(JOUR 206 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
En Woëvre, un campement d’artilleur en forêt, à l’arrière du front. On nous commente cela comme s’il s’agissait d’un camp scout (qui n’existait à pas à l’époque) mais… c’est la guerre, ne l’oublions pas !
L’intérieur le rappelle vite avec des destructions en Angleterre par les dirigeables Zeppelin:
A Hartlepool, plus près d’Edimbourg que de Londres, ce qui montre l’important rayon d’action des dirigeables allemands.
Ce qu’il reste de la Mairie de Clermont s/Argonne, et ce n’est pas fini pour cette ville à une vingtaine de kilomètres de Verdun.
Un petit point du front de l’Est et du Nord en février 1915.
On constate que ce sont plutôt les Allemands qui ont conquit des territoires, les avancées françaises se limitant à quelques kilomètres-carré dans les Vosges. On voit le saillant de Verdun que les Allemands essaieront à réduire en 1916. Enfin, la Belgique libre se limitent à une partie des Flandres occidentales. Lille est sous la botte allemande.
L’ancêtre rudimentaire de la DCA.
Des biffins tirant un taube… qui ressemble plus aux drones actuels qu’aux avions de chasse.
Un convoi allemand détruit en forêt, photo qu’il me semble avoir déjà vu.
Pour finir des choix éditoriaux curieux:
Un caporal de 14 ans !
Sur la même photo, certainement trafiquée, les « DEUX MERVEILLES » françaises: l’avion et le canon de 75. On peut trouver mieux comme merveille !








