Archives mensuelles : août 2017

LA VIE AU GRAND AIR, le premier grand magazine sportif.

Petit voyage à travers les premiers numéros de La Vie au Grand Air. Cette revue a commencé de paraître à la fin du XIXème siècle. Voici donc la première de couverture du premier numéro publié le 1er avril… sans préciser de quelle année ! En ayant les numéros suivants de la revue était bimensuelle, la direction parisienne dirigée par Pierre Lafitte, on sait que c’est le 1er avril 1898 que parut cet exemplaire.

Une Une générique qui paraîtra sur les premiers numéros. A l’intérieur, la vrai couverture avec pour ce 1er avril 1898, la course automobile et motocycliste Marseille-Hyères-Nice.

Trois concurrents s’apprêtent à partir de Paris sous la pluie pour rejoindre Marseille.

Quelques véhicules… et la découverte des classements originaux.

F. Charron vainqueur de la 1ère série de la course, les voitures de plus de 400kg.

M. le Vicomte de Soulier sur une voiturette Bollée vainqueur de la 1ère catégorie des motocycles au-dessus de 100kG.

Ormont sur son tricycle de Dion-Bouton vainqueur de la 2ème catégorie des motocycles au-dessous de 100kG.

Georges Richard sur la voiturette de sa marque vainqueur de la 2ème catégorie des voitures (de moins de 400kg)

Les concurrents de la course repartent de Nice sur la Promenade des Anglais pour le concours de Monte-Carlo.

D’autres sports en photo ou en dessins comme pour le hockey sur gazon.

Un article pédagogique présentant les principales règles de ce jeu plus qu’un sport présentant des résultats sportifs.

Une page sur la boxe avec ces sportsmen plus vrai que nature.

De gauche à droite, le Français Castérès, champion de boxe française, le champion du monde Britannique Fritzimmons vainqueur de Corbett et Charlemont champion de boxe française. A noter que le champion britannique n’est autre que l’arrière-arrière-grand-père de Wayne Rooney.

Des cyclistes un peu particuliers…

Les conscrits de la classe 98 de Marmande se sont rassemblés en vélocipèdes le jour du tirage au sort… de ceux qui feront les 3 ans de service militaire.

Enfin, la mort d’un toréador espagnol Frascuedo qui a laissé une immense fortune à ses successeurs.

 

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JEU: on a testé LORDS OF XIDIT chez Daniel et Marie (mardi 15 août)

Un jeu de Régis Bonnessée qui avait créé il y a quelques années HIMALAYA. C’est le même principe que LORDS OF XILIT, version moderne du premier jeu, avec quelques nouveautés qui permettent d’enlever du hasard. Ainsi on sait quelles sont les nouvelles villes et les nouveaux ennemis qui apparaissent.

Dans le tirage effectué par Marie, c’était l’argent qui éliminait un joueur, puis les influences et enfin les constructions qui donnaient la victoire.

Car, à trois, un joueur fictif existe dont chacun doit faire évoluer son échelle de score quand il remporte une victoire. Dans notera, ce fut le joueur fictif qui fut éliminé par l’argent, Marie bien injustement à cause du règlement par les influences et Daniel que je battis sans gloire pour les constructions.

Matériel sympa avec ces petits personnages, plateau agréable…

…la tire-lire pour cacher les influences de la région centrale, des plateaux de programmations avec roulettes du meilleur effet… que du +++ par rapport à la première version himalayenne !

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 19 août 1917

(JOUR 1113 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Les Volontaires américains pour le front français sont tirés au sort. Une pratique classique mais ici artisanale, pour le moins.

La bataille du Chemin des Dames a beaucoup fait de dégâts chez les hommes. Mais que dire des lieux ?

Ici, ce qu’il reste du village de Craonne. Des ruines ! Le village sera reconstruit après-guerre en contre-bas du plateau de Californie où il se situait. Il compte aujourd’hui 79 habitants mais accueille de nombreux colloques sur la Grande Guerre. On se doit de prononcer Kran et non Kraon.

Un tunnel recouvert de bâches pour rejoindre le plateau de Californie.

Etait-ce vraiment utile, les relèves se faisant de nuit ?

Original et paradoxal: un train d’artillerie blindé côtoie une moissonneuse en pleine action dans une plaine française non localisée.

Par contre, ici, ces soldats britanniques prennent un repos dans des tranchées des Flandres, dans un paysage bouleversé.

Pour terminer, un camp de prisonniers allemands, des officiers au nombre de 175, à l’appel dans le Midi de la France.

Mais où ?

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Il y a 100 ans jour pour jour: J’AI VU du 18 août 1917

(JOUR 1112 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

A la une, la colonelle du bataillon de la Mort dans l’armée russe menchevik, à gauche avec une sentinelle, à droite, de cette unité. ce bataillon dont a parlé le Miroir de la semaine passée perdit beaucoup de membres sur le front russe. Ce sont elles qui définirent le gouvernement de Kerensky lors de la prise du Palais d’Hiver de la Révolution d’Octobre.

Une double page centrale avec une vue d’une palabre nègre dans les dunes des Flandres.

Les hommes venant d’Afrique britannique (Limpopo et Zambèze) font le spectacle en tenue traditionnelle devant les troupes anglaises.

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Le (petit) KIOSQUE de PRESSE DE 37: LE MIROIR DES SPORTS du 17 août 1937.

Bien que cela ne soit pas évident au premier abord, il s’agit de boxe pour cette première de couverture du Miroir des Sports du 17 août 1937. Le grand champion français Marcel Thil part aux Etats-Unis pour combattre le redoutable Fred Apostoli nous dit la légende de la photo et prouver aux Américains qu’il est bien le meilleur poids moyens du monde. Ce que les Américains ne contestent pas. Le combat aura lieu le le 17 septembre et on voit Marcel quitter Paris en train pour Le Havre, ville de départ des Transatlantiques.

Du cyclisme encore et toujours avec une course aujourd’hui disparue: Marseille-Lyon dont on a déjà parlé. le vainqueur de  cette édition 1937 est Francis Bonduel. Deux vues de la course:

Les coursiers dans la côte d’Auberive, en Isère, à environ 50 bornes de l’arrivée. Speicher emmène le peloton.

Le sprint final sur le Vélodrome de la Tête d’Or à Lyon, anneau qui existe toujours à notre époque, sprint remporté par Bonduel devant Speicher.

Toujours la peine reine et la victoire de Roger Lapébie au Tour de France lui a valu son entrée au Musée Grévin de Paris.

Il y côtoie ainsi le professeur Piccard et son ballon stratosphérique. Un exploit d’une autre dimension que celui du champion cycliste puisque le 27 mai 1931, le professeur atteignit l’altitude de 15 781 mètres avec son ballon stratosphérique, à Augsbourg. Hergé s’est inspiré d’Auguste Piccard pour dessiner le professeur Tournesol.

Une page double complète est consacrée au Grand Prix automobile de Monaco qui s’est couru le 15 août dernier. Pas moins de 6 belles images de cette course dans un cadre toujours magnifique.

La grille de départ.

Caracola devant la tribune d’honneur.

Dans la côte de Monte-Carlo.

La chicane du port.

Foule considérable dans les falaises de Monte-Carlo… à une époque où le Grand prix était encore un événement populaire.

Un passage du vainqueur, l’Allemand  Von Brauchitsch.

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Mars 1899: EMILE LOUBET devient PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE (2/2)

On sait que le premier voyage officiel d’Emile Loubet sera pour Montélimar, la ville qu’il avait administré en tant que Maire pendant tant d’années. La Vie Illustrée du jeudi 13 avril 1899 raconte ce voyage en images…

que voilà. A la une de ce numéro, la réception d’Emile Loubet devant la gare de Valence où le train présidentiel s’était arrêté quelques instants.

Une gravure de Duplessis à partir d’une photo de La Vie Illustrée montrant le Président devant sa maison de la rue Quatre-Alliances, aux côtés du Maire qui lui a succédé, M. Gauthier et de Charles Dupuy, président du Conseil des Ministres (= Premier Ministre de nos jours).

La première journée de visite en photos, avec les commentaires du magazine.

M. Loubet passant la cravate de commandeur au cou du général Marchand (photo Joguet)

L’arrivée du Président à Montélimar.

La calèche officielle dans la cour de la gare.

Mme Loubet mère et mme Auguste Loubet à la port de la sous-préfecture, regardant le Président sortir de l’Hôtel-de-Ville.

Le Président embrassant sa mère.

« Demandez: Gloire à Loubé !… paroles et musique.

M. Loubet médaillant un vieux camarade.

Mme Loubet attendent le passage de son fils, sur la terrasse de la sous-Préfecture.

Et la seconde journée toujours en photos.

M. Dupuy, le préfet de la Drôme et le sous-préfet de Montélimar se rendant au déjeuner intime de la rue Quatre-Alliances. 

M. Loubet arrivant au vélodrome (il s’agit de l’inauguration officielle de cet espace sportif, situé à Bel Air ?)


M. Loubet et M. Dupuy dans la tribune du vélodrome.

Le vainqueur de la première course.

Une voiture fleurie.

Le Président quittant Montélimar.

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Mars 1899: EMILE LOUBET devient PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE (1/2)

Félix Faure est décédé le 16 février 1899 dans les bras de sa maîtresse ce qui fit le bonheur des chansonniers et des humoristes. Ce fut Emile Loubet, maire de Montélimar et sénateur de la Drôme qui fut élu président de la République deux jours après, le 18 février 1899. Pas de longue campagne à l’époque puisque le Président était élu par les députés et les sénateurs (le Congrès).

Dans la Vie Illustrée du jeudi 2 mars 1899…

on y voit Emile Loubet sortant du premier Conseil des Ministres qu’il a présidé. On y parle des obsèques de Félix Faure et des manifestations des Nationalistes de la Ligue des Patriotes emmenés par Paul Déroulède ayant tenté de prendre le pouvoir à l’occasion de cette période troublée.
Mais on y lit surtout un article de 2 pages…

présentant le nouveau président de la République, une biographie d’Emile Loubet illustrée de quelques photos que voilà.

Dernière photographie d’Emile Loubet.

Madame Emile Loubet (née Picard, fille de commerçant montilien)

Le Café des Officiers où M. Loubet prend son café quand il est à Montélimar. Difficile à localiser ce lieu à partir de cette photo. Peut-être sur les Allées ou la place de la Mairie ?

Mme de Saint-Prix fille de M. Loubet.

M. Paul Loubet, fils aînée du Président à l’âge de 15 ans. Ce dernier a aussi fait de la politique et laissé son nom à une place à Montélimar.

M. Emile Loubet, le plus jeune fils du Président (7 ans)

M. J. Loubet, médecin (à la retraite) à Grignan, frère du Président et Mme J. Loubet.

Maison d’Emile Loubet rue Quatre-Alliances, à Montélimar (la seconde à gauche, deux mètres de façade)

Qu’apprend-on dans l’article qu’on ne sache déjà ? Que le Président n’est ni riche ni pauvre et possède en plus de sa maison de la rue Quatre-Alliances, une petite bicoque sur la route de Montélimar au Teil, qu’il compte venir passer ses vacances « présidentielles » rue Quatre-Alliances, qu’il aime les courses pédestres, c’est-à-dire la marche à pied et  qu’il parcourt souvent Montélimar-Marsanne à pied…

 

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JEU: ZOMBICIDE chez FRED, en 2 manches différentes et une constante (vendredi 12 août)

 

Zombicide

ZOMBICIDE ou comment survivre dans une monde infesté de Zombies. La réponse est simple: en collant des baffes à gogo ! Encore faut-il que les baffes atteignent leurs cibles. Pour cela, on jette des dés et en fonction de la puissance des armes utilisées, on dégomme les intrus envahissants.

Dans ce cas, faire des 1 ou 2 aux dés est déconseillé. Malgré cet axiome de base pourtant assimilé par tous, Fred se complut dans des résultats de jets pourris si bien que notre hôte fut pendant 4 heures, le témoin patient et discret de nos actions, nous laissant nous amuser seuls.

Deux manches ou plutôt deux scénarii.

Première histoire, collaborative mais à vainqueur unique. Il s’agissait d’être le premier à s’enfiler 6 chopes de bière, chose en soi pas tellement difficile à réaliser pour de faux comme pour de vrai, la difficulté venant du fait qu’on avait le droit à se désaltérer tous les cinq succès face à des Zombies en retournant dans la cave.

Finalement, nous ne bûmes que deux chopes avec Marie, la partie s’achevant par anticipation, la règle voulant que les participants perdent collectivement quand l’un d’eux était tué… ce qui arriva brutalement à Fred et Nicolas de concert !

Second scénario vraiment participatif pour ne pas terminer la soirée sur un échec:

Un plateau plus grand, des Zombies toujours autant nombreux. But du jeu: découvrir un laboratoire secret et abattre un Zombie redoutable.

Un déroulement du jeu quasi identique au précédent, Nicolas et moi en redoubles Zombicides et Marie qui nous révéla le lieu recherché et zigouilla le gros méchant ennemi final.
Beau succès, belle soirée… sauf pour l’un d’entre nous !

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Des BACS à TRAILLE sur le RHÔNE de la CONFLUENCE à la MÉDITERRANÉE: 25/25 Le BARCARIN.

C’est le bac en activité le plus connu. Il permet de traverser le Grand Rhône, large d’environ 500 mètres à quelques kilomètres de son embouchure, sur un automoteur pouvant contenir plus de 30 voitures ou équivalent. Il faut dire qu’à partir du pont de la voie rapide d’Arles, aucun passage ne permet de sortir de la Camargue vers l’est, sinon ce bac du Barcarin.

Il est situé au Salin de Giraud, cette cité ouvrière appartenant à la ville d’Arles où sont implantées les Salines du Midi et de l’Est de a France. Nombre d’entreprises de la région de Fos et du grand Marseille viennent travailler dans cette région et empruntent le bac quotidienne 2 fois par jour, sans oublier les touristes qui représentent environ 1/3 du trafic.

Le premier bac dans ce secteur était la traille de Chamone située au nord de Salin.  En 1902, on autorisa la mise en service d’un bac à rames au Barcarin.

C’est en 1926 qu’on décida de motoriser la traversée avec un vapeur relié aux 2 berges par 2 chaînes, l’une s’enroulant sur un tambour et l’autre se déroulant, à la manière des toueurs du Rhône moyen.  Cette traille entra en service en 1933.

Endommagé légèrement par un échouage pendant la guerre, le bac reprit rapidement du service à la Libération, simplement supplée quelques mois par une vedette rapide type D-Day.

Etait-ce le départ de ce bac à chaînes, version Barcarin 1, quelques dizaines de mètres en aval du bac actuel ?

Barcarin 2 fut mis en service en 24 mars 1956, permettant le passage d’un nombre plus conséquent de voitures (18) et de passagers (110). Il aurait dû être inauguré le 1er février 1956 mais le froid et le gel du terrible mois de février 56 retardèrent de quelques semaines les premières traversées. On était passé à un automoteur. Plus besoin de chaînes !

Il dura un peu plus de 10 ans et fut remplacé en 1967 ou 1968 par cet autre automoteur: Barcarin 3.

Le bac avait trouvé sa place actuelle avec la maison du passeur sur la rive droite du Grand Rhône. 21 voitures et 140 passagers pour Barcarin 3. Il continue à servir de nos jours en parallèle à Barcarin 4 pendant les périodes de pointe. Ci-dessous à quai sur la première rampe d’accès:

Barcarin 4, le bac actuel qui officie de nos jours, a été mis en service en 1987.

Il peut contenir 32 voitures légères ou 4 camions et 12 voitures légères.

Ses moteurs ont été changés en octobre 2003. C’est le Syndicat Mixte des Traversées du Delta du Rhône qui, comme au Sauvage, gère cette structure.

Le bac est ouvert 365 jours par an, pendant 22 heures par jour. Les équipages de 4 hommes se relaient pour assurer ce service public, par tous les temps.

La traversée dure 10 minutes, embarquement et débarquement compris et coûte 5 euros (tarif été 2016).

Tous ces renseignements sont dus à la thèse sue les bacs du Rhône d’Henri Cogoluènhe et au site patrimonial dossiersinventaire.regionpaca.fr. Pour la partie Rhône-Alpes des articles précédents, patrimoine.rhonealpes.fr fut d’un précieux secours.

Vue aérienne Google Maps de Barcarin 3 à quai, rive droite, hors service.

Et celle de Barcarin 4 à quai, rive gauche, terminant l’embarquement des voitures.

Terminons par ces blocs de béton situés 500 mètres en aval du bac du Barcarin, toujours sur Salin-de-Giraud:

On aperçoit les mêmes sur l’autre rive du Grand Rhône:

Il s’agit du squelette des pontons d’un ancien bac ferroviaire dont la vocation était de transporter le sel de la Compagnie des Salins du Midi devenue Compagnie des Salins du Midi et des Salines de l’Est vers la ligne ferroviaire Arles-Port-Saint-Louis du Rhône et le port de Fos. Suivant Henri Cogoluènhe, ce bac a été mis en service en 1920 et a fonctionné jusque vers 2010.

Une fois cette desserte fermée, les rails et infrastructures ferrées ont été déposées il y a peu.

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Il y a 100 ans jour pour jour: LE MIROIR du dimanche 12 août 1917

(JOUR 1106 DE LA GUERRE/1561 JOURS DU CONFLIT)

Quelques vues du secteur canadien. Ici, des brancardiers emmènent vers l’ambulance un civil blessé par un obus allemand tiré sur le village.

Autre vue de ce secteur avec des hommes dans un cratère de mine…

et d’autres faisant leur toilette dans une flaque d’eau retenue dans un trou. Bonjour, les épidémies !

Insolite: un imposant tronc d’arbre mort servait de poste d’observation aux Allemands.

Ingénieux mais terriblement dangereux si les adversaires découvrent le stratagème.

Un vue qui date quelque peu:

On y voit Cesare Battisti emmené par les Autrichiens vers le lieu de son exécution. Ce député socialiste et partisan de l’irrédentisme, le regroupement en une seule nation de tous les territoires parlant italien fut pendu par les Autrichiens. C’était le 12 juillet 1916… 13 mois avant la publication de ce document ! Pas des nouvelles fraîches !

Pour terminer, une vue d’un sous-marin allemand achevant de se consumer après qu’il ait été détruit par son équipage.

Il s’était en effet échoué près de Calais et ne pouvait être secouru d’aucune façon.

 

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