Archives mensuelles : août 2017

Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 11 août 1917


(JOUR 1105 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

La même une à quelques détails près que celle du Miroir du 5 août, la rencontre Pétain-George V dans les Flandres, sur le secteur tenu par les Britanniques. Rien de bien intéressant !

Autre vue du travail des femmes aux champs.

Plus de la propagande qu’une réalité qui n’a guère varié depuis le début de la guerre. Mais les mouvements sociaux qui ont parcouru l’armée au printemps appellent à une réaction médiatique et politique patriotique.

Un as belge de l’aviation Thieffry vient de remporter le 3 juillet dernier une double victoire à la manière de Guynemer.

Ce qui lui vaut les honneurs de la presse.

Les Américains sont là, de plus en plus nombreux. Et l’intendance suit.

Ici la Croix-Rouge américaine arrive avec… des chiens de secours aux blessés.

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JEU: LORDS OF WATERDEEP chez Fred… des quêtes et des intrigues (mardi 8 août)

Dans le monde merveilleux de Dungeons & Dragons, LORDS OF WATERDEEP avec l’extension SCOUNDRELS OF SKULLPORT (les chanceliers de Skullport). Un jeu de placement d’ouvriers souvent testé, jamais avec un grand succès pour ma part.

A trois, avec Marie comme débutante, aussi peu réceptive que moi aux cartes en anglais. Un jeu de quêtes à réaliser grâce aux ouvriers et à l’argent et d’intrigues pour s’attaquer aux autres.

 

 

Beaucoup de possibilités dans la pose des personnages. Et puis ces quêtes qu’il faut essayer d’imbriquer les unes aux autres pour les rendre plus performantes. A ce jeu-là, Fred est imbattable…. et ce fut le cas !

 

Huit tours de partie et plus de deux fois la piste des scores pour presque nous trois, des montagnes de crânes sortis, toutes les nouvelles boutiques occupées… Du jamais vu !

267 PV pour Fred malgré ses piles de crânes (qui lui rapportaient tout de même 4 PV/pièce, personnage oblige), 225 pour moi et 198 pour Marie qui s’est bien débrouillée. Du lourd !

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Un tour au CIMETIÈRE ancien de VIVIERS.

C’est Jeannot Tschanz qui me conseilla d’aller faire un tour à Viviers avec le déplacement du monument aux morts, chose assez compliquée à réaliser. A Montélimar, Thierry Cornillet s’y cassa les dents au moment où il essayait de développer son projet des Allées Provençales dans les années 90.

En effet, à Viviers, la municipalité de François Louvet a réussi à déplacer en 2014 le monument aux morts de la ville, certainement au prix de litres de salive et quelques volumineux dossiers. mais en aucun cas ce n’était le monument situé tout en haut de l’ancien cimetière qui fut descendu en bas… mais le premier monument qui était déjà dans la ville, élevé en 1921 grâce à une forte aide du maire de l’époque le comte Joseph Pavin de Lafarge qui en paya les 3/4 de ses deniers personnels.

Quelques vues de ce monument, maintenant dans la cour de mairie, en bordure de la RN86.

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Si ce monument vaut pour la statue que l’on doit au sculpteur Maxime Real del Sarte, c’est l’autre mémorial tout en haut du cimetière ancien, qui mérite le détour, pour peu qu’on soit un tantinet sportif ! Quelle grimpette !

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Première constatation, ce n’est pas un monument classique mais un tombeau car manifestement, il contient les restes de 24 Poilus dont les corps ont été ramenés du front. C’est ce qui écrit sur la plaque du haut.

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Etait-ce une volonté collective de rassembler les morts au même endroit ? Très certainement.

De part et d’autres de l’édifice central, neutre religieusement, deux plaques contenant les noms de ceux qui n’ont pu être inhumés dans ce caveau. Les disparus, ceux enterrés dans des cimetières militaires proches des champs de bataille ou ceux inhumés dans les caveaux familiaux, volonté de leurs familles.

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Ici figurent 117 noms ce qui fait en tout 141 MPLF pour ce gros bourg de Viviers dont le recensement de 1911 nous apprend qu’il comptait 3 459 habitants (4% de la population). Le même nombre que sur le Monument de la ville.

A côté du monument, des reliques de plaques de tombes disparues, abandonnées, faute de descendants pour le s entretenir.

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On y distingue quelques noms de gars de la liste: Paul Faure, Gasquet Léon (mort à 45 ans, un vétéran), Rouchet Léon, Trichet Marius, les frères Chausson Gustave et Paulin, Serret Clément. 5 plaques sont totalement illisibles.

Et puis à gauche du monument, une série de 9 croix blanches avec seulement marqué sur chacune d’elles, nom, prénom et grade. Une rapide recherche sur le site Mémoires des Hommes nous donne la solution de l’énigme.

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A Viviers étaient installés deux hôpitaux, l’hôpital complémentaire n°79  certainement dans le séminaire et l’hôpital bénévole n°125 dans des bâtiments appartenant à Lafarge, où furent soignés, semble-t-il des Poilus atteints de maladies pulmonaires. Décédés à Viviers, ils y furent enterrés et on les y laissa. De qui s’agit-il ? Malgré quelques erreurs d’orthographe, les voici en détail…

Jean Veyrier (1894-1917) né à Tunis, 15ème section d’Infanterie Militaire (abréviation bizarre) mort de pneumonie + méningite.

Michel Paramelle (1896-1919) né dans le Lot, 54ème Régiment de Tirailleurs Sénégalais, mort d’hémoptysie (certainement tuberculose).

Marius Derobert (1889-1918) né en Haute-Savoie, 55ème Régiment d’Infanterie, mort de maladie (sans plus).

Pierre Hersant (1878-1918) né en Ille-en-Vilaine, 41ème Régiment d’Infanterie, mort de maladie (sans plus).

Dinh Van Lieu (1885-1918) né au Tonkin (Van Lang), 1er Bataillon Indochinois, mort de maladie (sans plus).

Joseph Simon (1893-1915) né dans le Cher, 29ème Régiment d’Infanterie, mort de tuberculose.

Pierre Le Chaffotec (1885-1917) né dans les Côtes du Nord (actuellement Côtes d’Armor, 35ème Régiment d’Infanterie Coloniale, mort de tuberculose.

Alexandre Nehlig (1876-1917) né dans le Morbihan, 111ème Régiment d’Artillerie Lourde, mort de maladie (sans plus).

Jules Giardina (1889-1919) né en Aveyron, 4ème Groupe d’Artillerie d’Afrique, mort de brocho-pneumonie virale.

Il fallait le dire.

Non loin de ce Mémorial, se trouve cette tombe remarquable qu’on penserait trouver plutôt au Père Lachaise…

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108 POILUS de CADEROUSSE, 108 DESTINS… Célestin CARTIER.

108 noms de Poilus de Caderousse tombés lors de la Grande Guerre. 108 parcours qu’on va essayer de raconter au fil des semaines et des mois jusqu’au 11 novembre 2018.

Vingt-septième nom de la liste: Cartier Célestin Jean.

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Première face du Monument.

On croyait avoir écrit la biographie la plus courte avec celle de Martial Bertet ! Celle de Célestin Cartier risque d’être encore plus rapide. On pourrait d’ailleurs faire une copie de celle de Martial tant leurs deux destins sont proches. En quelques mots: ils furent incorporés au 61ème Régiment d’Infanterie de Privas, y passèrent quelques semaines et y décèdent de maladie. En 117 caractères, leurs destins sont scellés !

Si la guerre avait été rapide comme chacun en était persuadé en août 14, Célestin n’aurait pas été appelé par anticipation en 1918. Mais la guerre dura quatre ans. Né le 16 septembre 1899 à Caderousse, il n’avait pas encore 15 ans quand le tocsin sonna le 2 août 1914. Il n’en avait pas encore 19 quand l’Armée fit appel à ses services, le 22 avril 1918 ! Un gamin !

C’est par sa mère que Célestin est Caderoussier. Marius Frédéric Cartier, son père, originaire de Piolenc avait dû traverser l’Aigue pour épouser Eugénie Elisabeth Monier le 16 octobre 1897. La famille Cartier habitait d’ailleurs Orange au moment de cette union. Célestin naquit deux ans plus tard dans une ferme du quartier Fazende. Il fut le seul enfant du couple, chose rare à cette époque.

A la ferme, vivaient donc Frédéric et Elisabeth, leur fils Célestin et la mère d’Elisabeth, Catherine Rose Monique Ferragut se faisant appeler Rosine pour faire plus simple, son mari étant décédé  en 1891. En 1911, Rosine était partie mais c’est la mère de Frédéric qui était venue rejoindre le couple, Marguerite née Faure alors que ses prénoms officiels étaient bien plus originaux, Bertille Appoline, âgée de 75 ans.

C’est dans ce milieu un peu fermé que Célestin passa sa courte vie. Sorti avec un petit niveau de l’école, il aidera son père aux champs jusqu’à ce que l’Armée l’appelle. Le même chemin en train que Martial Bertet jusqu’à la caserne Rampon de Privas et le 61ème Régiment d’Infanterie. Il y arriva le 23 avril 1918. Il décéda à l’asile des vieillards Sainte-Marie transformé en hôpital provisoire le 13 juin 1918 d’une broncho-pneumonie grippale ou de courbature grippale suivant ses registres matricules., en un mot d’une mauvaise grippe contractée à la caserne. On pense immédiatement à la grippe espagnole bien que la date de la mi-juin 1918 ne corresponde pas tout à fait à celles que l’Histoire nous a laissées pour cette épidémie. La grippe espagnole décima les troupes comme les civils en deux vagues: de mi-septembre à décembre 1918 puis de février à juin 1919. Mi-juin 1918, cela fait un peu tôt pour être certain que se soit ce virus qui emporta Célestin. Mais la grippe arriva en France en même temps que le gros des troupes américaines en mai-juin 1918 et Célestin croisa peut-être pour son malheur quelques « Sammies » en traitement dans un hôpital de la préfecture ardéchoise. Célestin Cartier, un des premiers morts français de la grippe espagnole ? Le doute subsiste.

Il avait 18 ans 8 mois et 28 jours. Sa famille ne put ou voulut rapatrier sa dépouille sur Caderousse. Il est inhumé au carré militaire du cimetière de Privas, tombe 16 de l’allée 4.

La fiche de Célestin Jean Cartier de Mémoire des Hommes

Célestin Jean Cartier, matricule 1081 classe 1919, bureau de recrutement d’Avignon pour ceux qui souhaitent aller consulter sa fiche matricule (succincte) sur le site des Archives du Vaucluse. Si un descendant indirect (le patronyme Cartier est encore vivant à Orange) reconnaît cet ancêtre, qu’il n’hésite pas à se manifester pour compléter ou corriger cette courte biographie.

A suivre: Louis Cartoux.

Post scriptum.

Au cimetière de Privas, dans le carré militaire…

…dans lequel reposent environ 80 soldats, au rang 4, la tombe 16 de Célestin Cartier.

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Des BACS à TRAILLE sur le RHÔNE de la CONFLUENCE à la MÉDITERRANÉE: 24/25 Le SAUVAGE.

Le Sauvage est situé à une dizaine de kilomètres de la mer et l’installation d’un bac en cet endroit permettait de réduire la durée du trajet entre Aigues-Mortes et les Saintes-Maries-de-la-Mer. Le premier bac du Sauvage fut, d’après Henri Cogoluènhe dans sa thèse sur les bacs du Rhône, un bac tiré par des hommes. Il est attesté en 1830.

On construisit la maison du passeur dans les années 1880.

Le bac actuel est appelé Sauvage 3.

C’est donc, comme on peut le comprendre, le troisième bac équipé d’un bateau automoteur.

Le Sauvage 1 fut coulé par les Allemands en retraite en août 1944. Irrécupérable, les Ponts et Chaussées d’Arles récupérèrent un ponton allemand dans cette ville. Les ouvriers l’équipèrent d’un moteur diesel et de 2 roues à aubes. Ce fut le Sauvage 2 qui officia jusqu’en 1972.

Comme Sauvage 3, cet automoteur est totalement ingouvernable et la traille le guide pour traverser le Petit Rhône.

Le tendeur de traille.

Départ de la traille.

Le sauvage 3 accroché à sa ligne de vie.

Le Rhône est large de 90 à 100 mètres en ce lieu et la traversée est très rapide.

La rampe d’embarquement des véhicules.

Le Sauvage 3 peut accueillir 8 voitures.

L’embarquement.

Les roues à aubes se mettent en route.

Le bac est ouvert toute l’année mais réservé aux locaux les mois d’hiver. Il peut accueillir les manades. Elles sont d’ailleurs prioritaires sur les véhicules automobiles.

La traversée se fait toutes les 1/2 heures et le passage reste gratuit.

C’est le Syndicat Mixte des Traversées du Delta du Rhône qui gène le bac du Sauvage.

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JEU: OUTLIVE à 3 chez FRED avec MARIE (jeudi 3 août)

Même la canicule n’empêche pas les Gamers (euse) de sortir. Dans un futur apocalyptique pour cause d’utilisation abusive d’armes atomiques après le grand écroulement de la société. Les canicules à répétition ne sont-elles les premiers signes de…

OUTILLE donc, un jeu qui comme chez beaucoup d’autres, il va falloir prendre en compte beaucoup de paramètres: aménager son abri sous-terrain en prenant des matériaux, penser à nourrir ses survivants en eau et en nourriture, résoudre des événements extérieurs, acheter des outils plus puissants… sans oublier d’ennuyer les autres. Vaste programme !

Marie a du mal à gérer tous ces (ou ses) problèmes, Fred est ennuyé par un matériel peu convainquant, j’en profite pour rester devant dans le décompte final avec un abri fort confortable, des survivants en nombre et bien gras et quelques cartes événements récoltées en bonus…

Bonne soirée chaude et tendue !

Mon abri final.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 5 août 1917

(JOUR 1099 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Pétain reçoit une décoration des mains de George V, le roi d’Angleterre. Commandeur de l’Ordre du Bain !

Au pays de Lawrence d’Arabie.

Les Bédouins vainqueurs des Turcs par l’entremise de sir Lawrence exhibent un drapeau pris à leurs adversaires.

En Belgique occupée, on se bat autour de Nieuport.

La si belle station de villégiature de la mer du Nord n’est que ruines et destructions.

Près de Saint-Dié dans les Vosges, on nous raconte en 6 vues en double page centrale, la fin d’un avion allemand abattu par la défense anti-aérienne.

Tellement rare que s’en est un exploit.

En Grèce, on déporte des Grecs soutenant le camp allemand.

Pas fameux au regard des Droits de l’Homme !

Pour terminer, un gigantesque entonnoir de mine.

La vue a été prise à Beuvraignes dans la Somme. Les destructions sont irréparables !

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 4 août 1917

(JOUR 1098 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

La une de J’ai vu met en avant le travail des femmes à l’arrière pendant que les hommes sont au front. On voit ici une coltineuse transportant un lourd fardeau. Travail habituellement dévoué aux hommes.

Le torpillage de l’Himalaya, un transport français, en mer Egée.

La torpille a frappé le bateau au niveau de la salle des machines. Il a immédiatement coulé mais la plupart des hommes ont été sauvé en empruntant les canots de sauvetage. Cette attaque de l’U63 s’est déroulée au large de Bizerte. Elle a fait 32 morts tout de même dont 4 membres de l’équipage. Ce paquebot transformé en transport des troupes du front d’Orient avait été lancé le 22 novembre 1902 des chantiers navals de La Ciotat. Il avait participé au transport des troupes russes pour le front français du 3 mais au 20 avril 1916.

On a vendu la casquette de l’As de l’aviation Charles Nungesser à Londres, vente au bénéfice de la Croix-Rouge. Le commissaire priseur est sur la table, encadré de 2 Alsaciennes !

Une page sur le Chemin des Dames…

que l’on compare à Verdun… à l’envers toutefois puisque ce sont les Français à l’attaque. Ce sera une boucherie sans nom pour l’armée française.

 

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Le (petit) KIOSQUE de PRESSE DE 37: MATCH du 3 août 1937: Le TOUR 1937.

Dernière image de ce Tour de France 1937 à la une de ce numéro du 3 août de Match.

Deux des héros du Tour dont le nom restera dans l’Histoire du cyclisme sur la pelouse du Parc des Princes: au premier plan Gino Bartali héros du début du Tour jusqu’à sa chute d’Embrun et qui prend rendez-vous avec sa Légende et au second plan à gauche , le Français Roger Lapébie, vainqueur miraculeux de l’édition 1937 !

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Le (petit) KIOSQUE de PRESSE DE 37: LE MIROIR DES SPORTS du 3 août 1937.

Le Tour de France est fini depuis une semaine mais on va tout de même en reparler. Toutefois la une est faite d’un meeting de natation où deux nageurs danoises se congratulent après une course. Dans l’eau, Hveger (17 ans) est félicitée par Sörensen (13 ans).

Le Tour de France et son vainqueur, Roger Lapébie, sous toutes les coutures:

avec Sylvère Maes,

pédalant en jaune et

avec son conseiller technique Jean Leulliot.

Mais le magazine insiste sur la performance d’un jeune premier…

…dont on reparlera…

Gino Bartali.

Le cyclisme a repris avec des courses mineures en attendant les futurs championnats du monde en fin de mois.

Le Tour des Villes d’Eaux d’Auvergne a vu la victoire de l’Italien Guiponne. Un tour en 2 étapes:

Classements du Tour des Villes d’Eaux.

Autres sports:

La Coupe Davis de tennis est partie aux Etats-Unis… pour longtemps pronostique le rédacteur de l’article.

Un stade rempli en URSS, celui du Lokomotiv Moscou. Cela permet au Miroir des Sports pour regretter qu’en France, on ne construise pas de stade de plus de 50 000 places comme c’est le cas pour la Coupe du Monde de football 1938. Un regret qui perdurera dans les années 1970, 1980 jusqu’à l’inauguration du Stade de France pour le Mondial 1998.

Une belle attitude du joueur de pelote basque Jean Urruty, champion complet de ce sport qui s’est éteint le 16 août 2002 à l’âge de 90 ans.

Une vue traditionnelle de saison: du plongeon à Los Angeles.

 

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