Palestine, si Jérusalem a été prise, la guerre continue plus au nord:

en haut, un train de munitions turcs a été pulvérisé et en bas les blessés britanniques sont évacués à dos de chameaux.

Plus loin, cet autre train ottoman a été pris par les Anglais….

…qui paradent fièrement.

Non loin de là, à Salonique, des réfugiés macédoniens ont fui leur pays en proie à la guerre et sont abrités dans une mosquée.

On continue de tester les nouveaux chars. Après l’échec cuisant des premières expériences, le magazine explique au lectorat que désormais tout semble être rentré dans l’ordre, que les essais sont concluants et que bientôt leur utilisation lors des combats changera le cours de la guerre… ce qui finalement n’est pas si faux que cela !

Même en marche arrière comme sur cette dernière vue, le char se sort des pièges des tranchées.

En Irlande, de nouvelles élections vont avoir lieu, occasion par le partie indépendantiste irlandais, le Sinn Fein de sortir à nouveau dans les rues pour manifester contre l’occupant anglais.

On ne sait pas trop de quoi sera fait l’avenir de l’Irlande, comme on se demande ce que vont devenir les soldats serbes partis  combattre sur le front russe. Le rapatriement ? l’enrôlement dans l’Armée Rouge ou le Goulag ?

Un petit mémorial a été construit à l’entrée du boyau dans lequel est tombé le premier officier américain combattant sour l’uniforme US.

Ce D.H. Harden n’a été que blessé mais l’abri porte maintint son nom.

On encapuchonne les monuments historiques ici et là pour éviter des destructions rédhibitoires.

Même à Paris voit-on où des canons à longue portée allemand peuvent causer des dégâts.

Pour terminer, un dessin du procès de Bolo pour intelligence avec l’ennemi.

Dessin car les photos étaient interdites dans la salle d’audience. Comecon en a parlé il y a peu, le défenseur de Bolo Pacha ne pourra éviter la peine capitale.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 03 février 1918

(JOUR 1281 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Image traditionnelle que la postérité (et la propagande) va garder pour illustrer cette période: le président du Conseil Georges Clémenceau en visite sur le front en Champagne. La légende du « père-la victoire » est en route. Elle est toujours tenace, plus que jamais en 2018, chez les commentateurs politiques actuels pour dénigrer ou encenser les avions des dirigeants d’aujourd’hui par rapport à ce qui se passait alors. Comme si on pouvait…

Comme hier dans J’ai vu, Le Miroir parle de la puissance des chantiers navals américains avec la création de celui de Newark. On y pose le premier rivet.

Par contre, le froid glacial tombé sur la côte est bloque l’approvisionnement en charbon de New York et plonge de nombreux américains dans la souffrance.

En Palestine, le temps semble plus clément. Les Britanniques s’installent sur les territoires d’où ils ont chassé les Turcs et réparent ce qui est vital à la vie des autochtones, les puits.

Sur le front occidental, un colombier qui accueille les pigeons destinés à porter les messages à l’arrière.

Les églises proches du front perdent leurs cloches quand les Allemands les occupent.

Pas du vandalisme pur, seulement le besoin de récupérer le bronze pour le fondre et construire de nouveaux canons.

Un grand dessin en page centrale du front italien.

On y voit les secteurs des diverses armées, les Italiens à gauche, les Français au centre et les Anglais à droite.

En Russie, les combats entre les tenants de l’ancien régime et les Bolcheviks (les Maximalistes disait-on à l’époque) sont violents et ont fait de nombreuses victimes dans le camp des révolutionnaires.

Ici on enterre les dépouilles des officiers maximalistes tombés au combat.

Là, on détruit les statues de l’époque tsariste.

Pour terminer, une manifestation patriotique pleine d’importance en France:

la célébration des combats de Villersexel en Haute-Saône de la guerre de 1870. Cette victoire de hommes de Bourbaki, le 9 janvier 1871 ne changea pas le cours de la guerre mais il est bon par ces temps difficiles de  se raccrocher aux souvenirs glorieux.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 27 janvier 1918

(JOUR 1273 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Un texte moqueur accompagne cette photo à la une de J’ai vu. Il s’agit de Mme Litvinoff, l’épouse du nouvel ambassadeur de Russie à Londres, un indésirable. Par cette nomination, Trotsky veut prouver que même l’Ambassadeur est issu du peuple avec le nouveau régime.

A l’opposé, des troupes russes restées fidèles au Tsar arrivent sur le front occident pour combattre avec les Français et les Britanniques.

Puisqu’on parle de train, des wagons abandonnés près d’une tranchée prise aux Allemands il y a peu.

Les Allemands amenaient les trains au plus près des tranchées pour limiter la manutention des armes lors des ravitaillements.

Par contre, en Italie pour ces artilleurs alpins (ceux du 2ème RAM ?), c’est à pied qu’ils doivent rejoindre le front.

Les charges sont portées par des mulets, très résistants.

Toujours en Italie, la ville de Padoue a été bombardé par des aéroplanes autrichiens.

Des dégâts sur des édifices remarquables.

Echange de prisonniers entre Allemands et Anglais.

Ici, des blessés britanniques et des civils retrouvent la liberté mais aussi l’Amérique puisqu’ils arrivent à Boston en provenance de Hollande.

Il y a de la neige en hiver. Beaucoup de neige dans les Vosges.

Sur la ligne de front.

Sur le territoire de Metzeral.

Pas de neige à Jérusalem, en Palestine pour l’entrée d’Allenby dans la ville sainte.

Une mise n’en scène savamment réalise.

Par contre, c’est la boue que rencontrent les Canadiens sur la Somme pour déplacer ces obusiers.

Pour terminer, un autre tour aux Etats-Unis pour voir les matières d’entraînement des pilotes.

Des simulateurs de vol artisanaux !

 

 

 

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 20 janvier 1918

(JOUR 1266 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

La rencontre entre le roi des Belges, Albert 1er et le général Pershing, commandant en chef du Corps Expéditionnaire US en Europe pendant la Première Guerre Mondiale. Les Américains contribueront à la libération du territoire belge en 1918.

Puisqu’on parle de nos alliés d’outre-Atlantique, une vue d’une ambulance montée dans un train sanitaire.

Ultra-moderne avec même des ventilateurs individuels pour les blessés.

Une démonstration de la puissance destructive des nouveaux chars de combat.

Ici la limousine n’a pas pesé lourd face à ce mastodonte d’acier.

En France, après l’échec de la première utilisation des chars d’assaut, en particulier au Chemin des Dames, les engins ont été améliorés et subissent un  entraînement poussé pendant des manoeuvres, comme on le voit ci-dessous.

Des vues du traité de Brest-Litvosk mettent fin à la guerre entre la Russie et l’Allemagne.

La maison où eurent lieu les négociations.

La table des négociations et les plénipotentiaires.

En Italie, la prise du Mont-Tomba a entraîné l’arrestation de nombreux soldats autrichiens…

…comme ici à Asolo. Ailleurs, des Poilus français en permission en 1918 vont visiter l’ossuaire de Solférino dans lequel reposent les restes d’autres Poilus, ceux de 1859, tués le 24 juin pendant cet épisode glorieux de la campagne napoléonienne.

Solférino, Magenta, des batailles d’une autre guerre, dans la nord de l’Italie, toujours contre les Autrichiens.

Une vue originale en double page centrale.

 

Les ravages commis par un bombardement français ! Mais pas n’importe lequel ! Celui qui permit de détruire la Grosse Bertha, canon de marine qui bombarda Dunkerque en avril et mai 1915. On voit ce qu’il reste du canon au centre de la page de gauche et les voies de chemin de fer qui le ravitaillait. Cette pièce était positionnée à l’arrière des tranchées allemandes à près de 28 km de la ville.

Sur mer, les sous-marins et pirates allemands sévissent toujours.

On voit ici la fin du « Chateaurenault » un croiseur torpillé par des pirates qui furent à leur tour coulés par d’autres navires français et récupérés comme prisonniers de guerre.

Dans les airs enfin, l’installation d’une bombe sous un Farman.

Il faut quatre hommes pour placer l’engin sous l’aéroplane. On n’est pas au niveau des chargements des B-52 qui opéraient sur le Vietnam mais aussi loin des chargements de 1914 quand les aviateurs jetés des points effilées sur les troupes au sol pour transpercer les hommes et les bêtes.

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 19 janvier 1918

(JOUR 1265 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Wilson et Lloyd George, les principaux alliés des Français à la une de ce J’ai vu. Des alliés fidèles qui rappellent que la France a été lésé par l’Allemagne en 1871. D’où l’appellation de cette guerre: la guerre du Droit contre la barbarie.

En page intérieure un plan et une carte.
Le plan, celui de Dixmude en Belgique, défendue par les fusiliers marins pour illustrer un texte sur ce sujet.

La carte de la Russie des Bolcheviks en pleine anarchie et avec la sécession de nombreux territoires.

Le pouvoir des Bolcheviks se réduit au coeur de la Russie mais la guerre civile qui va suivre permettra au pouvoir central de retrouver l’intégrité de son territoire.

Enfin, comme dit précédemment, une page de photos revient sur la catastrophe d’Halifax au Canada.

Le nombre de victimes avancé est bien plus important que celui que l’Histoire a retenu: 4 000. On informe les lecteurs que la ville a été rasée sur un diamètre de 3 kilomètres autour du point de l’explosion du Mont-Blanc après sa collision avec l’Imo.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 30 décembre 1917

(JOUR 1245 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

C’est vraiment un événement important pour la presse occidentale que la fin de la guerre sur le front de l’est et le retrait des Russes, devenus des traitres. En couverture, deux gardes rouges montent la garde devant la porte de Lenine qualifié de traître, à Petrograd.

A l’intérieur de la revue, de nombreuses photos sur la situation en Russie:

La queue devant une boutique pour se ravitailler à la soupe populaire. Le Miroir y voit un subterfuge des Bolcheviks pour s’attirer les faveurs du peuple.

Des meetings en plein air, au coeur de Petrograd où les leaders s’adressent au peuple.

Les gardes rouges en armes dans les rues et…

…une ambiance de guerre civile. L’instauration d’un régie socialiste en Russie est un événement considérable qui importera la vie politique de tous les pays du monde pour le reste du XXème siècle.

Une autre vue aérienne tout autant spectaculaire:

le bombardement de Reims avec la cathédrale vue des airs.

Le front d’Italie avec la ligne de défense fixée par l’état-major sur le Piave…

…où dans un secteur, de grosses pièces de marine ont été installées.

Sur un autre fleuve de Vénitie, l’Astico, des troupes françaises qui ont connu leurs premières victimes, montent au front.

En Palestine, les Anglais ont repoussé les Turcs.

De nombreux canons ont été repris à l’ennemi, des prisonniers ont été faits et des Anglais ont été blessés. La guerre en un mot !

Aux Etats-Unis, la machine de guerre tourne à plein régime.

On fabrique des casques par milliers…

…et des paires de bottes dans les mêmes quantités pour les Sammies.

Enfin fin de ce tour du monde, au Portugal,…

…le militaires ont renversé le pouvoir civil de Costa et exilé le président Machado. Dans la mouvance de la Révolution russe, les militaires portugais sont plutôt hostiles à la guerre et, sans se désengager totalement, n’enverront plus de renforts aux troupes déjà en France.

Ci-dessus le nouveau chef de l’état, le commandant Sidonio Paès, à cheval.

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 29 décembre 1917

(JOUR 1244 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une de J’ai vu, les révolutionnaires Lénine et Trotsky, pas bravement sous leur meilleur profil. On croirait avoir affaire à des bandits de grands chemins. Mais les Bolcheviks sont de lâches pacifistes qui s’apprêtent à signer un armistice avec les Allemands. Celui-ci a d’ailleurs été signé le 15 décembre entre la Russie et les Austro-Hongroise et Allemands, armistice qui prendra effet du 17 décembre au 4 janvier.

Pour en revenir à l’image, Trotsky est à gauche et Lénine à droite. On aurait dit l’inverse tant cela est mal fait !

L’offensive britannique en Cambrésis et cette vieille femme aveugle secourue par les Tommies.

La double page centrale est ce dessin…

…commenté ainsi:

UNE SCÈNE QUE L’ITALIE NE VERRA PLUS: L’EXODE DES POPULATIONS DEVANT LA RUÉE AUSTRO-HONGROISE.

Une phrase bien compliquée pour dire que l’intervention française va arrêter l’avance allemande !

Un bombardement aérien vu des airs:

Que de progrès en 3 ans dans les domaines de l’aviation, de la guerre aérienne et la photographie.

Une page à la J’ai vu des troupes françaises en route pour Jérusalem…

…peu nombreuses, sous les ordres d’Allenby et laissées de côté par les Britanniques.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du 23 décembre 1917

(JOUR 1238 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

On nous présente une image exceptionnelle en cette couverture du Miroir du 23 décembre: le départ d’une bombe larguée par un aéroplane. Ce pourrait l’être si on n’avait pas trafiqué d’une manière trop flagrante de visage de l’aviateur au premier plan. Dommage ! Un visage moins net aurait été plus réaliste.

Par contre, ces photos aériennes ci-dessous…

…n’ont rien à envier au Google Maps actuel. En haut, on y voit la vallée du Jourdain et en bas, les lieux saints de Jérusalem.

Quant à cette attaque de tanks en Cambrésis, elle est remarquable de précision.

En zoomant sur les zones où apparaissent des chars d’assaut, des tanks,…

…on voit très bien les gros engins dans le no-man’s-land entre les deux lignes de tranchées opposées.

Ci-dessous, l’inventeur des tanks, le Britannique sir William Tritton.

Après cette attaque britannique, le résultat au sol avec ce village détruit (en haut) et…

…un char pris dans la boue en bas, ce char ayant perdu sa chenille gauche, le bloquant totalement.

Pour en revenir à la Palestine, les Turcs sont en passe d’être chassés par le Corps Expéditionnaire Britannique soutenu par quelques unités françaises. Le Miroir se fait un plaisir de rappeler la visite de Guillaume II en Terre-Sainte en 1898 dont les pas ont été immortalisés à l’époque…

… par un photographe arménien Ghrabid Karkoryane. C’était avant le Génocide et les photographes arméniens étaient en pointe dans ce domaine et avaient les faveurs des dirigeants ottomans.

Les photos traditionnelles du fret italien avec ces deux vues sur une page:

En haut, une route de montagne tenue par les Alpini et en bas, un barrage de  barbelés sur le Brenda.

Enfin la situation en Russie et la Révolution bolchévique.

On voit enfin le visage (certes de profil) des dirigeants: à gauche Lénine et à droite Trotsky haranguant la foule avant une manifestation pacifiste à Petrograd.

Lesquels Bolcheviks ont commencé à faire disparaître les traces de l’ancien régime impérial.

Ici une statue de la Grande Catherine, impératrice de Russie de 1762 à 1796, a été recouverte, bien longtemps avant que ne sévisse Christo !

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 22 décembre 1917

(JOUR 1237 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Joseph Caillaux est à la une de J’ai vu. Cet homme politique va connaître une longue disgrâce suite à l’assassinat par sa femme Henriette du rédacteur en chef du Figaro et ses positions contre la guerre. Avec l’arrivée au pouvoir de Clémence, son ennemi intime, le 16 novembre 1917, son cas s’est aggravé et il est mis au banc de la société pour collusion avec l’ennemi bien qu’aucune preuve n’existe. Il faudra attendre la Chambre du Cartel des Gauches pour que justice lui soir tendu et qu’il retrouve sa place dans le débat politique français.

Une demi-page sur le front italien.

Des camions en route pour le front à Desenzano, près du Lac de Garde. Séraphin Guérin parlait dans ses cartes de visite à Garde pour accompagner des hommes pour des examens médicaux.

Le premier mort français en Italie et son enterrement à Milan. Son nom n’est pas cité, dommage, on aurait vérifié !

La double page centrale sur la situation en Russie. La révolution russe est en route et J’ai vu commence à considérer les Bolcheviks comme des hordes de pillards.

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