(JOUR 283 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
Ce numéro est assez intéressant mais la couverture semble se moquer du monde: « Remise de Décorations sur le Front »… alors qu’on a vraiment l’impression que cette cérémonie se passe place Bellecour à Lyon, bien loin du front de 14-18 !
On a déjà parlé du drame du « Léon-Gambetta » torpillé le 25 avril 1915 en entrée d’Adriatique qui coûté la vie à 684 hommes.
On en reparlera sur une autre revue de la semaine (Sur le Vif du 15 mai) avec des vues d’actualité.
La vie dans les tranchées et ce cagna bien confortable quand la mitraille n’est pas là:
ou ce pistolet de tranchée pour prendre l’assaillant en enfilade
ou cet autre aménagement avec rondins de bois pour lutter contre la boue:
Pour les civils proches du front, la vie se passe souvent dans les cave et un chauffage de fortune a été installé…
et on voit le tuyau du poêle sortir du sol. Gare au CO2 toutefois ! On a vu un aménagement semblable dans un numéro précédent… mais la guerre dans le nord de la France se déroule dans un pays très peuplé.
La photo philatélie avec ces enveloppes exceptionnelles…
montrant les déplacements des troupes après lequel court le service postal des Armées.
Sur le canal de l’Yser, les fusiliers marins ont construit une radeau…
pour que traverse une automobile blindée:
Le sort cruel réservé aux animaux pendant cette guerre. Les chevaux
ont payé un lourd tribut pendant ce conflit, comme pendant le suivant…
Jean-Marie Caujolle invalide des membres inférieurs.
et les vaches sont abattus au grand air pour aller rejoindre le rata des combattants:
Une mine sous-marine, redoutable pour la marine militaire et marchande, a été neutralisée par les démineurs:
Les Suisses gardent toujours leurs frontières avec les belligérants
mais la tension semble être retombée.
Enfin, un intéressant document que cette carte nous présentant les camps de prisonniers de guerre dont le territoire allemand s’est couvert…
certainement pour rationnaliser le ravitaillement de ceux-ci…
avec la liste nominative des 125 lieux de détention. C’est Sur le Vif qui s’est fait la spécialité de retrouver les PG disparus pour les familles.















