(JOUR 475 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)
Un général à la une, le général Dubail qui vient de monter en grade.
Deux vues folkloriques de la frontière franco-suisse avec des militaires français et des soldats suisses qui posent devant l’appareil photo.
Vues prises à l’est de Montbéliard à Courtavon eu au Largin.

Deux vues à droite de troupes en cours de déplacement vers le front de Salonique et leur arrivée en Grèce.
Avec quatre vues du camp de Zeitenlik tout près de Salonique, ci-dessous
Carrey, le dessinateur du Miroir revisite tragiquement la blague de l’arroseur-arrosé…
Les avions français viennent de bombarder une usine fabriquant les gaz toxiques destinés aux obus asphyxiants allemands, à Dornach, dans la banlieue de Mulhouse. Ce ne sont pas moins de quarante deux ouvriers qui furent intoxiqués ainsi que le directeur et un colonel allemand responsable de la production. Une hécatombe chez une population tout de même considérée comme française et que l’on est censé libérer si l’on gagne la guerre !
A la butte de Souain…
une énorme déflagration et des volutes de fumée après une préparation d’artillerie allemande. A l’est de Reims, la contre-attaque allemande après l’avancée française d’octobre.
Retour en Alsace, à Dannemarie, au sud-ouest de Mulhouse où la vie dans une ville « libérée » semble être redevenue normale:
des jeunes filles arborant la coiffe traditionnelle vaquant dans les rues de la ville, l’administration de la République ayant repris ses droits avec cette Mairie « militaire ». Indiscutablement des scènes posées pour la propagande officielle.
Pour terminer, des histoires de casques:
des montagnes de casques Adrian français dans une fabrique qui attendent de rejoindre des têtes de Poilus et …
une autre montagne de casques allemands récoltés sur le champ de bataille de Champagne.





