(JOUR 472 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
Le moment de repos à l’arrière, la lettre aux amis, à la famille aussi. Le courrier qui eut, comme le vin, une importance très grande dans le maintien du moral des troupes.
Les Anglais sont dans le Nord…
ce village non cité les accueille par une banderole.
Cette maison de Lorraine a, elle, accueilli pas moins de 17 trous d’obus.
On retrouve une maison semblable datant de la guerre de 70 dans ce même coin de France qui connut bien des dévastations. A Bazeilles, il s’agit de la Maison de la Dernière Cartouche.
A Salonique, les troupes continuent d’affluer pour venir en aide aux Serbes en grande difficulté contre les Autrichiens et Bulgares.
Le débarquement des troupes depuis les navires de guerre et de transport:
A noter un bateau à roue à aube dans le port au fond.
Après la bataille, que montre-t-on aux lecteurs invariablement:
des champs de morts (ennemis),
des prisonniers (ennemis) en nombre,
et des blessés (ennemis) en attente d’être soignés.
Une dialectique bien huilée…
Pour terminer, le cri d’alarme d’un sénateur (Charles Humbert) pour faire en sorte que les usines d’armements et de munitions fonctionnent 24 h/24. Pour illustrer cela, 2 vues des chaînes de montage.
Je suis sûr que le complexe militaro-industriel français n’avait pas eu besoin de cet appel pour se lancer dans cette frénésie militaire.







